vite content – REFLEX https://sites.uclouvain.be/reflex Le 1er blog pour mieux communiquer à l'université Tue, 05 Nov 2013 09:14:31 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.4.2 De quoi j’ai l’air (moi) ? https://sites.uclouvain.be/reflex/diagnostic/impressions-scripteur/ https://sites.uclouvain.be/reflex/diagnostic/impressions-scripteur/#respond Thu, 27 Jun 2013 08:10:40 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=23673 Lire la suite ]]> table radio_small2

Ce que le prof risque de conclure à propos de moi

Presque automatiquement, le jugement qu’un lecteur porte sur un écrit se transforme en une représentation de son auteur. Comme si, à l’instar de l’apparence physique, le style vestimentaire ou encore l’accent, les écrits d’une personne étaient les indicateurs de ce que l’auteur est en essence ou « en profondeur ».

Il s’agit d’une appréciation globale sur la personne qui sera parfois pertinente, parfois pas, mais pratiquement inévitable !

[table]

icone_incompetent NEW2,icone_negligent NEW3

phrases_incompétent,phrases_négligent

[/table]

[table]

icone_scolaire NEW2,icone_naïf NEW3
phrases_scolaire2,phrases_naïf2

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icone_pretentieux NEW2phrases_prétentieux

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https://sites.uclouvain.be/reflex/diagnostic/impressions-scripteur/feed/ 0
#phrase_incomplète https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/phrase-incomplete/ Thu, 28 Feb 2013 18:00:17 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4493 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

phrase incomplète_illu

La plupart des cas d’incomplétude, chez des scripteurs experts, peuvent être imputés à de la simple distraction.

Cependant, on constate aussi un bon nombre de cas où il semble plutôt que le scripteur a perdu de vue le degré d’exigence du discours universitaire et s’autorise (plus ou moins consciemment) des formules simplifiées, moins explicites, plus expéditives, souvent plus proches de l’oral, comme dans l’exemple ci-dessous (c’est nous qui soulignons).

Tout refaire est une solution. Mais pas du tout évidente.

Sources (illustrations sous licence Creative Commons) : Sagrada Familia – Facebook

[tab:En pratique]

spotLROM 1112 – Trois approches littéraires

Enfin, un esthéticien de la réception regardera quel est le travail du lecteur face au texte qu’il doit reconstruire, parachever et quels éléments #phrase incomplèteIl manque probablement deux mots. R quels sont les éléments qui qui dépassent le texte mais aussi ceux qui lui sont internes.

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

spotLROM 1311 – Des langues et des territoires (2)

L’alsacien que ces trois langues sont… OU L’alsacien fait partie des langues germaniques ; le basque ne fait même pas partie (…) » type= »classic » ]faisant partie des langues germaniques, le basque ne faisant même pas»#phrase»L’usage partie des langues indo-européennes et le breton faisant partie, comme l’alsacien des langues germaniques. Exception faite#phrase incomplèteIl est difficile de faire sens et de comprendre comment les informations sur les différents dialectes sont articulées. pour le roussillonnais qui est un dialecte catalan.

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

[tab:De quoi j’ai l’air ?]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
pas clair, négligent – vite content
fastidieux, naïf
non conforme

[/table]

[tab:+++]

88 clés

Fiche 7 – Phrase incomplète / pas une vraie phrase

www

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Si ma phrase est longue et/ou commence par une subordonnée, n’ai-je pas oublié de mettre le verbe principal ?
  • N’y a-t-il pas des « phrases nominales » que je pourrais réécrire sous une forme plus canonique ?
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#typographie https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/typographie/ Thu, 28 Feb 2013 17:52:26 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4353 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

typographie_illu

Les problèmes de typographie sont le résultat d’une méconnaissance ou d’une mauvaise application des règles concernant :

  • le recours (ou non) aux majuscules
  • le placement d’un espace (ou non) avant ou après un signe de ponctuation
  • la combinaison potentielle de plusieurs signes de ponctuation (par exemple : faut-il mettre le point à l’intérieur ou à l’extérieur des guillemets ?)
  • la valeur des signes de ponctuation (en lien avec balisage, cf. ci-dessous pour la distinction entre ponctuation et typographie)
  • la valeur des signes typographiques (par exemple : quelle est la différence entre les deux points et le point-virgule ?)
  • l’écriture des nombres (date, heure…)
  • la coupure des mots
  • la création et l’utilisation des abréviations
  • l’utilisation du gras et de l’italique

ATTENTION
Les règles de typographie ne sont pas universelles et de nombreuses différences existent, notamment entre le français et l’anglais.
Par exemple :
      FR Il y a des centaines de bières belges ; il est difficile d’en choisir une !
      EN There are hundreds of Belgian beers; it’s hard to choose one!

