Résumé :
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"Lorsque l’on évoque le mot “handicap” dans le cadre de l’accueil de la petite enfance, on pense directement aux tout-petits et aux familles, à comment l’équipe va ou doit les accueillir, aux conditions nécessaires pour le faire correctement. On oublie que les professionnels peuvent aussi être touchés. Cela est d’autant plus vrai pour les handicaps invisibles qui, par définition, ne se voient pas. En effet, autant les professionnels de la petite enfance en fauteuil roulant doivent être rares, autant les personnes en dépression ou en burn-out sont nombreuses dans ce milieu. Pourtant, le handicap généré par ces pathologies demeure du côté des non-dits."
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