LROM 1311 – REFLEX https://sites.uclouvain.be/reflex Le 1er blog pour mieux communiquer à l'université Fri, 14 Feb 2014 09:43:39 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.4.2 Quand la forme est partie, le sens danse… https://sites.uclouvain.be/reflex/39203/ https://sites.uclouvain.be/reflex/39203/#respond Fri, 14 Feb 2014 09:40:29 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?p=39203 Lire la suite ]]> Little_Gray_Mouse_-_Dancing_for_JoyUn prof qui corrige une copie d’examen d’un étudiant est souvent amené à se poser la question suivante : « est-ce qu’il n’a rien compris ou est-ce qu’il n’arrive pas à exprimer ce qu’il a compris ? ».

On dit que ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, mais toute l’approche de ce blog consiste à dire que l’inverse est souvent vrai : c’est parce qu’un étudiant se préoccupe de la forme de ses énoncés qu’il arrive à organiser ses idées et à mieux les communiquer.

 

Dans l’exemple suivant, on voit bien que lorsque la forme pose problème en général (orthographe, syntaxe, organisation du texte), le sens finit lui aussi par se dérober…

Il s’agit d’une réponse à une question de l’examen de janvier 2014 du cours LROM1311 qui demandait aux étudiants d’identifier les mécanismes à l’oeuvre dans une série d’évolutions sémantiques qui leur étaient présentées.

Les mécanismes qui sont à l’oeuvre dans ces évolutions sémantiques consistent en élargissements de sens#morphème_gramm #terme_imprécisR consistent en des extensions de sens ou plutôt procèdent par/constituent/s'appuient sur/etc. des extensions, #ortho_grammR dus aux connotations que l’on porte sur le signifié#collocation #terme_imprécisR aux connotations que l'on associe à un mot ; on ne 'porte' pas une connotation à un signifié du mot. C’est aussi souvent le cas#cohésionR De quoi parle-t-on ? à quoi renvoie le 'C'est'? par métonymie. Par ailleurs#connecteurR Le 'Par ailleurs' laisse entendre qu'on va introduire un autre type d'argument en faveur de la même thèse. Or, on passe à une toute autre idée. Il aurait fallu créer un nouveau paragraphe, ce genre d’évolutions sémantiques se retrouvent#ortho_grammR retrouve ; 'genre' s'accorde au singulier, il ne désigne pas une pluralité (comme 'la plupart de', 'la majorité de') assez souvent parmi#terme_imprécisR au sein des langues ; 'parmi' supposerait que 'ce genre d'évolution' est un membre de la catégorie des langues romanes (le français est classé parmi les langues romanes) les langues romanes. Par exemple, en français « travailler » vient du latin « tripalium » qui était#terme_imprécisR désignait ; 'tripalium' est un mot, ce n'est pas un instrument au départ un instrument de torture. Cela#cohésionR De quoi parle-t-on ? à quoi renvoie le 'Cela'? a ensuite été assimilé à « labeur physique éprouvant » que l’on ensuite assimilé#phrase_incomplèteR on a ensuite à l’idée de travail.

Cette réponse présente par ailleurs un problème général de raisonnement. Dire qu’une évolution sémantique est un « élargissement du sens » est quasiment une #tautologie (la plupart des évolutions sémantiques procèdent par extension de sens). L’#argumentation est inexistante car les affirmations ne sont pas étayées : l’étudiant ne montre pas pourquoi il peut dire que les exemples fournis dans la question correspondent à des élargissements ; il parle de métonymie, mais n’explique pas le lien avec les mécanismes d’évolutions sémantiques ; il donne un exemple à la fin de sa réponse mais ne montre pas en quoi il illustre son propos (en quoi constitue-t-il un indice de l’existence de « ce genre d’évolutions sémantiques » dans les langues romanes ?)

Certes, on pourrait dire que cet étudiant n’aurait sans doute pas obtenu une note très élevée pour cette question même s’il avait fait attention à mieux la formuler. Mais il aurait pu exprimer plus clairement les quelques éléments de réponse qu’il connaissait et ainsi gagner quelques points. Or ce ne sont parfois que quelques points qui séparent la réussite de l’échec. Et ce sera d’autant plus vrai lorsque l’on pourra réussir avec 10/20 !

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https://sites.uclouvain.be/reflex/39203/feed/ 0
#nouvelle_ortho https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/nouvelle-ortho/ Thu, 09 May 2013 07:59:23 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=16923 Lire la suite ]]> [tab: En théorie]

nouvelle ortho_illu

La réforme de l’orthographe de 1990 (proposée par Conseil supérieur de la langue française) est la plus récente mais est loin d’être la seule dans l’histoire de la langue française (voir ici ou ici). Elle a pour ambition de rationaliser les pratiques orthographiques.

