négligent – REFLEX https://sites.uclouvain.be/reflex Le 1er blog pour mieux communiquer à l'université Tue, 05 Nov 2013 09:14:31 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.4.2 De quoi j’ai l’air (moi) ? https://sites.uclouvain.be/reflex/diagnostic/impressions-scripteur/ https://sites.uclouvain.be/reflex/diagnostic/impressions-scripteur/#respond Thu, 27 Jun 2013 08:10:40 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=23673 Lire la suite ]]> table radio_small2

Ce que le prof risque de conclure à propos de moi

Presque automatiquement, le jugement qu’un lecteur porte sur un écrit se transforme en une représentation de son auteur. Comme si, à l’instar de l’apparence physique, le style vestimentaire ou encore l’accent, les écrits d’une personne étaient les indicateurs de ce que l’auteur est en essence ou « en profondeur ».

Il s’agit d’une appréciation globale sur la personne qui sera parfois pertinente, parfois pas, mais pratiquement inévitable !

[table]

icone_incompetent NEW2,icone_negligent NEW3

phrases_incompétent,phrases_négligent

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icone_scolaire NEW2,icone_naïf NEW3
phrases_scolaire2,phrases_naïf2

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icone_pretentieux NEW2phrases_prétentieux

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https://sites.uclouvain.be/reflex/diagnostic/impressions-scripteur/feed/ 0
#nouvelle_ortho https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/nouvelle-ortho/ Thu, 09 May 2013 07:59:23 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=16923 Lire la suite ]]> [tab: En théorie]

nouvelle ortho_illu

La réforme de l’orthographe de 1990 (proposée par Conseil supérieur de la langue française) est la plus récente mais est loin d’être la seule dans l’histoire de la langue française (voir ici ou ici). Elle a pour ambition de rationaliser les pratiques orthographiques.

En Belgique, depuis la rentrée 2008, les enseignants de tous niveaux sont invités à enseigner prioritairement la nouvelle orthographe. Il ne s’agit pas de sanctionner les graphies traditionnelles, mais bien de faire en sorte que les formes rectifiées deviennent la référence, à l’école comme dans les textes officiels.

Aujourd’hui, on peut considérer que, selon les recommandations officielles, les deux graphies sont tolérées. On ne peut exiger l’une ou l’autre, exactement au même titre que l’on accepte les deux graphies de clé/clef, par exemple. Néanmoins, il est clair que l’usage simultané des deux graphies peut donner une image négative du scripteur : on pourra le soupçonner d’écrire maîtrise au début de son texte et maitrise quelques lignes plus bas non pas parce qu’il sait que les deux formes sont acceptées, mais par négligence ou ignorance. Il s’agit donc de s’interroger sur les attentes potentielles de son lectorat et de choisir de s’y conformer ou non, en connaissance de cause.

Sources (photos sous licence Creative Commons) : feu d’artifice – Facebook

[tab: En pratique]

spotLROM 1311 – La standardisation des langues (1)

Ce morcellement est du#ortho lex #nouvelle orthoL'article 'du' ne prend pas d'accent tandis que le participe passé de devoir, oui. Même si l'on applique les nouvelles conventions orthographiques, où l'accent circonflexe sur le 'u' disparait systématiquement, cet accent est maintenu précisément sur le 'dû' de 'devoir' pour éviter la confusion de ces homonymes fréquents. R 'est dû aux' aux différentes invasions et au dynamisme des dialectes vénète et lombard.

 

Consulter l’analyse complète (réponse complète et son analyse détaillée)

[tab: « De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
non conforme, négligent
incohérent, scolaire

[/table]

[tab: +++]

CCDMD

Testez vos connaissances au Musée de la nouvelle orthographe

 

BDL

Questions fréquentes sur les rectifications orthographiques

NB
Il s’agit d’un site québécois ; le positionnement face à la réforme peut différer, sur certains aspects, de celui tenu en Belgique.

