Titre :
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Living arrangements knowledge of health risks and stress as determinants of health-risk behavior among college students (1992)
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Titre original:
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Les conditions de vie la connaissance des risques liés à la santé et le stress vus comme les déterminants de comportements à risque adoptés par les étudiants
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Auteurs :
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JONES D. ;
HAREL Y. ;
LEVINSON R.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Journal of American College Health (Vol. 41 n° 2)
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Article en page(s) :
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pp.43-48
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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MILIEU ETUDIANT
SANTE DU JEUNE
CONSOMMATION D'ALCOOL
ACTIVITE PHYSIQUE
STRESS
CONSOMMATION DE TABAC
CONDITION DE VIE
COMPORTEMENT DE SANTE
COMPORTEMENT A RISQUE
ENQUETE
USA
ALCOOLISME
TABAGISME
JEUNE
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Mots-clés:
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MILIEU ETUDIANT
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SANTE DU JEUNE
;
CONSOMMATION D'ALCOOL
;
ACTIVITE PHYSIQUE
;
STRESS
;
CONSOMMATION DE TABAC
;
VIE COMMUNAUTAIRE
;
CONDITION DE VIE
;
COMPORTEMENT DE SANTE
;
COMPORTEMENT A RISQUE
;
ENQUETE
;
USA
;
PREVENTION DE LA MALADIE
;
PROMOTION DE LA SANTE
;
ALCOOLISME
;
TABAGISME
;
JEUNE
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Résumé :
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La connaissance des risques liés à la santé combinée aux conditions de vie et au stress dû à un comportement à risques chez les étudiants fut l'objet d'une étude dans le cadre d'une Enquête Nationale sur la Santé et, plus précisément, de la Promotion de la Santé et de la Prévention des Maladies. Bien que la connaissance de ces risques n'incitât pas les jeunes à entreprendre une activité physique ou à ne pas fumer, l'étude montra que les étudiants plus au fait des effets nocifs de l'alcool en buvaient moins, et ceux qui étaient conscients des risques adoptaient un comportement plus raisonnable. Les étudiants vivant seuls fumaient plus que les étudiants vivant dans une résidence universitaire. Cependant, ceux-ci buvaient plus que que les étudiants vivant chez leurs parents. Les étudiants vivant dans une résidence universitaire participaient davantage à des activités physiques en groupe que les autres étudiants mais l'activité physique qu'ils exerçaient n'était en aucune façon liée à leur connaissance des problèmes de santé. Les résultats tendent à prouver que le fait de fumer n'est guère influencé par la connaissance du problème et répond davantage au stress que la boisson. Il semble que boire constitue une activité sociale associée à la vie en communauté et que la propension à l'alcool peut être modifiée en informant davantage les étudiants des effets nocifs de l'alcool sur la santé.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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