En Belgique, depuis la rentrée 2008, les enseignants de tous niveaux sont invités à enseigner prioritairement la nouvelle orthographe. Il ne s’agit pas de sanctionner les graphies traditionnelles, mais bien de faire en sorte que les formes rectifiées deviennent la référence, à l’école comme dans les textes officiels.

Aujourd’hui, on peut considérer que, selon les recommandations officielles, les deux graphies sont tolérées. On ne peut exiger l’une ou l’autre, exactement au même titre que l’on accepte les deux graphies de clé/clef, par exemple. Néanmoins, il est clair que l’usage simultané des deux graphies peut donner une image négative du scripteur : on pourra le soupçonner d’écrire maîtrise au début de son texte et maitrise quelques lignes plus bas non pas parce qu’il sait que les deux formes sont acceptées, mais par négligence ou ignorance. Il s’agit donc de s’interroger sur les attentes potentielles de son lectorat et de choisir de s’y conformer ou non, en connaissance de cause.

Sources (photos sous licence Creative Commons) : feu d’artifice – Facebook

[tab: En pratique]

spotLROM 1311 – La standardisation des langues (1)

Ce morcellement est du#ortho lex #nouvelle orthoL'article 'du' ne prend pas d'accent tandis que le participe passé de devoir, oui. Même si l'on applique les nouvelles conventions orthographiques, où l'accent circonflexe sur le 'u' disparait systématiquement, cet accent est maintenu précisément sur le 'dû' de 'devoir' pour éviter la confusion de ces homonymes fréquents. R 'est dû aux' aux différentes invasions et au dynamisme des dialectes vénète et lombard.

 

Consulter l’analyse complète (réponse complète et son analyse détaillée)

[tab: « De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
non conforme, négligent
incohérent, scolaire

[/table]

[tab: +++]

CCDMD

Testez vos connaissances au Musée de la nouvelle orthographe

 

BDL

Questions fréquentes sur les rectifications orthographiques

NB
Il s’agit d’un site québécois ; le positionnement face à la réforme peut différer, sur certains aspects, de celui tenu en Belgique.

 

Liste alphabétique des mots rectifiés

i-campus

LROM 1221 – Vidéo : « Incorrigible orthographe »

www

Information générale, officielle, complète et très claire sur l’orthographe recommandée

7 règles pour vous simplifier l’orthographe (édité par le Conseil de la langue française)

Un petit test pour voir où en sont ses connaissances des rectifications orthographiques

Recto/Verso : un logiciel en ligne pour appliquer automatiquement à vos textes les rectifications orthographiques

Vidéo : les règles de la réforme de l’orthographe

« Qui a peur de la réforme ? » : un argumentaire nourri sur la question de l’orthographe et de son évolution

Un dossier de l’asbl « Lire et écrire »

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Est-ce que j’utilise des noms ou des numéraux composés ?
  • Y a-t-il des verbes ou des noms contenant un e dont l’accent me semble « incertain » ?
  • Ai-je écrit un (des) mot(s) contenant un ‘u’ ou un ‘i’ sur lequel j’aurais auparavant mis un accent circonflexe ou un tréma ?
  • Y a-t-il dans mon texte des mots d’origine étrangère ?
  • Ai-je utilisé une construction de type ‘laisser + infinitif’ ?
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LROM 1311 – La standardisation des langues (2) https://sites.uclouvain.be/reflex/analyses-completes/lrom-1311_la-standardisation-des-langues_2/ Thu, 02 May 2013 08:42:44 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=15793 Lire la suite ]]> (a) Quelles sont les langues romanes vivantes (‘langue’ étant pris au sens de faisceau de dialectes apparentés) qui n’ont pas débouché sur une variété standard bien institutionnalisée ?

(b) Parmi toutes celles-ci, laquelle a le moins fait l’objet d’un travail de standardisation ?

(c) Pour quelles raisons, à votre avis, n’a pas eu lieu ce travail ?

[tab: copie brute]

(…) Ce travail n’a sans doute pas eu lieu à cause de la géographie montagneuse du territoire, des invasions germaniques, du fait qu’il n’y a pas eu d’unification puisque les variétés de cet idiome sont parlées dans des zones appartenant à des pays différents.

[tab: correction]

(…) Ce travail n’a sans doute pas eu lieu à cause de la géographie montagneuse du territoire, des invasions germaniques, du fait qu’il n’y a pas eu d’unification puisque les variétés de cet idiome sont parlées dans des zones appartenant à des pays différents.