 

Liste alphabétique des mots rectifiés

i-campus

LROM 1221 – Vidéo : « Incorrigible orthographe »

www

Information générale, officielle, complète et très claire sur l’orthographe recommandée

7 règles pour vous simplifier l’orthographe (édité par le Conseil de la langue française)

Un petit test pour voir où en sont ses connaissances des rectifications orthographiques

Recto/Verso : un logiciel en ligne pour appliquer automatiquement à vos textes les rectifications orthographiques

Vidéo : les règles de la réforme de l’orthographe

« Qui a peur de la réforme ? » : un argumentaire nourri sur la question de l’orthographe et de son évolution

Un dossier de l’asbl « Lire et écrire »

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Est-ce que j’utilise des noms ou des numéraux composés ?
  • Y a-t-il des verbes ou des noms contenant un e dont l’accent me semble « incertain » ?
  • Ai-je écrit un (des) mot(s) contenant un ‘u’ ou un ‘i’ sur lequel j’aurais auparavant mis un accent circonflexe ou un tréma ?
  • Y a-t-il dans mon texte des mots d’origine étrangère ?
  • Ai-je utilisé une construction de type ‘laisser + infinitif’ ?
]]>
#syntaxe_incongrue https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/syntaxe-incongrue/ Thu, 28 Feb 2013 18:00:57 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4513 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

syntaxe incongrue_illu

On retrouvera sous cette étiquette tous les cas de syntaxe déficiente qu’on ne pourra pas qualifier plus précisément : pour résoudre le problème, il ne suffit pas d’ajouter un mot manquant, de modifier un morphème grammatical mal choisi, de rétablir le bon temps ou le bon mot, ni même de clarifier les référents d’une construction ambigüe… Soit il s’agit d’une présence massive et combinée de plusieurs de ces problèmes, soit le résultat est tellement incompréhensible que le diagnostic précis est impossible.

Sources (photos sous licence Creative Commons) : Besherelle – Facebook

[tab:En pratique]

spotLFLTR 1120 – La confusion autour du terme « libertins » 

En effet est évoquée la ‘jeunesseL'inversion sujet/verbe combinée à l'emploi de la forme passive crée une forme non canonique et inattendue, qui rend la compréhension moins aisée (outre le fait qu'il manque une virgule après 'en effet') R En effet, il (le terme 'libertins') évoque la jeunesse débauché de la noblesse’ dont le but est d’être opposé à l’ordre moral, à la tradition.

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

spotLROM 1112 – Trois approches littéraires

Enfin, un esthéticien de la réception regardera quel est le travail du lecteur face au texte qu’il doit reconstruire, parachever et quels éléments mais aussi ceux qui lui sont internes permettent d’effectuer cette reconstructionLa fin de phrase est pratiquement impossible à interpréter (confusion éventuellement entre /permettent/ et /permettant/ ?!?). Il s’agit d’un exemple proche de #tournure confuse, à savoir une formulation très complexe mal gérée. R Il regardera également quels éléments, externes et internes au texte, permettent d’effectuer cette reconstruction..

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
pas clair – ambigu, incompétent
incompréhensible, négligent
incorrect, (prétentieux)

[/table]

[tab:+++]

CCDMD

www

Des exemples de solécismes et anastrophes (considérés, s’il ne s’agit pas d’une licence poétique, comme des formulations syntaxiques incongrues)

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • La formulation que j’utilise ne peut-elle pas être simplifiée ?
  • Si je rédige une phrase longue et complexe, suis-je sûr que les éléments pris ensemble font sens ?
  • Si je relis la phrase lentement à voix haute, est-elle compréhensible ?
]]>
#phrase_incomplète https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/phrase-incomplete/ Thu, 28 Feb 2013 18:00:17 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4493 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

phrase incomplète_illu

La plupart des cas d’incomplétude, chez des scripteurs experts, peuvent être imputés à de la simple distraction.

Cependant, on constate aussi un bon nombre de cas où il semble plutôt que le scripteur a perdu de vue le degré d’exigence du discours universitaire et s’autorise (plus ou moins consciemment) des formules simplifiées, moins explicites, plus expéditives, souvent plus proches de l’oral, comme dans l’exemple ci-dessous (c’est nous qui soulignons).

Tout refaire est une solution. Mais pas du tout évidente.

Sources (illustrations sous licence Creative Commons) : Sagrada Familia – Facebook

[tab:En pratique]

spotLROM 1112 – Trois approches littéraires

Enfin, un esthéticien de la réception regardera quel est le travail du lecteur face au texte qu’il doit reconstruire, parachever et quels éléments #phrase incomplèteIl manque probablement deux mots. R quels sont les éléments qui qui dépassent le texte mais aussi ceux qui lui sont internes.

