Résumé :
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"Le professionnel de la petite enfance peut être gêné par ses peurs dans sa posture auprès du jeune enfant. Celles-ci sont susceptibles d’être réactivées lors des évolutions du développement du tout-petit. Le domaine de l’alimentation peut offrir de multiples occasions de s’inquiéter et ainsi de, sans trop se rendre compte, modifier les propositions faites à l’enfant pour éviter qu’il se trouve en difficulté. Cette réaction, bien qu’humaine, ne servira pas le tout-petit car elle ne lui permettra pas de répondre à son besoin irrépressible d’exploration et de découverte."
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