Résumé :
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Les nuits sont longues en maisons de retraite, l'équipe de nuit réduite. Bien sûr, la majorité des résidents dort. Cependant, s'ils ne sont pas empêchés par des barrières chimiques et/ou physiques, certains résidents se lèvent, appellent, ont faim ou encore ont besoin d'un autre pour convaincre leurs peurs, leurs angoisses et leurs incertitudes de les laisser tranquilles. Pour que cela soit possible, il est nécessaire de penser le travail soignant nocturne et de l'articuler avec les soins et l'activité sociale diurnes. Une réflexion sur ce thème à partir d'une expérience de terrain.
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