Titre :
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Developing a screening questionnaire for problem drinking in college students (1991)
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Titre original:
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Développement d'un questionnaire de dépistage des problèmes de boisson chez des étudiants universitaires
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Auteurs :
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HECK E.J.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Journal of American College Health (Vol. 39 n° 5)
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Article en page(s) :
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pp. 227-231
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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ALCOOLISME
ADDICTION
DEPISTAGE
QUESTIONNAIRE
ENQUETE
ANALYSE DES DONNEES
ALCOOL
EPIDEMIOLOGIE
STATISTIQUE
JEUNE
MILIEU ETUDIANT
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Mots-clés:
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ALCOOLISME
;
ADDICTION
;
DEPISTAGE
;
QUESTIONNAIRE
;
ENQUETE
;
ANALYSE DES DONNEES
;
USA
;
ALCOOL
;
EPIDEMIOLOGIE
;
STATISTIQUE
;
JEUNE
;
MILIEU ETUDIANT
;
ETUDIANT
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Résumé :
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Le questionnaire CAGE est l'un des nombreux instruments de dépistage de l'alcoolisme qui a eu du succès dans une population générale. Cependant, il a été prouvé que cet instrument n'est pas assez fiable pour détecter les cas moins sévères d'alcoolisme spécifiques aux étudiants universitaires. Cette étude a analysé les données de l'enquête, y compris les questions de CAGE afin d'identifier les éléments possédant suffisamment de caractéristiques valables pour détecter le problème de la boisson.La définition du problème et des cas de consommation normale de boisson a été réalisée en combinant certaines catégories de données sur la quantité et la fréquence avec les catégories de problèmes liés à l'alcool. Le problème et les buveurs - normaux- ont été identifiés comme les étudiants en phase terminale de leur problème de fréquence et de quantité d'absorption d'alcool. Les différences entre les deux groupes quant à la fréquence des réponses à une enquête de 17 questions sur l'usage de l'alcool ont été examinées au cours d'une analyse approfondie. On a pu identifier cinq éléments montrant des différences significatives et l'on a également calculé la sensibilité, la spécificité et les valeurs positives de prévision. Ces éléments sont:(1) une réponse positive à au moins deux questions sur quatre du questionnaire CAGE,(2) ne choisir que rarement ou jamais de boisson alcoolisée lors de réunions de groupe, (3) conduire sous l'influence de l'alcool au moins 6 à 10 fois l'année précédente et (4) avoir commencé à consommer régulièrement de l'alcool avant les années universitaires. Les éléments ont montré une sensibilité de 88%, une spécificité de 87% et une valeur positive de prévision de 52%. Si ces données sont utilisées pour le dépistage dans une population semblable à celle-ci, elles n'identifieront pas 12% des buveurs à problèmes et classeront à tort 13% des buveurs - normaux- comme des buveurs à problèmes. Ces données représentent une amélioration considérable de la capacité de dépister les problèmes de boisson par rapport à celles de CAGE.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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