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

spotLROM 1311 – Des langues et des territoires (2)

L’alsacien que ces trois langues sont… OU L’alsacien fait partie des langues germaniques ; le basque ne fait même pas partie (…) » type= »classic » ]faisant partie des langues germaniques, le basque ne faisant même pas»#phrase»L’usage partie des langues indo-européennes et le breton faisant partie, comme l’alsacien des langues germaniques. Exception faite#phrase incomplèteIl est difficile de faire sens et de comprendre comment les informations sur les différents dialectes sont articulées. pour le roussillonnais qui est un dialecte catalan.

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

[tab:De quoi j’ai l’air ?]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
pas clair, négligent – vite content
fastidieux, naïf
non conforme

[/table]

[tab:+++]

88 clés

Fiche 7 – Phrase incomplète / pas une vraie phrase

www

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Si ma phrase est longue et/ou commence par une subordonnée, n’ai-je pas oublié de mettre le verbe principal ?
  • N’y a-t-il pas des « phrases nominales » que je pourrais réécrire sous une forme plus canonique ?
]]>
#morphème_gramm https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/morpheme-gramm/ Thu, 28 Feb 2013 17:57:05 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4443 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

morphème gramm_illuOn peut observer trois types de problèmes en lien avec l’utilisation des morphèmes grammaticaux
tels que les prépositions, les adverbes de négation, les conjonctions…

Dans certains cas, il s’agit d’une omission du terme là où il serait pourtant nécessaire de l’écrire.

Exemples
1. Il considère leur idée irréaliste
(au lieu de la forme attendue « COMME irréaliste »)
2. Elle préfère partir avec son amie plutôt que ses parents
(au lieu de « plutôt qu’AVEC ses parents »)
= exemple du cas très fréquent d’absence de répétition de la préposition dans une énumération

Dans d’autres cas, le scripteur fait une confusion et recourt à un morphème qui n’est pas pertinent dans le contexte (souvent, il s’agit d’un morphème de la même catégorie ; par exemple, on utilise une préposition pour une autre). On est proche, ici, du problème de #collocation, dans le sens où le scripteur utilise une combinaison de type « verbe + préposition », par exemple, comme s’il s’agissait d’une expression figée standard alors qu’on ne la retrouve généralement pas sous cette forme.

Exemple
J’ai reçu des livres ma grand-mère
(variante que l’on peut entendre pour « DE ma grand-mère », en contexte familier, dans les régions de Namur et de Charleroi)

Enfin, il peut également arriver que le scripteur utilise une préposition là où il ne devrait pas y en avoir.

Exemple
Il se rappela rapidement *du titre de l’ouvrage
(au lieu de « se rappeler le titre de l’ouvrage »)

Comme plusieurs de ces tournures sont fréquentes à l’oral et dans les écrits informels, elles n’entravent que très rarement la compréhension du discours lorsqu’elles apparaissent dans les écrits des étudiants. Il n’en reste pas moi qu’elles ne sont pas conformes au niveau de langue qui est généralement attendu dans les écrits universitaires (cf. #registre) et/ou qu’elles peuvent diminuer la lisibilité immédiate du texte (dans le cas où le lecteur perçoit, plus ou moins consciemment, la formulation comme surprenante, inhabituelle…)

D’autres exemples fréquents

  • SANS QUE + sujet + vb >> sans que + sujet + NE + vb
    *Je changerai l’horaire sans qu’il s’en rende compte (… sans qu’il NE s’en rende compte)
  • TROP + adj. + *que* POUR..
    Il est trop fier *que* pour accepter votre aide.
  • ON vs L’ON ?
  • QUOIQUE vs QUOI QUE
  • QUI (tournure personnelle) vs QU’IL (tournure impersonnelle) cf. ce qui / ce qu’il
  • pallier *à* un problème >> pallier un problème
  • habiter *sur*… >> habiter À…
    J’habite *sur* Bruxelles
  • tournures avec DONT
    les recherches dont il *en* fait mention (… dont il fait mention)
    le style dont on connaît *ses* particularités (… dont on connaît LES particularités)
    le problème *dont* il fait référence (… AUQUEL il fait référence)
    C’est DE ce cas de figure *dont* je vais parler (C’est de ce cas QUE je vais parler)

Sources (photos sous licence Creative Commons) : noeuds – facebook

[tab:En pratique]

spotLROM 1311 – La standardisation des langues (1)

Le rhéto-frioulan présente un groupe de variétés de langues qui peut se diviser en trois groupes : le romanche, le ladin et le frioulan. Ces groupes se situent dans des pays différents (Suisse#morphème grammaticalR en Suisse pour le Romanche et Italie#morphème grammaticalR en Italie pour le ladin & frioulan#morphème grammaticalR et le frioulan).

