Titre :
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Attitudes of physicians, nurses and relatives towards end-of-life ecisions concerning nursing home patients with dementia (2006)
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Titre original:
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Attitudes des médecins, des infirmières et des proches par rapport aux décisions de fin de vie en ce qui concerne les patients des maisons de soins infirmiers atteints de démence
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Auteurs :
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RURUP M.L. ;
PHILIPSEN B.D. ;
PASMAN H.R. ;
RIBBE M.W. ;
VAN DER WAL G. ;
VU UNIVERSITY MEDICAL CENTER AMSTERDAM
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Patient Education and Counseling (Vol. 61 n° 3)
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Article en page(s) :
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pp. 372-380
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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EDUCATION DU PATIENT
ATTITUDE
MEDECIN
INFIRMIER
PARENT
FIN DE VIE
PERSONNE AGEE
DEMENCE
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Mots-clés:
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EDUCATION DU PATIENT
;
ATTITUDE
;
MEDECIN
;
INFIRMIER
;
PARENT
;
FIN DE VIE
;
PRISE DE DECISION
;
PERSONNE AGEE
;
DEMENCE
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Résumé :
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Objectif : pour un grand nombre de patients de maisons de soins infirmiers atteints de démence avancée, la décision de commencer ou d'arrêter un traitement doit être prise en fin de vie. Il est très important pour la tranquilité d'esprit de toutes les personnes impliquées dans cette prise de décision, que toutes s'accordent sur une décision dans le meilleur intérêt du patient. Il est donc important d'examiner l'attitude des médecins, des infirmières et des proches par rapport aux décisions médicales de fin de vie pour les patients atteints de démence, pour que la politique dans les maisons de soins infirmiers puisse se tourner vers une stimulation du dialogue et une compréhension entre toutes les parties. Conclusion : bien que les médecins, les infirmières et les proches soient tous guidés par ce qui représente le meilleur intérêt pour le patient, il semble que les différences en matière de croyances religieuses, de position par rapport au patient, de responsabilité peuvent mener à des attitudes différentes envers les décisions de fin de vie. Implications pratiques : les médecins devraient parler des décisions de fin de vie de manière plus ouverte. Les médecins devraient être conscients des influences sur l'attitude des personnes et les intégrées dans leur communication à propoes des décisions de fin de vie.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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