On se situe donc ici dans une approche strictement normative : telle règle typographique est appliquée (c’est correct) ou ne l’est pas (c’est incorrect). Ajoutons que, traditionnellement, certaines erreurs typographiques sont assimilées à des erreurs d’orthographe et sanctionnées comme telles (par exemple : ne pas mettre de majuscule au nom ‘belge’, alors qu’il désigne bien une personne et doit, en français, prendre une majuscule).

Toutes ces règles peuvent être consultées en suivant les liens proposés dans la section +++ de cette même fiche.

Généralement, les erreurs typographiques n’ont pas vraiment d’impact sur la clarté du contenu. Cependant, elles peuvent rendre la lecture un peu moins confortable (l’oeil du lecteur utilisant les marques typographiques comme « points d’appui »). Par ailleurs, l’accumulation de petits problèmes de ce type peut nuire à l’image du scripteur (elle sera vite interprétée comme un manque de sérieux et de rigueur).

Il ne faut pas confondre problème de #typographie avec problème de #ponctuation. Voici deux exemples pour comprendre la différence :

  1. « Il avait préféré alors que tous les autres étaient déjà rentrés rester une heure de plus pour savourer le coucher de soleil » #ponctuation (sous-exploitation)
    >> Il faut encadrer l’incise « alors que tous les autres étaient déjà rentrés » par deux virgules pour rendre le propos plus clair. C’est donc bien un problème de balisage.
  2. « Elle avait tout vendu: la maison, les meubles, la voiture, le bateau, … » #typographie
    >> Les règles de typographie prévoient qu’il faut, en français, un espace avant et après les deux points. De plus, on ne peut pas faire suivre une virgule de points de suspension. Ce sont des problèmes de respect de la norme dans la présentation.

Source de l’illustration : Le journal du geek / 28.06.2013

[tab:En pratique]

spotLROM 1311 – Des langues et des territoires (1)

La zone en rose correspond à l’Armorique. Il n’est pas concerné car ce territoire fut celtisé par les bretons#typographieIl faut une majuscule aux noms de nationalités quand ils désignent les personnes. R ‘les Bretons’ qui s’y sont installés lorsqu’ils furent chassés par les anglo-saxons#typographieIl faut une majuscule aux noms de nationalités quand ils désignent les personnes. R ‘les Anglo-Saxons’. La zone en vert correspond à un territoire où l’on parle le gascon. Le gascon est une langue non liée à l’occitan qui se parle aussi dans le nord-est#typographieIl faut une majuscule aux points cardinaux quand ils désignent un territoire, une région. R ‘le Nord-Est’ de l’Espagne.

 Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée) (lien intégré vers AC)

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
non conforme, négligent – vite content
incorrect, incompétent
fatigant,

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[tab:+++]

CCDMD

Une fiche explicative sur les tirets et les parenthèses

Une fiche explicative sur les guillemets et l’italique

Un jeu (emprunté à la BDL) avec notamment une section « typographie/ponctuation »

 

BDL

Un tableau très clair sur l’espacement avant et après les signes de ponctuation les plus fréquents

Le point sur :

Très utile : un petit point sur la notion d’espaces insécables

Un truc
Pour introduire un espace insécable dans Word :
CTRL (ou touche ‘commande’ sur Mac) + MAJ + barre d’espacement


Les procédés de mise en relief

www

Un manuel de typographie en ligne, très complet et pratique

Une série de jeux et d’exercices ‘diagnostic’ autour d’erreurs de ponctuation (typographie) courantes

Un topo Wikipédia complet et bien documenté sur l’usage des majuscules en français

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Y a-t-il dans mon texte des noms propres, des abréviations, des nombres ?
  • Si oui, ai-je vérifié la bonne application des règles d’écriture les concernant (notamment pour l’utilisation des majuscules) ?
  • Ai-je vérifié la pertinence et la bonne utilisation des signes de ponctuation (notamment pour la gestion des espaces) ?
]]>
#mise_en_page https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/mise-en-page/ Thu, 28 Feb 2013 17:51:46 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4333 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

mise en page_illu

Les questions de mise en page concernent :

