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Titre :
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Evaluation of a face-to-face psychosocial screening intervention for cancer patients : acceptance and effects on quality of life (2008)
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Titre original:
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Evaluation d’une intervention de screening psychosocial en tête-à-tête destinée à des patients souffrants de cancer : reconnaissance et effets sur la qualité de vie
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Auteurs :
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BRAMSEN I. ;
VAN DER LINDEN M. ;
ESKENS F. ;
BIJVANK E.M. ;
VAN GROENINGEN C.J. ;
KAUFMAN H.J. ;
AARONSON N.K. ;
VU UNIVERSAL MEDICAL CENTER
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Patient Education and Counseling (Vol. 70 n° 1)
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Article en page(s) :
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pp. 61-68
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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EDUCATION DU PATIENT
COUNSELING
DEPISTAGE
CANCER
EVALUATION
INTERVENTION
QUALITE DE VIE
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Mots-clés:
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EDUCATION DU PATIENT
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COUNSELING
;
DEPISTAGE
;
CANCER
;
EVALUATION
;
INTERVENTION
;
ASPECT PSYCHOSOCIAL
;
QUALITE DE VIE
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Résumé :
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Cette étude a pour finalité d’évaluer une intervention de screening psychosocial qui offre du counseling aux patients atteints de cancer. L’hypothèse à l’essence de l’intervention résidait dans le fait que des obstacles venaient souvent entraver la connaissance des patients et leur requête pour obtenir des soins psychosociaux. Cette approche à la fois active et discrète était supposée améliorer l’accessibilité aux services psychosociaux. Il ressort de l’enquête que la moitié du groupe de screening souhaitait effectivement être suivie et a donc reçu du counseling. Par la suite, le groupe a rendu compte d’une importante atténuation des douleurs, et d’une santé mentale et d’un fonctionnement physique et de rôle bien meilleurs que le groupe de soins classique. Outre les possibles améliorations physiques et mentales engendrées par cette intervention de screening en tête-à-tête, cette dernière semble également être un moyen efficace pour identifier les patients intéressés par le counseling psychosocial formel. De plus, cette intervention de screening peut s’avérer être particulièrement utile pour les hôpitaux qui malgré leur préférence pour une approche personnelle plutôt qu’un screening psychosocial, ne disposent pas des ressources suffisantes pour interroger chaque nouveau patient.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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