(…)

 

Consulter l’analyse complète (réponse complète et son analyse détaillée)

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]

Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure

lunettes_small2, table radio_small2

pas clair, négligent

ambigu, incompétent

fatigant

non conforme

[/table]

[tab:+++]

CCDMD

Informations sur l’utilisation du « dont » 

Informations sur l’utilisation des prépositions 

Absence ou présence erronée de l’adverbe de négation « ne »

BDL

Répétitions de :

Prépositions :

Le vocabulaire – Nuances sémantiques

  • à nouveau / de nouveau
  • à travers / au travers
  • en regard de / au regard de
  • l’un l’autre / l’un et l’autre
  • voici / voilà

www

Sur le site du Bureau de Traduction québécois, on trouve « Le rouleau des prépositions » : tapez un verbe ou un adjectif dans le rectangle de saisie (ou trouvez-le dans le menu alphabétique qui s’affichera à gauche) et vous obtiendrez un tableau récapitulatif des prépositions utilisées avec ce mot.

Une page consacrée aux solécismes (« manquements aux règles de la syntaxe ») où l’on relève des erreurs fréquentes (dont bon nombre relèvent de l’emploi des morphèmes grammaticaux).

 

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Suis-je sûr des prépositions que j’utilise ? S’agit-il chaque fois de celle qui convient dans ce contexte ?
  • Si j’utilise une tournure un peu complexe, suis-je sûr que la combinaison « standard » des termes est celle que je propose ?
  • Ai-je vérifié la pertinence de mes pronoms relatifs, notamment en ce qui concerne le pronom « dont » ?

]]>
#temps/modes https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/temps-modes/ Thu, 28 Feb 2013 17:55:27 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4413 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

temps modes_illu

Qui dit concordance, suppose la présence de deux verbes coordonnés ou subordonnés. Les problèmes potentiels de concordance des temps et/ou modes entre ces deux verbes peuvent être organisés autour de trois questions principales (explications exhaustives et très claires sur le site de CCDMD)

1. Le verbe ou la construction verbale de la phrase principale ou la conjonction utilisée « attendent »-ils un mode spécifique ?

Je vois qu’il est heureux.
vs Je veux qu’il soit heureux.
vs Je crois qu’il est heureux. Je ne crois pas qu’il soit heureux. Je ne crois pas qu’il est heureux

Ici : nuance sémantique au niveau du degré de certitude et la question de la modalisation (cf. la fiche #posture)

Il est heureux même s’il est malade.
vs Il est heureux bien qu’il soit malade.
vs S’il n’était pas malade, il serait heureux.

2. Comment les actions se situent-elles chronologiquement par rapport au temps de l’énonciation ?

C’est-à-dire : y a-t-il antériorité, simultanéité ou postériorité par rapport au moment où l’auteur du texte se situe ?

S’il tond le dimanche, les voisins s’énervent
Ici, l’action de s’énerver a toujours lieu au moment de l’énonciation (et elle peut avoir commencé avant et se prolonger après celui-ci).
vs
S’il tond dimanche prochain, les voisins s’énerveront
Ici, l’action de s’énerver est nécessairement postérieure au moment de l’énonciation.

Exemple problématique dans une copie d’étudiant (c’est nous qui soulignons) :
Dans le chapitre 3, nous démontrerons la pertinence de cette hypothèse. Dans le chapitre 4, nous discutons une série d’interprétations alternatives.

3. Comment les actions se situent-elles les unes par rapport aux autres ?

C’est-à-dire : se succèdent-elles (et dans quel ordre) ou se recouvrent-elles temporellement ?
Si les « actions » ne sont pas simultanées, l’action du verbe subordonné est-elle antérieure ou postérieure à celle du verbe principal ?

Il triait ses déchet car sa femme le lui demandait.
vs Il triait ses déchets car sa femme le lui avait demandé.

Exemple problématique issu d’une copie d’étudiant (c’est nous qui soulignons) :
Monsieur X précise qu’il aurait aimé utiliser ce livre, mais qu’il rencontra un obstacle d’ordre pratique.