  • l’organisation et la hiérarchisation des titres / des sections de texte (et leur référencement dans la table des matières)
  • l’alignement du texte (notamment l’utilisation des tabulations)
  • les polices et les tailles de caractères
  • les interlignes et les espaces entre les paragraphes
  • le placement des illustrations
  • les passages à la ligne et les sauts de page

Une façon de s’assurer de la cohérence de son texte en ce qui concerne la majorité des critères évoqués ci-dessus est d’utiliser le système de styles (soit ceux qui sont prévus par le traitement de texte que l’on utilise, soit en créant soi-même une feuille de style). Il s’agit de définir à l’avance l’apparence de tel ou tel niveau de titre ou de texte et d’appliquer systématiquement le style défini à chaque section de texte concernée. Par exemple, si je désire que tous mes titres de niveau 1 (titres principaux) apparaissent en Arial 18 gras, je crée un style que j’appellerai « titre 1 » et qui portera ces caractéristiques. Par la suite, chaque fois que j’écrirai un nouveau titre de ce niveau, je le sélectionnerai puis cliquerai sur le bouton « titre 1 ». Pour plus d’informations à ce sujet : voir la section +++ de cette fiche.

L’intérêt d’une mise en page de qualité est d’assurer la lisibilité du texte, en améliorant le confort de lecture et en rendant plus visible la structure du texte telle que l’a balisée le scripteur (voir la description des problèmes de balisage). La cohérence dans la mise en page démontre par ailleurs le soin qui a été apporté au document et dès lors la préoccupation de l’auteur pour ses destinataires.

Sources pur l’illustration :
tiroir rangé

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
lourd – fatigant, négligent – vite content
pas soigné,
pas clair,

[/table]

[tab:+++]

BDL

Des procédés de mise en relief

 www

12 conseils pour créer des documents plus percutants : une réflexion conçue pour les documents d’entreprises, mais dont les conseils sont valables dans d’autres contextes !

2 guides

Les styles

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Ai-je prévu une hiérarchisation claire de mes titres et des différentes parties de mon texte ?
  • Les caractéristiques typographiques (police, taille, mise en relief, espacements, alignements, interlignes…) sont-elles cohérentes par rapport à cette hiérarchisation ?
  • Sont-elles appliquées systématiquement ?
  • La numérotation suit-elle également cette hiérarchisation ?
  • N’y a-t-il pas de passages à la ligne ou de sauts de pages inappropriés ?
  • Les interlignes, les espaces entre les paragraphes, la taille de la police, etc. sont-ils suffisamment grands pour garantir un confort de lecture aux destinataires ?
]]>
#document https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/document/ Thu, 28 Feb 2013 17:51:00 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4313 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

document_illu2

Bien sûr, rares sont les situations où le manque de soin dans une copie manuscrite ou un travail imprimé est tel qu’il aura une influence directe sur les résultats de l’étudiant. Un travail de qualité dont la présentation globale laisse à désirer (par exemple : la page de garde est absente ou illisible) reste un bon travail.

Cependant, l’image négative véhiculée par un document sale, abîmé, illisible… a un réel impact sur la façon dont le professeur va se représenter l’étudiant, sa motivation, ses compétences, son attitude. Inconsciemment, il pourrait associer le manque de soin à de la négligence, à du « je-m’en-foutisme », et partir du principe que l’étudiant n’a pas fourni d’effort, ni sur le fond, ni sur la forme. Il pourrait dès lors être moins indulgent face à ses erreurs.

En outre, la lisibilité est ici aussi en jeu : il est difficile pour un enseignant de bien comprendre (et donc de bien évaluer) une réponse quand son attention est parasitée par les difficultés qu’il rencontre pour la déchiffrer…

Qu’on le veuille ou non, ces deux aspects peuvent donc finalement jouer un rôle (même réduit) dans l’évaluation globale de la production de l’étudiant.

