Titre :
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Knowledge of the causes of heart attack among survivors and implications for health promotion (1996)
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Titre original:
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Connaissance des causes de la crise cardiaque pour les personnes ayant survécu à un infarctus et les implications dans la promotion de la santé
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Auteurs :
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GREENWOOD D.C. ;
PACKHAM C.J. ;
MUIR K.R. ;
MADELEY J. ;
NOOTINGHAM SCHOOL OF PUBLIC HEALTH ;
QUEEN'S MEDICAL CENTRE
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Health Education Journal (Vol. 55 n° 2)
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Article en page(s) :
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pp. 215-225
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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PROMOTION DE LA SANTE
STRESS
TABAGISME
FACTEUR DE RISQUE
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Mots-clés:
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MALADIE CARDIOVASCULAIRE
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PROMOTION DE LA SANTE
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STRESS
;
TABAGISME
;
FACTEUR DE RISQUE
;
SURVIVANCE
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Résumé :
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Cette étude s'est intéressée aux personnes ayant survécu à un infarctus afin de connaître leurs opinions à ce sujet. Six unités de soins coronariens, participant déjà à l'Anglo-Scandinavian Study of Early Thrombolysis (ASSET) ont été contactées. 1283 questionnaires complétés ont été renvoyés. Le stress et l'anxiété ont été cités par la plupart des personnes interrogées (66%). Seulement 22% des patients citaient le tabagisme comme une des causes de crise cardiaque (28% parmi les fumeurs). Les fumeurs qui citaient la cigarette n'étaient pas pour autant plus susceptibles d' arrêter de fumer dans le mois suivant que des fumeurs qui ne la citaient pas (78% contre 73% respectivement). Les résultats ont été comparés à ceux d'une étude réalisée sur la population générale. La connaissance des facteurs de risques établis était pauvre dans les deux groupes. Les fumeurs étaient plus conscients des risques du tabagisme comme cause d'infarctus que les non-fumeurs dans les deux populations mais cette prise de conscience ne semblaient pas affecter le comportement tabagique des personnes ayant survécu à une crise cardiaque, et ce dans la période immédiatement consécutive à la crise cardiaque. Des différences considérables dans le niveau de connaissance de certains risques subsistaient parmi les personnes ayant survécu à un infarctus issues de classe sociales plus modestes. Les activités de promotion de la santé doivent être élaborées différemment selon qu'elles s'adressent à la population générale ou aux personnes ayant survécu à une crise cardiaque, mais doivent apporter plus qu'une connaissance des facteurs de risque afin d'être efficaces. Les personnes issues de classes sociales moins élevées sont susceptibles de faire preuve de connaissances moins élaborées dans le domaine et doivent être informées en priorité.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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