ATTENTION !
Il est essentiel, pour ne pas commettre d’erreurs de temps/modes, de ne pas se fier uniquement à ses habitudes ou à son intuition et ce, pour deux raisons :

En principe, l’indicatif et le subjonctif portent des valeurs différentes. L’indicatif expose (« indique ») des faits réels, une action accomplie, certaine… Tandis que le subjonctif est utilisé pour exprimer l’incertitude, l’éventualité, le jugement, le point de vue (« subjectif »), une action envisagée en pensée… Ceci est un principe global qui ne tient compte ni des évolutions syntaxiques et sémantiques, ni des nombreux cas particuliers (il suffit, pour s’en convaincre, de comparer les exemples ci-dessus) !

On constate que plusieurs règles de concordance, bien que toujours valables à l’écrit, admettent à l’oral des formes simplifiées. Ces variantes peuvent être si répandues que l’utilisation de la règle stricte peut même passer pour du pédantisme, voire pour une erreur ! Par exemple, quand la forme attendue est un subjonctif plus-que-parfait, cette dernière est très souvent remplacée par un subjonctif présent. Il aurait fallu que Claude fût plus persévérant pour y arriver  sera ainsi probablement plutôt réalisé sous la forme Il aurait fallu que Claude soit plus persévérant pour y arriver.

Sources : Facebook – Bescherelle

[tab:En pratique]

spotLROM 1112 – Les accents régionaux

Celui-ci étudie les effets de la société sur la structure du langage et  préconise que la société a#temps/modesAprès 'préconiser', il faut une subordonnée au subjonctif (même si, de toute façon, ce verbe n'est pas pertinent dans cette phrase) R ait une réelle répercussion sur notre langage.

 Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée) (lien intégré vers AC)

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
non conforme, incompétent
ambigu, négligent

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[tab:+++]

CCDMD

Un ensemble extrêmement complet de fiches sur la concordance des temps

BDL

Le subjonctif après certaines locutions conjonctives

Les temps avec la conjonction « après que »

wwwUn outil pour conjuguer

Des fiches sur Grammaire Reverso :

 

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Ai-je utilisé des constructions complexes de type « phrase principale + phrase subordonnée » ?
  • La forme verbale de la phrase principale ou la conjonction utilisée exigent-elles l’emploi d’un mode spécifique ? L’ai-je bien utilisé ?
  • Les temps utilisés permettent-ils de situer adéquatement les actions par rapport au temps de l’énonciation ?
  • Ai-je vérifié que les temps utilisés exprimaient correctement les rapports temporels entre les différentes actions exprimées par les verbes ?
]]>
#typographie https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/typographie/ Thu, 28 Feb 2013 17:52:26 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4353 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

typographie_illu

Les problèmes de typographie sont le résultat d’une méconnaissance ou d’une mauvaise application des règles concernant :

  • le recours (ou non) aux majuscules
  • le placement d’un espace (ou non) avant ou après un signe de ponctuation
  • la combinaison potentielle de plusieurs signes de ponctuation (par exemple : faut-il mettre le point à l’intérieur ou à l’extérieur des guillemets ?)
  • la valeur des signes de ponctuation (en lien avec balisage, cf. ci-dessous pour la distinction entre ponctuation et typographie)
  • la valeur des signes typographiques (par exemple : quelle est la différence entre les deux points et le point-virgule ?)
  • l’écriture des nombres (date, heure…)
  • la coupure des mots
  • la création et l’utilisation des abréviations
  • l’utilisation du gras et de l’italique

ATTENTION
Les règles de typographie ne sont pas universelles et de nombreuses différences existent, notamment entre le français et l’anglais.
Par exemple :
      FR Il y a des centaines de bières belges ; il est difficile d’en choisir une !
      EN There are hundreds of Belgian beers; it’s hard to choose one!

On se situe donc ici dans une approche strictement normative : telle règle typographique est appliquée (c’est correct) ou ne l’est pas (c’est incorrect). Ajoutons que, traditionnellement, certaines erreurs typographiques sont assimilées à des erreurs d’orthographe et sanctionnées comme telles (par exemple : ne pas mettre de majuscule au nom ‘belge’, alors qu’il désigne bien une personne et doit, en français, prendre une majuscule).

Toutes ces règles peuvent être consultées en suivant les liens proposés dans la section +++ de cette même fiche.

Généralement, les erreurs typographiques n’ont pas vraiment d’impact sur la clarté du contenu. Cependant, elles peuvent rendre la lecture un peu moins confortable (l’oeil du lecteur utilisant les marques typographiques comme « points d’appui »). Par ailleurs, l’accumulation de petits problèmes de ce type peut nuire à l’image du scripteur (elle sera vite interprétée comme un manque de sérieux et de rigueur).