Sources pour l’illustration :
torchon à carreauxtache d’encre

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
pas soigné, vite content
inapproprié, négligent

[/table]

[tab:+++]

Probablement le seul problème étiqueté dans REFLEX
pour lequel Internet ne pourra rien faire pour vous 😉

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Puis-je dire, en parcourant mon document rapidement, qu’il est impeccable ? La page de garde est-elle irréprochable ?
  • La qualité d’impression est-elle correcte ? Le texte est-il bien lisible partout ?
  • Mon écriture est-elle lisible ? N’y a-t-il pas des passages que je devrais réécrire ou des mots que je pourrais mettre en évidence (souligner) afin de faciliter un peu la lecture ?
  • Si j’ai imprimé certains passages en couleurs, celles-ci ont-elles le rendu attendu ?
  • Ai-je vérifié qu’il n’y avait pas de feuille tachées, froissées, déchirées ?
  • N’ai-je pas oublié l’une ou l’autre annotation, remarque au crayon ?
]]>
#référencement https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/referencement/ Thu, 28 Feb 2013 17:41:31 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4133 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

référencement_illu

Les questions de référencement concernent :

  • la gestion des citations
  • la gestion des notes de bas de page
  • l’application des règles de référencement bibliographique
  • l’application des règles de référencement plus spécifiques (webo-/sitographie, images…)

ATTENTION
Malgré la profusion de sources mises à disposition par Internet, la grande facilité d’accès à celles-ci et l’anonymat relatif dans lequel elles semblent parfois se trouver, il est essentiel que toute mention d’un contenu issu d’Internet soit référencé avec autant de rigueur qu’un extrait d’ouvrage et d’article ! Une attention toute particulière sera accordée aux choix des illustrations et aux droits d’utilisation qui leur sont liés (voir pour cela la section +++ de cette fiche).

La mention des sources d’une information ou d’une citation données dans le texte peut se faire de deux manières :

  • soit en créant une note de bas de page, où l’on mentionne les références complètes,
  • soit en mentionnant seulement l’auteur et la date de la référence (ces deux éléments d’information suffisent alors pour retrouver la référence complète dans la bibliographie située en fin de chapitre ou de travail).

De la même manière, plusieurs modèles existent quant au classement des références dans la liste bibliographique en fin de texte :

  • soit un classement alphabétique de toutes les références,
  • soit un classement par type de source et selon l’ordre alphabétique,
  • soit un classement distinguant le corpus primaire (les textes analysés) et le corpus secondaire (les références théoriques exploitées).
  • (et il existe encore d’autres systèmes…)

En ce qui concerne les questions de typographie et d’ordre de présentation des données reprises dans les références, plusieurs systèmes coexistent également. Même si certains systèmes sont plus exhaustifs que d’autres (tous ne prévoient pas, par exemple, de mentionner le nombre de pages d’un ouvrage), les données essentielles mentionnées sont quant à elles les mêmes partout, à savoir (nous les citons ici en vrac) :

  • le nom de l’auteur
  • le prénom de l’auteur
  • le titre (de l’ouvrage, de l’article…)
  • la date d’édition
  • dans le cas d’un livre : l’éditeur commercial (la maison d’édition) et le lieu d’édition
  • dans le cas d’un chapitre de livre : le titre du livre, son éditeur scientifique, son éditeur commercial et le lieu d’édition
  • dans le cas d’un article de revue : le titre de la revue et son numéro et/ou volume.

Le choix d’un système de normes plutôt qu’un autre sera déterminé par les règles en vigueur dans la faculté, les consignes explicites du professeur ou encore le domaine de recherche dans lequel on évolue (par exemple, dans le domaine de la psychologie, le système en vigueur est celui de l’APA, l’American Psychological Association ; un autre exemple est celui des règles utilisées dans le domaine de la linguistique).

Le plus important, une fois le système ad hoc identifié, sera d’appliquer de façon systématique les règles qui le composent. Le mot d’ordre est donc : cohérence !

NB
Il ne faut pas confondre les problèmes de #référencement (qui sont « simplement » le résultat d’une mauvaise application des normes pour citer et référencer les informations utiles sur la source) et les problèmes de #source (qui ont pour conséquence que la source et/ou sa prise en charge du propos ne peuvent pas être clairement identifiés)

 

Sources (photos sous licence Creative Commons) : livres en désordre

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
fastidieux, négligent
non conforme, vite content
pas clair, incompétent

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[tab:+++]
88 clés

Fiche 11e – Citation pas entre guillemets ou en retrait

Fiche 11g – Référence inexacte ou non conforme aux conventions

BDL

Les éléments d’une notice bibliographique

i-campus

LFLTR 1120 (Méthodes et pratiques du discours universitaire) : comment faire des appels de note et rédiger des notes de bas de pages ? Comment rédiger des références bibliographiques ?

