Titre : | Un crime sans nom (2009) |
Auteurs : | SCHAFFHAUSER D. ; GUETTIER B. ; BERDA S. ; LE NESTOUR A. |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Enfances & Psy (n° 44, septembre) |
Article en page(s) : | pp. 75-83 |
Note générale : | biblio. |
Langues: | Français |
Catégories : | |
Mots-clés: | PERSONNE AGEE ; MAINTIEN A DOMICILE ; SOINS A DOMICILE ; AIDE A DOMICILE ; AUTONOMIE ; QUALITE DE VIE ; LIEN SOCIAL ; ECOUTE ; INFIRMIER ; ROLE DE L'INFIRMIER ; EDUCATION POUR LA SANTE ; SUIVI DU PATIENT ; AIDE ; AIDANT NATUREL ; TRAVAIL EN EQUIPE ; MEDECIN GENERALISTE ; ROLE DU MEDECIN ; HOSPITALISATION ; DEPENDANCE ; OUTIL D'EVALUATION |
Résumé : | Alors que l’évolution sociale favorise la maternité choisie, des infanticides ou «néonaticides» continuent de se commettre sans que le droit actuel ne prévoie, pour ces actes, de dispositions spécifiques, les assimilant à des «meurtres de mineur de 15 ans». Le silence du droit prolonge ainsi le silence de la mère néonaticide dont la grossesse puis l’accouchement sont restés clandestins en raison de l’impossibilité de les accepter. Ainsi, le refus violent de donner la vie est assimilé à une atteinte volontaire à la vie, alors qu’aucune recherche criminologique ne justifie une telle assimilation. |
Note de contenu : | SCIENTIFIQUE |
Exemplaires (1)
Cote | Code-barres | Support | Localisation | Disponibilité |
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REV ENFANCE & PSY R09600 | CE997010 | Bulletin | NADJA | Disponible |