Titre :
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Smoking cessation treatment by Dutch respiratory nurses : reported practice, attitudes and perceived effectiveness (2008)
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Titre original:
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Traitement de désaccoutumance au tabac par des infirmiers néerlandais en pneumologie: compte rendu de l'expérience, attitudes et efficacité observée
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Auteurs :
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KOTZ D. ;
VAN LITSENBURG W. ;
VAN DUURLING R. ;
VAN SCHAYCK C.P. ;
WESSELING G.J.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Patient Education and Counseling (Vol. 70 n° 1)
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Article en page(s) :
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pp. 40-49
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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EDUCATION DU PATIENT
COUNSELING
MALADIE RESPIRATOIRE
ARRET DE CONSOMMATION
TABAC
THERAPEUTIQUE
ENQUETE
QUESTIONNAIRE
EFFICACITE
ATTITUDE
PRATIQUE DE SANTE
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Mots-clés:
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EDUCATION DU PATIENT
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COUNSELING
;
MALADIE RESPIRATOIRE
;
ARRET DE CONSOMMATION
;
TABAC
;
THERAPEUTIQUE
;
MEDICAMENT
;
ENQUETE
;
QUESTIONNAIRE
;
EFFICACITE
;
ATTITUDE
;
PRATIQUE DE SANTE
;
PAYS-BAS
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Résumé :
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La finalité de cette étude a été de décrire les expériences de désaccoutumance au tabac vécues par des infirmiers néerlandais en pneumologie, leur attitudes et opinions, et de les comparer à un sondage réalisé en 2000 peu avant l'introduction aux Pays-Bas, du protocole de traitement de l'addiction à la nicotine et au tabac (le protocle L-MIS). Il en ressort que les infirmiers en pneumologie sont fidèles au protocole L-MIS. Ils offrent un soutien moral intensif et utilisent les techniques comportementales pour la désaccoutumance au tabac plus fréquemment que les aides pharmacologiques prouvées. Le manque de motivation observée chez le patient constitue la menace la plus importante pour les futures activités de désaccoutumance de l'infirmier en pneumologie. Les lignes de conduite internationales reconnaissent que les patients en pneumologie ont un besoin plus urgent d'arrêter de consommer mais éprouvent plus de difficulté que la normale pour le faire. Ils devraient donc recevoir un counseling plus intensif ainsi qu'un traitement pharmacologique en combinaison. Cette sorte de counseling sera peut-être plus faisable par les infirmiers en pneumologie que par les médecins, qui manquent souvent de temps. Leurs efforts pourraient être doublés en remboursant les frais des aides pharmacologiques pour se désaccoutumer au tabac et en élaborant des outils simples afin d'évaluer systématiquement la motivation ainsi que la comorbidité psychiatrique des patients.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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