Attention, il faut être identifié sur i-campus pour avoir accès au document.

www

Normes de référencement

  • un document décrivant la démarche d’harmonisation des références bibliographiques en Faculté de Philosophie, Arts et Lettres à l’UCL
  • des indications pour insérer des références ou des citations dans un texte et établir une bibliographie selon les conventions en vigueur dans le domaine de la linguistique
  • un autre exemple d’ensemble de normes (illustrées d’exemples) pour le référencement bibliographique ou webographique (Lycée Pilote Innovant International – Poitiers)
  • d’autres règles et exemples pour le référencement de différents types de documents (via l’Ecole de Bibliothéconomie et des Sciences de l’information de l’Université de Montréal)

RAPPEL : connaître la position de l’UCL au sujet du plagiat (une problématique sur laquelle il est essentiel de s’arrêter !)

Droits des images

 

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Ai-je vérifié que chacune de mes citations était mentionnée de la même manière que les autres, accompagnée de toutes les références nécessaires pour identifier la source ?
  • Toutes les sources évoquées dans le texte se retrouvent-elles bien dans ma bibliographie / sitographie ?
  • Ai-je pensé à mentionner de façon complète mes références Internet ?
  • Ma bibliographie / sitographie est-elle construite de façon cohérente et systématique, selon un modèle unique, en accord avec les règles en vigueur (dans la faculté, dans le domaine de recherche concerné, pour le cours dont il est question…) ?
  • Mon système de notes de bas de page est-il également cohérent et systématique ? N’ai-je pas laissé des notes « orphelines » ?
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#ortho_gramm https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/ortho-gramm/ Thu, 28 Feb 2013 17:31:13 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4103 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

ortho gramm_illu

Les erreurs d’orthographe grammaticale consistent en un non-respect des règles qui spécifient la forme graphique que doivent prendre les mots en fonction de leur combinaison dans la phrase et en fonction des relations qu’ils entretiennent les uns avec les autres (ce qu’on appelle la flexion).

Elles sont généralement plus fréquentes que les erreurs d’orthographe lexicale (cf. #ortho lex) mais aussi potentiellement plus difficiles à repérer et à corriger, car le respect de ces règles suppose que le scripteur reste en permanence attentif aux relations qui lient les mots (alors que le respect de l’orthographe lexicale est souvent le résultat d’habitudes bien ancrées).

Pour celles et ceux qui ont préalablement bien mémorisé ces règles d’orthographe grammaticale, les erreurs de ce type peuvent donc être en grande partie évitées grâce à une relecture minutieuse. Par contre, le dictionnaire ne sera dès lors pas d’une grande utilité pour se corriger, pas plus que les logiciels de correction automatique (auxquels on ne peut d’ailleurs pas recourir dans le cadre d’un examen manuscrit), qui sont généralement plus performants pour identifier les erreurs d’orthographe lexicale.

Respecter ces règles suppose essentiellement de pouvoir identifier dans quelles conditions telle ou telle règle de flexion doit être appliquée (par exemple : quand y a-t-il lieu d’accorder en genre et en nombre ?) et de pouvoir sélectionner la forme fléchie adéquate dans ce contexte (par exemple : quelle est la forme attendue au pluriel ou au féminin ?). Les erreurs de conjugaison (portant sur les « terminaisons » verbales) sont souvent présentées séparément mais sont en réalité des erreurs de flexion concernant le temps et la personne.

Parmi les erreurs les plus fréquentes, on notera :

  • des erreurs de flexion
    les pluriels irréguliers
    les formes féminines irrégulières
  • les oublis d’accords
    un adjectif au singulier tandis que le nom correspondant est au pluriel
    le fameux « accord du participe passé »
  • des erreurs de conjugaison (cas particuliers d’erreurs de flexion)
    la confusion des terminaisons pour les 3 personnes du singulier
    la fameuse confusion entre les formes verbales -é / -er / -ez

Sources : Bescherelle – Facebook

[tab:En pratique]

spot
LFLTR 1120 – La confusion autour du terme « libertins »

En effet est évoquée la ‘jeunesse débauchée de la noblesse’ dont le but est d’être opposé à l’ordre moral, à la tradition. Tandis que l’autre genre de personne évoquée est un groupe composés de certains philosophe (…)

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

[tab:De quoi j’ai l’air ?]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
non conforme, incompétent
incorrect, négligent – vite content
pas soigné

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[tab:+++]

CCDMD

Le site du CCDMD est une mine d’or, notamment pour les questions d’orthographe

BDL

La Banque de Dépannage Linguistique offre énormément de ressources pour des questions d’orthographe diverses ; n’hésitez pas à utiliser son moteur de recherche ou ses index ou encore son thème « Grammaire » !

