Résumé :
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Depuis novembre 2022, il n’y a plus de scène importante de consommation, mais bien entendu, les consommateurs de rue n’ont pas disparu pour autant. Ils se cachent juste davantage ou consomment seuls ou bien par petits groupes. Alors que les consommateurs de crack représentent une minorité parmi l’ensemble des consommateurs français, ils font l’objet d’un traitement médiatique important, ce qui n’est pas sans soulever plusieurs questions, notamment éthiques. Mais de quelle visibilité parle-t-on ? Cette survisibilité permet-elle un traitement politique, social et sanitaire à hauteur des besoins ?
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