Titre :
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Correlates of women's preferences for treatment of heavy menstrual bleeding (2003)
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Titre original:
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Corrélat des préférences des femmes en matière de traitement des règles abondantes et prolongées
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Auteurs :
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VUORNA S. ;
TEPERI J. ;
HURSKAINEN R. ;
AALTO A.M. ;
RISSANEN P.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Patient Education and Counseling (Vol. 49 n° 2)
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Article en page(s) :
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pp. 125-132
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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EDUCATION DU PATIENT
FEMME
MENSTRUATION
FACTEUR PSYCHOLOGIQUE
traitement
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Mots-clés:
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EDUCATION DU PATIENT
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FEMME
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MENSTRUATION
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FACTEUR PSYCHOLOGIQUE
;
TRAITEMENT
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Résumé :
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Cette enquête ponctuelle avait pour objectif l'étude des facteurs associés aux préférences des femmes quant au traitement de la ménorragie. Les femmes (n = 474) âgées de 35 à 54 ans s'étant adressées à des cliniques externes pour des ménorragies ont reçu par courrier un questionnaire auto-administré avant leur première consultation. Le principal indicateur de résultats était la préférence quant au traitement. Les patients ne montraient pas davantage de préférence pour l'hystérectomie que pour le traitement conservateur (combiné avec aucun autre traitement). L'analyse multivariable a montré que les femmes souffrant de douleurs menstruelles (P = 0.02) ou de menstruations irrégulières (P = 0.03), ainsi que les femmes plus âgées (P = 0.04), moins instruites (P = 0.001) ou au chômage (P = 0.03) montraient une préférence pour l'hystérectomie, tout comme les femmes ayant une dimension de la famille complète (P = 0.003) et celles s'étant déjà rendues à des consultations gynécologiques pour des ménorragies (P = 0.002). Les facteurs psychologiques évalués n'étaient pas associés aux préférences quant au traitement. En conclusion, les considérations rationnelles en matière de stade de reproduction et de gravité des symptômes étaient liées au préférences des femmes quant au traitement. Toutefois, l'éducation, les états de service et l'utilisation des services des spécialistes ont influencé les femmes plus profondément encore que les symptômes menstruels et le fardeau que ces derniers constituent. Les médecins devraient encourager davantage les femmes à tester le traitement conservatif, étant donné que seulement la moitié des femmes ont affirmé avoir suivi précédemment un traitement pour leurs problèmes menstruels.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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