Titre :
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Dispositif d’enquêtes d’opinion sur la maladie d’Alzheimer (DEOMA) L’accompagnement de la maladie d’Alzheimer au domicile : perceptions et pratiques des professionnels du soin et de l’aide (2010)
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Auteurs :
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PIN S. ;
BODART J. ;
Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) (Saint-Denis, France)
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Evolutions (n° 22, Septembre 2010)
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Article en page(s) :
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6 p.
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Langues:
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Français
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Catégories :
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FRANCE
ENQUETE
ALZHEIMER
REPRESENTATION DE LA MALADIE
ACCOMPAGNEMENT DU PATIENT
SOINS A DOMICILE
PRATIQUE MEDICALE
PRISE EN CHARGE
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Mots-clés:
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FRANCE
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ENQUETE
;
ALZHEIMER
;
REPRESENTATION DE LA MALADIE
;
ACCOMPAGNEMENT DU PATIENT
;
SOINS A DOMICILE
;
PERSONNEL DE SANTE
;
PRATIQUE MEDICALE
;
PRISE EN CHARGE
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Résumé :
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L’amélioration de l’accompagnement de la maladie d’Alzheimer au domicile est un des objectifs du Plan Alzheimer 2008-2012. Plusieurs mesures concernent l’intégration des services et le développement de prestations spécialisées. Alors que les professionnels du domicile sont au coeur de ces dispositifs, leurs perceptions à l’égard des malades d’Alzheimer et leurs pratiques sont encore peu étudiées. À des fins exploratoires, une enquête a été réalisée par téléphone auprès de 1 213 professionnels d’aide ou de soins à domicile : elle explore leurs perceptions, opinions et pratiques à l’égard de la maladie d’Alzheimer. Une majorité des répondants interviennent régulièrement auprès de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer : les soignants rencontrent en moyenne vingt-cinq malades Alzheimer par mois, et les aidants sept par mois. L’isolement des patients est la principale difficulté exprimée par les professionnels, avant les problèmes de communication et le refus de prise en charge. De façon générale, neuf répondants sur dix estiment qu’ils peuvent significativement améliorer la qualité de vie des personnes atteintes d’Alzheimer. Les aides à domicile présentent un niveau de formation plus faible que les autres catégories professionnelles, mais déclarent aussi moins de difficultés, ce qui s’explique sans doute par le niveau de dépendance des bénéficiaires. Les appréciations positives des professionnels à l’égard de leur intervention contribuent à valoriser l’image de la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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