Titre :
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Interaction analysis of physician-patient communication : the influence of trait anxiety on communication and outcome (2003)
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Titre original:
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Analyse des interactions de la communication soignant-soigné: l'influence de l'anxiété réactionnelle sur la communication et conclusions
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Auteurs :
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GRAUGAARD P.K. ;
Arne H. Eide ;
FINSET A.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Patient Education and Counseling (Vol. 49 n° 2)
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Article en page(s) :
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pp. 149-156
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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EDUCATION DU PATIENT
RELATION SOIGNANT-SOIGNE
CONSULTATION MEDICALE
ANXIETE
SATISFACTION
PATIENT
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Mots-clés:
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EDUCATION DU PATIENT
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RELATION SOIGNANT-SOIGNE
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CONSULTATION MEDICALE
;
ANXIETE
;
SATISFACTION
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PATIENT
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Résumé :
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Trop peu d'attention a été prêtée à la manière dont les traits de personnalité des patients interfèrent avec la communication et le résultat de la relation soignant-soigné. Nous avons mené une étude expérimentale sur des étudiants (patients) présentant une anxiété réactionnelle forte ou faible. Un médecin donna une seule consultation à 41 étudiants en appliquant deux styles de consultation spécifiés avant-coup. Les patients ont rempli des questionnaires concernant leur état émotif et leur satisfaction. Le contenu de ces consultations a été analysé grâce au système d'analyse des interaction de Roter. Le médecin donna davantage d'informations biomédicales aux étudiants peu anxieux qu'aux étudiants fort anxieux. Les étudiants qui fournirent par eux-mêmes beaucoup d'informations biomédicales étaient plus détendus après la consultation. Cependant, les étudiants très anxieux attendaient plutôt que le médecin pose activement des questions biomédicales avant de pouvoir fournir la même information. Contrairement aux patients moins anxieux, les patients très anxieux étaient moins satisfaits après les consultations au cours desquelles les médecins posaient un tas de questions psychologiques et au cours desquelles ils avaient fait part de leur état émotif. Au contraire, les étudiants très anxieux étaient moins satisfaits et plus tendus après les consultations où le médecin avait parlé énormément des émotions. Nous en avons donc conclu que les médecins et éducateurs devraient être conscients que la communication psychologique et émotionelle peut sembler intrusive et inappropriée pour les patients présentant une anxiété réactionnelle forte tout en présentant des problèmes somatiques mineurs.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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