Résumé :
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Parmi les patients séropositifs actifs sur le plan sexuel au cours des 12 mois précédant l'enquête, 30% ignoraient qu'il existait un traitement prophylactique d'urgence en cas d'exposition au VIH. la connaissance de l'existence de ce traitement d'urgence n'est pas ou peu corrélée avec l'avancée de la maladie, et elle n'est pas non plus associée avec la prise de risque sexuel plus fréquent. Par ailleurs, la diffusion de la connaissance du traitement d'urgence est socialement hiérarchisée, au détriment des moins diplômés , des chômeurs et des inactifs, des plus âgés et des migrants.
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