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Titre :
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Medical students'exposure to formaldehyde in a gross anatomy dissection laboratory (1992)
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Titre original:
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Exposition au formaldéhyde des étudiants en médecine qui travaillent dans des laboratoires de dissection
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Auteurs :
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CHIA S.E. ;
ONG C.N. ;
FOO S.C. ;
LEE H.P.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Journal of American College Health (Vol. 41 n° 3)
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Article en page(s) :
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pp.115-119
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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MILIEU ETUDIANT
SANTE DU JEUNE
MEDECINE
SECURITE
ENSEIGNEMENT UNIVERSITAIRE
PRODUIT TOXIQUE
JEUNE
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Mots-clés:
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MILIEU ETUDIANT
;
SANTE DU JEUNE
;
MEDECINE
;
SECURITE
;
LABORATOIRE
;
ENSEIGNEMENT UNIVERSITAIRE
;
ETUDE DE CAS-TEMOINS
;
PRODUIT TOXIQUE
;
JEUNE
;
DISSECTION
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Résumé :
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Les auteurs ont examiné 150 étudiants en médecine de première année qui sont exposés au formaldéhyde pendant la dissection des cadavres en laboratoire. Ils prirent, en guise de groupe de référence, 189 étudiants de troisième et quatrième années équilibré en âge, sexe et groupe ethnique. On préleva des échantillons dans l'environnement et sur les personnes pour déterminer le degré d'exposition au formaldéhyde auquel sont soumis les étudiants de première année. La concentration de formaldéhyde dans l'environnement en parts par million (ppm) avoisinait 0.50 (entre 0.40 et 0.60 ppm) et sur les personnes 0.74 ppm (entre 0.41 et 1.20). On ne remarqua aucune différence significative entre la moyenne du VEMS (volume expiratoire maximum seconde précédant et suivant l'exposition ni du débit ventilatoire maxima-minute (V.Mx) sur les 22 sujets masculins et féminins choisis au hasard. On nota cependant d'importantes différences entre le groupe de référence et le groupe exposé qui présentaient des symptômes tels qu'une diminution de l'odorat, une irritation des yeux, de la gorge et une bouche sèche. Ces symptômes étaient intimement liés au moment et à l'endroit où ils se manifestèrent. Dans l'intérêt des étudiants, les écoles de médecine devraient prendre des mesures concrètes pour réduire la durée d'exposition au formaldéhyde. Entretemps, bien que ce ne soit pas encore le cas dans la majorité des écoles de médecine, les étudiants devraient toujours disposer de lunettes de protection et d'un masque quand ils travaillent dans un laboratoire de dissection.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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