Résumé :
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"On aurait pu croire que rien ne changerait jamais dans la capacité à encaisser des infirmières. Éduquées à s’oublier au profit des autres, à « laisser leur vie au vestiaire » instrumentalisées dans une soumission digne des armées ou des congrégations religieuses, d’où elles viennent historiquement, aveuglées par un devoir de réserve dans lequel on englobe tout et son contraire, rien ne semblait pouvoir affecter cette main-d’œuvre courageuse et surtout silencieuse… Dans le monde d’avant, on appelait ça la vocation…"
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