Il ne faut pas confondre problème de #typographie avec problème de #ponctuation. Voici deux exemples pour comprendre la différence :

  1. « Il avait préféré alors que tous les autres étaient déjà rentrés rester une heure de plus pour savourer le coucher de soleil » #ponctuation (sous-exploitation)
    >> Il faut encadrer l’incise « alors que tous les autres étaient déjà rentrés » par deux virgules pour rendre le propos plus clair. C’est donc bien un problème de balisage.
  2. « Elle avait tout vendu: la maison, les meubles, la voiture, le bateau, … » #typographie
    >> Les règles de typographie prévoient qu’il faut, en français, un espace avant et après les deux points. De plus, on ne peut pas faire suivre une virgule de points de suspension. Ce sont des problèmes de respect de la norme dans la présentation.

Source de l’illustration : Le journal du geek / 28.06.2013

[tab:En pratique]

spotLROM 1311 – Des langues et des territoires (1)

La zone en rose correspond à l’Armorique. Il n’est pas concerné car ce territoire fut celtisé par les bretons#typographieIl faut une majuscule aux noms de nationalités quand ils désignent les personnes. R ‘les Bretons’ qui s’y sont installés lorsqu’ils furent chassés par les anglo-saxons#typographieIl faut une majuscule aux noms de nationalités quand ils désignent les personnes. R ‘les Anglo-Saxons’. La zone en vert correspond à un territoire où l’on parle le gascon. Le gascon est une langue non liée à l’occitan qui se parle aussi dans le nord-est#typographieIl faut une majuscule aux points cardinaux quand ils désignent un territoire, une région. R ‘le Nord-Est’ de l’Espagne.

 Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée) (lien intégré vers AC)

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
non conforme, négligent – vite content
incorrect, incompétent
fatigant,

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[tab:+++]

CCDMD

Une fiche explicative sur les tirets et les parenthèses

Une fiche explicative sur les guillemets et l’italique

Un jeu (emprunté à la BDL) avec notamment une section « typographie/ponctuation »

 

BDL

Un tableau très clair sur l’espacement avant et après les signes de ponctuation les plus fréquents

Le point sur :

Très utile : un petit point sur la notion d’espaces insécables

Un truc
Pour introduire un espace insécable dans Word :
CTRL (ou touche ‘commande’ sur Mac) + MAJ + barre d’espacement


Les procédés de mise en relief

www

Un manuel de typographie en ligne, très complet et pratique

Une série de jeux et d’exercices ‘diagnostic’ autour d’erreurs de ponctuation (typographie) courantes

Un topo Wikipédia complet et bien documenté sur l’usage des majuscules en français

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Y a-t-il dans mon texte des noms propres, des abréviations, des nombres ?
  • Si oui, ai-je vérifié la bonne application des règles d’écriture les concernant (notamment pour l’utilisation des majuscules) ?
  • Ai-je vérifié la pertinence et la bonne utilisation des signes de ponctuation (notamment pour la gestion des espaces) ?
]]>
#mise_en_page https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/mise-en-page/ Thu, 28 Feb 2013 17:51:46 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4333 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

mise en page_illu

Les questions de mise en page concernent :

  • l’organisation et la hiérarchisation des titres / des sections de texte (et leur référencement dans la table des matières)
  • l’alignement du texte (notamment l’utilisation des tabulations)
  • les polices et les tailles de caractères
  • les interlignes et les espaces entre les paragraphes
  • le placement des illustrations
  • les passages à la ligne et les sauts de page

Une façon de s’assurer de la cohérence de son texte en ce qui concerne la majorité des critères évoqués ci-dessus est d’utiliser le système de styles (soit ceux qui sont prévus par le traitement de texte que l’on utilise, soit en créant soi-même une feuille de style). Il s’agit de définir à l’avance l’apparence de tel ou tel niveau de titre ou de texte et d’appliquer systématiquement le style défini à chaque section de texte concernée. Par exemple, si je désire que tous mes titres de niveau 1 (titres principaux) apparaissent en Arial 18 gras, je crée un style que j’appellerai « titre 1 » et qui portera ces caractéristiques. Par la suite, chaque fois que j’écrirai un nouveau titre de ce niveau, je le sélectionnerai puis cliquerai sur le bouton « titre 1 ». Pour plus d’informations à ce sujet : voir la section +++ de cette fiche.

