Titre :
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I wouldn't have been interested in just sitting round a table talking about cancer, exploring the experiences of women with breast cancer in a group exercise trial (2007)
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Titre original:
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Se réunir autour d'une table pour parler du cancer ne m'aurait pas intéressée - Comprendre les expériences des femmes atteintes de cancer du sein dans un essai d'exercice collectif
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Auteurs :
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EMSLIE C. ;
WHYTE F. ;
CAMPBELL A. ;
GLASGOW UNIVERSITY
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Health Education Research (Vol. 22 n° 6)
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Article en page(s) :
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pp. 827-838
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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EDUCATION POUR LA SANTE
ANALYSE QUALITATIVE
FEMME
CANCER
SEIN
ACTIVITE PHYSIQUE
FOCUS GROUP
ROYAUME-UNI
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Mots-clés:
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EDUCATION POUR LA SANTE
;
ANALYSE QUALITATIVE
;
FEMME
;
CANCER
;
SEIN
;
ACTIVITE PHYSIQUE
;
BIEN-ETRE
;
FOCUS GROUP
;
ROYAUME-UNI
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Résumé :
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Des preuves viennent confirmer que l'activité physique améliore la santé psychologique et physique de patients atteints de cancer. Toutefois, relativement peu d'attention a été accordée à la compréhension des expériences. Cette étude analyse les expériences de femmes soumises à un traitement contre le cancer du sein et ayant pris part à un essai d'exercice collectif encadré. Les chercheurs ont remarqué que l'organisation de classes exclusivement réservées à ces femmes et menées par un instructeur spécialiste aidait à réduir les obstacles de genre à l'activité physique, tels que la difficulté de donner priorité à l'exercice comparé aux soins, et l'angoisse d'une apparence modifiée. Par exemple, certaines femmes remettaient en question leur attentes traditionnelles de la féminité en retirant leurs perruques pendant le cours afin d'être à l'aise. Les participantes valorisaient ces exercices car ils étaient générateurs d'empathie, mais constituaient aussi des opportunités d'échanger et de nouer avec les autres. Les patientes ont déclaré préféré une telle formule aux groupes de parole. Certaines d'entre elle ont même expliqué que la - dernière chose- qu'elles voulaient faire c'était de parler de leur cancer. Nos résultats remettent ainsi en question le stéréotype selon lequel les femmes lutteraient contre leur cancer en laissant parler leurs coeurs.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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