Quelques exemples de difficultés fréquentes

www

Sur Logilangue

Le conjugueur, pour conjuguer n’importe quel verbe en ligne.

Un autre site sur l’accord du participe passé (avec quelques cas particuliers)

Au secours, un site à destination des élèves de la fin du secondaire, mais pertinent pour toute personne qui se soucie de son orthographe et se pose des questions récurrentes !

Parler français, un site où l’on retrouve les principales difficultés de la langue française, les bizarreries sur lesquelles il nous arrive parfois d’hésiter ainsi qu’un florilège des fautes les plus courantes.

Bréviaire d’orthographe française, un site qui revient sur les règles permettant de résoudre des difficultés d’orthographe. Voir surtout les parties « Verbes », « Noms », « Adjectifs » pour les questions d’orthographe grammaticale.

Langue au chat, un site qui évoque toutes sortes de difficultés que l’on rencontre fréquemment quand on écrit en français.

[tab: GRR]

  • point d'interrogation détouréAi-je vérifié les accords nom/adjectif, sujet/verbe ?
  • Ai-je vérifié mes participes passés / les verbes terminés par le son « é » ?
  • Y a-t-il des mots potentiellement irréguliers dans mon texte, en ce qui concerne la formation du pluriel ou de la forme féminine ?
  • Ai-je vérifié les terminaisons de mes verbes conjugués ?

 

]]>
#ortho_lex https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/ortho-lex/ Thu, 28 Feb 2013 17:30:11 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4083 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

ortho lex_illu CORR

L’orthographe lexicale (appelée parfois aussi « orthographe d’usage ») concerne donc le « lemme » (la forme graphique du mot telle qu’on la retrouve conventionnellement dans les dictionnaires).

Les erreurs qui relèvent de cette catégorie touchent donc (liste non exhaustive) :

  • la présence et le choix des accents
  • les redoublements de consonnes
  • les mots homophones
  • les graphies multiples pour un même son
  • les lettres « muettes »

 

Sources (illustrations sous licence Creative Commons) : bas rayés – Facebook

[tab:En pratique]

spotLFLTR 1120 – La polémique des libertins (2)

Ce mot provient du langage de la polémique car il sucite#orthographe lexicaleR 'suscite' un débat vif et des critiques, ce qui provoque la marginalisation de ces personnes qui ne suivent pas le model#orthographe lexicaleR 'modèle' traditionnel.

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

[tab:De quoi j’ai l’air ?]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
non conforme, incompétent
incorrect, négligent – vite content
pas soigné

[/table]

[tab:+++]

CCDMD

Le site du CCDMD est une mine d’or, notamment pour les questions d’orthographe

BDL

La Banque de Dépannage Linguistique offre énormément de ressources pour des questions d’orthographe diverses ; n’hésitez pas à utiliser son moteur de recherche ou ses index ou encore son thème « Orthographe » !

Quelques exemples de difficultés fréquentes :

www

Orthonet, pour vérifier directement l’orthographe d’un mot.

Sur Logilangue

Au secours, un site à destination des élèves de la fin du secondaire, mais pertinent pour toute personne qui se soucie de son orthographe et se pose des questions récurrentes !

Parler français, un site où l’on retrouve les principales difficultés de la langue française, les bizarreries sur lesquelles il nous arrive parfois d’hésiter ainsi qu’un florilège des fautes les plus courantes.

Bréviaire d’orthographe française, un site qui revient sur les règles permettant de résoudre des difficultés d’orthographe. La partie « Généralités » concerne plus particulièrement l’orthographe lexicale.

Langue au chat, un site qui évoque toutes sortes de difficultés que l’on rencontre fréquemment quand on écrit en français.

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Ai-je vérifié les mots où l’on pourrait potentiellement hésiter sur le redoublement d’une consonne ou le type d’accent ?
  • Ai-je utilisé des mots qui possèdent des homophones (comme mère/maire/mer, par exemple) ?
]]>
#source https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/source/ Thu, 28 Feb 2013 17:24:11 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4023 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

source_illu

Très souvent, on rencontre des productions où le scripteur énonce une vérité, un principe, un concept… sans préciser qui est l’auteur de ce propos. On ne peut donc pas distinguer les éléments de contenu repris et ceux qui relèveraient du raisonnement du scripteur, voire de son avis personnel.

