Résumé :
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Anticiper ce que sera l'état du nouveau-né à la suite de lésions cérébrales qui pourront être pourvoyeuses de séquelles plus ou moins lourdes, débouchant éventuellement sur un handicap, relève d'un exercice difficile : on ne connaît ni le temps, ni la précision de la prédiction, ni l'importance de la corrélation. L'auteur pense que les décisions de fin de vie en réanimation néonatale devraient pouvoir s'élaborer en ante ou postnatal sans les principes rigides d'- a priori de vie- et de - réanimation d'attente- , mais basées sur une pratique loyale de la médecine où les parents sont co-décideurs.
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