Résumé :
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En pointant quelques éléments philosophiques, anthropologiques ou psychologiques, l’auteur donne un aperçu de ce qui organise l’extraordinaire complexité d’un regard, dans l’objectif d’en dégager, en physiologiste, les principales propriétés perceptives. Il pose ainsi la question de la pertinence d’une neuroéthologie du regard échangé qui lui permettrait de dégager des hypothèses de déficits fonctionnels de la communication dans l’autisme à partir de classes d’échanges repérées dans la construction des regards. Ce texte témoigne de la vitalité des recherches actuelles en physiologie de la perception.
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