Dans d’autres cas, le scripteur utilise des expressions (souvent des tournures impersonnelles) qui, même si elles permettent de penser qu’il n’est pas lui-même l’auteur du propos, restent trop générales et n’indiquent donc pas la source précisément (par exemple : « on », « certains auteurs », « il apparaît souvent que… », etc.).

Autre erreur fréquente : une source est bien mentionnée au début, mais au fur et à mesure du propos, d’autres éléments de contenu, issus d’autres sources, sont ajoutés sans pourtant que l’on évoque ces nouvelles sources.

NB
Quand une source est mentionnée mais qu’elle est erronée, on parlera plutôt de #contenu non pertinent, comme dans l’exemple ci-dessus, quand un commentateur attribue le vers à Monet [*money] au lieu de Verlaine (d’ailleurs, dans notre exemple, c’est bien parce que le scripteur initial n’a pas cité sa source qu’au moins un de ses lecteurs a mal attribué l’extrait !). Ce cas de figure est finalement proportionnellement plutôt rare .
Quand le problème porte sur les règles en vigueur pour citer correctement une source et/ou mentionner des références bibliographiques, on se dirigera vers la fiche #référencement.

Pourtant, plusieurs façons de mentionner la source sont envisageables :

  • « selon X, … » ou « d’après Y, … »
  • « X relève que… », « Y précise que… »,  « Z affirme par contre que… » *
  • « Les travaux de X apportent un argument supplémentaire… »,  « L’oeuvre de Y montre que… »
  • (citer la source entre parenthèses)
  • (citer la source en note de bas de page)

* Exemples d’autres verbes d’énonciation
mentionner, évoquer, dire, rapporter, indiquer, émettre l’hypothèse, envisager, souligner, soutenir, déclarer, prétendre, garantir, reconnaître, stipuler, signaler, révéler…
REM : ces verbes ne sont pas interchangeables (cf. le paragraphe ATTENTION ci-dessous) !

Toute la problématique de la citation des sources renvoie évidemment à celle du plagiat.

Voir aussi l’onglet « +++ »

ATTENTION !
En plus de citer/mentionner ses sources, il est essentiel d’être fidèle à leur posture et à leur degré de prise en charge de leur propos. En d’autres termes, si un auteur nuance son propos ou la portée de son propos (en utilisant tel verbe d’énonciation plutôt que tel autre, par exemple, ou encore en recourant à des modalisateurs >> voir à ce sujet la fiche #posture), il incombe au scripteur qui reprend ce propos de rendre cette nuance, d’une manière ou d’une autre.
Plus concrètement encore : si un auteur mentionne dans un article qu’il est « possible que X soit la cause de Y », il est erroné d’écrire, par exemple, « Cet auteur voit en X la cause de Y ».

Sources (photos sous licence Creative Commons) : Zéros SociauxMonet, La pluie

 

[tab:En pratique]

spot LFLTR 1550 – Les descriptions dans les romans réalistes (2)

Sous l’Ancien Régime, la description avait un rôle secondaire mais depuis le XIXe s. elle est placée au cœur des intrigues. Dans le roman, la description s’impose, elle devient le « mode majeur de présentation du réel »#source pas claireIl n'est pas précisé que ce 'cadre théorique' est proposé par Kunz Westerfhoff R 'Selon K. Westerhoff...'

 

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

 

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
incomplet, négligent – vite content
ambigu – imprécis, naïf – candide
non conforme

[/table]

[tab:+++]

88 clés

Fiche 11f – Source trop vague / Source non mentionnée

Fiche 11c – Citation mal intégrée / mal utilisée

Fiche 11d – Citation incomplète / inexacte / mal comprise

CCDMD

Comment savoir si on doit répondre de façon neutre, se baser sur un auteur ou donner son opinion ?

www

300 verbes pour introduire une citation (grosso modo : 300 synonymes du verbe « dire »)

Connaître la position de l’UCL au sujet du plagiat (une problématique sur laquelle il est essentiel de s’arrêter !)

Tester sa propre attitude face à cette question

Trouver des informations sur les bonnes pratiques à mettre en place (Université de Montréal)

Droits des images

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Peut-on identifier facilement, pour chaque élément de contenu important, qui en est l’auteur ?
  • Les différents propos développés relèvent-ils tous de la même source / théorie, du même auteur ?
  • Peut-on faire facilement la différence entre mon propre raisonnement/avis, mes illustrations personnelles et les éléments théoriques ou les exemples « extérieurs » ?
]]>
#terme_imprécis https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/terme-imprecis/ Thu, 28 Feb 2013 17:09:28 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=3893 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

terme imprécis illuCette tendance à tenir un propos très (trop) général ou vague se rencontre extrêmement souvent.