L’intérêt d’une mise en page de qualité est d’assurer la lisibilité du texte, en améliorant le confort de lecture et en rendant plus visible la structure du texte telle que l’a balisée le scripteur (voir la description des problèmes de balisage). La cohérence dans la mise en page démontre par ailleurs le soin qui a été apporté au document et dès lors la préoccupation de l’auteur pour ses destinataires.

Sources pur l’illustration :
tiroir rangé

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
lourd – fatigant, négligent – vite content
pas soigné,
pas clair,

[/table]

[tab:+++]

BDL

Des procédés de mise en relief

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12 conseils pour créer des documents plus percutants : une réflexion conçue pour les documents d’entreprises, mais dont les conseils sont valables dans d’autres contextes !

2 guides

Les styles

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Ai-je prévu une hiérarchisation claire de mes titres et des différentes parties de mon texte ?
  • Les caractéristiques typographiques (police, taille, mise en relief, espacements, alignements, interlignes…) sont-elles cohérentes par rapport à cette hiérarchisation ?
  • Sont-elles appliquées systématiquement ?
  • La numérotation suit-elle également cette hiérarchisation ?
  • N’y a-t-il pas de passages à la ligne ou de sauts de pages inappropriés ?
  • Les interlignes, les espaces entre les paragraphes, la taille de la police, etc. sont-ils suffisamment grands pour garantir un confort de lecture aux destinataires ?
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#document https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/document/ Thu, 28 Feb 2013 17:51:00 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4313 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

document_illu2

Bien sûr, rares sont les situations où le manque de soin dans une copie manuscrite ou un travail imprimé est tel qu’il aura une influence directe sur les résultats de l’étudiant. Un travail de qualité dont la présentation globale laisse à désirer (par exemple : la page de garde est absente ou illisible) reste un bon travail.

Cependant, l’image négative véhiculée par un document sale, abîmé, illisible… a un réel impact sur la façon dont le professeur va se représenter l’étudiant, sa motivation, ses compétences, son attitude. Inconsciemment, il pourrait associer le manque de soin à de la négligence, à du « je-m’en-foutisme », et partir du principe que l’étudiant n’a pas fourni d’effort, ni sur le fond, ni sur la forme. Il pourrait dès lors être moins indulgent face à ses erreurs.

En outre, la lisibilité est ici aussi en jeu : il est difficile pour un enseignant de bien comprendre (et donc de bien évaluer) une réponse quand son attention est parasitée par les difficultés qu’il rencontre pour la déchiffrer…

Qu’on le veuille ou non, ces deux aspects peuvent donc finalement jouer un rôle (même réduit) dans l’évaluation globale de la production de l’étudiant.

Sources pour l’illustration :
torchon à carreauxtache d’encre

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
pas soigné, vite content
inapproprié, négligent

[/table]

[tab:+++]

Probablement le seul problème étiqueté dans REFLEX
pour lequel Internet ne pourra rien faire pour vous 😉

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Puis-je dire, en parcourant mon document rapidement, qu’il est impeccable ? La page de garde est-elle irréprochable ?
  • La qualité d’impression est-elle correcte ? Le texte est-il bien lisible partout ?
  • Mon écriture est-elle lisible ? N’y a-t-il pas des passages que je devrais réécrire ou des mots que je pourrais mettre en évidence (souligner) afin de faciliter un peu la lecture ?
  • Si j’ai imprimé certains passages en couleurs, celles-ci ont-elles le rendu attendu ?
  • Ai-je vérifié qu’il n’y avait pas de feuille tachées, froissées, déchirées ?
  • N’ai-je pas oublié l’une ou l’autre annotation, remarque au crayon ?
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#référencement https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/referencement/ Thu, 28 Feb 2013 17:41:31 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4133 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

référencement_illu

Les questions de référencement concernent :

  • la gestion des citations
  • la gestion des notes de bas de page
  • l’application des règles de référencement bibliographique
  • l’application des règles de référencement plus spécifiques (webo-/sitographie, images…)

ATTENTION
Malgré la profusion de sources mises à disposition par Internet, la grande facilité d’accès à celles-ci et l’anonymat relatif dans lequel elles semblent parfois se trouver, il est essentiel que toute mention d’un contenu issu d’Internet soit référencé avec autant de rigueur qu’un extrait d’ouvrage et d’article ! Une attention toute particulière sera accordée aux choix des illustrations et aux droits d’utilisation qui leur sont liés (voir pour cela la section +++ de cette fiche).

