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Résumé :
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"La sédentarité touche de plus en plus de jeunes et devient préoccupante en termes de coût social et de santé publique. La digitalisation de nos modes de vie explique, en grande partie, cette situation. La pandémie et les confinements qui en ont découlé ont accentué cette tendance à l’inactivité physique. Que ce soit à titre préventif ou thérapeutique, les activités physiques et sportives – replacées dans le cadre d’une démarche à la fois holistique et participative – constituent un élément clé du bien-être personnel ou du vivre-ensemble. Elles peuvent apporter leur contribution à une culture du mouvement et à une pédagogie de la mobilisation ou de l’engagement."
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