Elle peut être problématique pour deux raisons :

  1. soit parce que le scripteur est censé aborder un concept clé de son propos et que le manque de précision nuit à la justesse du propos,
  2. soit parce que le scripteur accumule les approximations, au détriment de la compréhension générale du propos

Qu’observe-t-on le plus souvent ?

  • des verbes « creux », peu significatifs : « Il y a dix personnes dans l’équipe » (mieux : « L’équipe compte dix membres »)
  • des termes courants : voir l’exemple dans « En pratique » avec « personnes »
  • des termes génériques : « l’arbre » (plus précisément : « le chêne »)
  • des termes polysémiques : « l’hôte » (il peut s’agir de l’invité ou de celui qui reçoit)
  • des expressions ou pronoms indéfinis : « On relève chez certains auteurs… » (plus précisément : « J. Dupont relève chez Stendhal et Flaubert »)

NB
Pour la question des verbes « creux », nous renvoyons aussi au problème de #collocation.
Pour celle des expressions ou pronoms indéfinis, à celui de #info manquante ou #cohésion

Les vrais synonymes sont rares !
Comme on l’explique ici, deux termes peuvent être quasi synonymes mais se distinguer par un degré de généricité différent (« champignon » VS « pleurote »), la présence d’une connotation (« beau » VS « superbe »), leur appartenance à un registre différent (« voiture » VS « bagnole »).
Bien sûr, il est recommandé de veiller à ne répéter plusieurs fois le même terme dans une phrase ou un paragraphe. Cependant, il faudra toujours veiller à ce que le synonyme choisi (ou la périphrase) soit aussi pertinent que le terme initial !

Sources (illustrations sous licence Creative Commons) : Zéros Sociaux dauphinmarsouinorquerorqualbaleinebeluga

[tab:En pratique]
spotLFLTR 1120 – La confusion autour du terme « libertins »

Le terme ‘libertins’ est confus dans ce texte car il s’applique à deux genres de personnesL'expression 'genres de personnes', outre qu'elle relève d'un registre relativement familier, est très vague. R catégories de personnes OU groupes d'individus OU types de comportements... bien distincts voire différents. En effet est évoquée la ‘jeunesse débauchée de la noblesse’ dont le but est d’être opposé à l’ordre moral, à la tradition. Tandis que l’autre genre de personne évoquée est un groupe composés de certains philosophe dont le but ici est d’éviter le scandale dans leur liberté philosophique.
Finalement, la confusion provient des buts soutenus par les deux groupes distincts.

 Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
ambigu – trop implicite, négligent – vite content
imprécis, naïf – candide
fastidieux

[/table]

[tab:+++]

88 clés

Fiche 4a – Mot vague ou équivoque

Fiche 4b – Mot pas assez spécifique

Fiche 4e – Mot employé confusément en même temps que d’autres

CCDMD

Des exercices interactifs sur la précision du vocabulaire (parmi un grand nombre d’autres exercices/tests du même type)

BDL

Pour enrichir son vocabulaire : des éponymes (noms communs construits sur la base de noms propres)

www

Termium : une base de données terminologique du Bureau de traduction canadien (possibilité de préciser sa recherche par domaines ; accès aux termes équivalents en anglais et en espagnol)

Accès à des lexiques et vocabulaires spécifiques (par domaines)

Un réflexe à acquérir (créez-vous un onglet de raccourci dans votre navigateur !) :
consulter le Trésor de la langue française informatisé

Un bon dictionnaire des synonymes réalisé par l’Université de Caën
(présentation claire ; synonymes/antonymes ; scores de « proximité » par rapport au mot-cible ; cliques)

Un lexique de termes littéraires

Le Grand dictionnaire terminologique

La Terminobanque (Fédération Wallonie-Bruxelles)

Chercher pour trouver (EBSI Montréal) – Travail écrit – Utilisation de verbes précis

 

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Le terme que j’ai utilisé a-t-il une seule signification/acception ? Pourrait-il englober plusieurs idées, objets, notions ?
  • Le terme est-il spécifique du champ d’étude dans lequel nous nous trouvons ou peut-il servir dans d’autres contextes ?
  • Puis repérer plusieurs « avoir », « être » ou « faire » dans mon texte (à l’ordinateur, utiliser la fonction CTRL+f) ? Pourrais-je en remplacer certains par des verbes plus spécifiques ?
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