La mention des sources d’une information ou d’une citation données dans le texte peut se faire de deux manières :

  • soit en créant une note de bas de page, où l’on mentionne les références complètes,
  • soit en mentionnant seulement l’auteur et la date de la référence (ces deux éléments d’information suffisent alors pour retrouver la référence complète dans la bibliographie située en fin de chapitre ou de travail).

De la même manière, plusieurs modèles existent quant au classement des références dans la liste bibliographique en fin de texte :

  • soit un classement alphabétique de toutes les références,
  • soit un classement par type de source et selon l’ordre alphabétique,
  • soit un classement distinguant le corpus primaire (les textes analysés) et le corpus secondaire (les références théoriques exploitées).
  • (et il existe encore d’autres systèmes…)

En ce qui concerne les questions de typographie et d’ordre de présentation des données reprises dans les références, plusieurs systèmes coexistent également. Même si certains systèmes sont plus exhaustifs que d’autres (tous ne prévoient pas, par exemple, de mentionner le nombre de pages d’un ouvrage), les données essentielles mentionnées sont quant à elles les mêmes partout, à savoir (nous les citons ici en vrac) :

  • le nom de l’auteur
  • le prénom de l’auteur
  • le titre (de l’ouvrage, de l’article…)
  • la date d’édition
  • dans le cas d’un livre : l’éditeur commercial (la maison d’édition) et le lieu d’édition
  • dans le cas d’un chapitre de livre : le titre du livre, son éditeur scientifique, son éditeur commercial et le lieu d’édition
  • dans le cas d’un article de revue : le titre de la revue et son numéro et/ou volume.

Le choix d’un système de normes plutôt qu’un autre sera déterminé par les règles en vigueur dans la faculté, les consignes explicites du professeur ou encore le domaine de recherche dans lequel on évolue (par exemple, dans le domaine de la psychologie, le système en vigueur est celui de l’APA, l’American Psychological Association ; un autre exemple est celui des règles utilisées dans le domaine de la linguistique).

Le plus important, une fois le système ad hoc identifié, sera d’appliquer de façon systématique les règles qui le composent. Le mot d’ordre est donc : cohérence !

NB
Il ne faut pas confondre les problèmes de #référencement (qui sont « simplement » le résultat d’une mauvaise application des normes pour citer et référencer les informations utiles sur la source) et les problèmes de #source (qui ont pour conséquence que la source et/ou sa prise en charge du propos ne peuvent pas être clairement identifiés)

 

Sources (photos sous licence Creative Commons) : livres en désordre

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
fastidieux, négligent
non conforme, vite content
pas clair, incompétent

[/table]

[tab:+++]
88 clés

Fiche 11e – Citation pas entre guillemets ou en retrait

Fiche 11g – Référence inexacte ou non conforme aux conventions

BDL

Les éléments d’une notice bibliographique

i-campus

LFLTR 1120 (Méthodes et pratiques du discours universitaire) : comment faire des appels de note et rédiger des notes de bas de pages ? Comment rédiger des références bibliographiques ?

Attention, il faut être identifié sur i-campus pour avoir accès au document.

www

Normes de référencement

  • un document décrivant la démarche d’harmonisation des références bibliographiques en Faculté de Philosophie, Arts et Lettres à l’UCL
  • des indications pour insérer des références ou des citations dans un texte et établir une bibliographie selon les conventions en vigueur dans le domaine de la linguistique
  • un autre exemple d’ensemble de normes (illustrées d’exemples) pour le référencement bibliographique ou webographique (Lycée Pilote Innovant International – Poitiers)
  • d’autres règles et exemples pour le référencement de différents types de documents (via l’Ecole de Bibliothéconomie et des Sciences de l’information de l’Université de Montréal)

RAPPEL : connaître la position de l’UCL au sujet du plagiat (une problématique sur laquelle il est essentiel de s’arrêter !)

Droits des images

 

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Ai-je vérifié que chacune de mes citations était mentionnée de la même manière que les autres, accompagnée de toutes les références nécessaires pour identifier la source ?
  • Toutes les sources évoquées dans le texte se retrouvent-elles bien dans ma bibliographie / sitographie ?
  • Ai-je pensé à mentionner de façon complète mes références Internet ?
  • Ma bibliographie / sitographie est-elle construite de façon cohérente et systématique, selon un modèle unique, en accord avec les règles en vigueur (dans la faculté, dans le domaine de recherche concerné, pour le cours dont il est question…) ?
  • Mon système de notes de bas de page est-il également cohérent et systématique ? N’ai-je pas laissé des notes « orphelines » ?
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