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LROM 1311 – La standardisation des langues (1) https://sites.uclouvain.be/reflex/analyses-completes/lrom-1311_la-standardisation-des-langues_1/ Thu, 02 May 2013 08:39:12 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=15743 Lire la suite ]]> (a) Quelles sont les langues romanes vivantes (‘langue’ étant pris au sens de faisceau de dialectes apparentés) qui n’ont pas débouché sur une variété standard bien institutionnalisée ?

(b) Parmi toutes celles-ci, laquelle a le moins fait l’objet d’un travail de standardisation ?

(c) Pour quelles raisons, à votre avis, n’a pas eu lieu ce travail ?

[tab: copie brute]

Le rhéto-frioulan présente un groupe de variétés de langue qui peut se diviser en trois groupes : le romanche, le ladin et le frioulan. Ces groupes se situent dans des pays différents (Suisse pour le Romanche et Italie pour le ladin & frioulan. Ce facteur ne favorise pas la standardisation.

De plus, surtout pour le romanche, ces variétés sont assez morcelées (en Suisse, dans le canton des Grisons où on parle le romanche, il y a des zone italophone & germanophone entre les zones où on parle le romanche). Ce facteur ne favorise pas non plus la standardisation.

Ce morcellement est du aux différentes invasions et au dynamisme des dialectes vénète et lombard. Différents facteurs impliquent donc cette non-standardisation : le fait que cet ensemble de parlers se découpent en 3 groupes, que ces groupes se trouvent en de différents pays, et enfin le morcellement même de ces groupes qui ne présentent pas une étendue géographiquement homogène (exception du frioulan).

[tab: correction]

Le rhéto-frioulan présente#terme incorrectLe verbe être suffit. On observe ici sans doute un effet d'hyper-correctisme. R 'Le rhéto-frioulan est un groupe' un groupe de variétés de langue#ortho grammR 'variétés de langues' qui peut se diviser en trois groupes#terme imprécisIl convient d'éviter la confusion entre les différents types de regroupement évoqués. R 'qui peut lui-même se diviser en trois sous-groupes' : le romanche, le ladin et le frioulan. Ces groupes#terme incorrectCeci induit à nouveau une confusion possible. R 'Ces langues' se situent#terme incorrectA partir du moment où l'on utilise le bon terme comme sujet ('langues' au lieu de 'groupes'), le verbe approprié est différent. R 'sont parlées' ou éventuellement 'se répartissent' dans des pays différents (Suisse#morphème grammR 'en Suisse' pour le Romanche#typographieLes langues ne prennent pas de majuscule (on observe en plus une incohérence, puisque le scripteur a par ailleurs eu recours aux minuscules pour les langues). R 'le romanche' et Italie#morphème grammR 'en Italie' pour le ladin &#registre #morphème gramm #typographieL’esperluette n’est pas pertinente pour remplacer le 'et' dans un texte suivi. De plus, il manque un article pour 'frioulan'. frioulan#typographieIl faut fermer la parenthèse (ouverte après 'différents') après 'frioulan'.Ce facteur#cohésion #info manquanteLe facteur en question n’est pas formulé explicitement alors que le scripteur utilise un 'ce' comme si c’était le cas ne favorise pas la standardisation.

De plus, surtout pour le romanche#ordre illogique #cohésionPlacer l’incise ici crée une manque de clarté dans le propos. On mélange propos général et exemple particulier. R voir plus loin la reformulation complète de la phrase, ces variétés sont assez morcelées (en Suisse, dans le canton des Grisons où on parle le romanche, il y a des zones italophone &#registre #typographieL’esperluette n’est pas pertinente pour remplacer le 'et' dans un texte suivi. germanophone entre les zones où on parle le romanche).#tournure confuse #connecteurOn gagnerait en clarté à présenter explicitement le contenu des parenthèses comme un exemple de morcellement, dans une phrase indépendante. R ‘En ce qui concerne le romanche, par exemple, on constate qu’il est parlé en Suisse dans diverses zones du canton des Grisons, mais que ces zones sont séparées par des zones italophones et germanophones.’ Ce facteur#cohésionCe n'est pas suffisamment explicite, il faut préciser de quel facteur il s'agit (d'autant que la phrase qui précède était longue). R 'Ce morcellement' ne favorise pas non plus la standardisation.

Ce morcellement#ordre illogique #connecteurLe scripteur vient de ‘conclure’ en faisant le lien entre le morcellement et l’absence de standardisation, puis revient sur la description du morcellement. Il conviendrait de faire remonter ce paragraphe ou, au minimum, de le connecter à ce qui précède en précisant qu'il s'agit d'un ajout. R 'Précisons que le morcellement, dans ce cas, est dû aux...' est du#ortho lex #nouvelle orthoL'article 'du' ne prend pas d'accent tandis que le participe passé de devoir, oui. Même si l'on applique les nouvelles conventions orthographiques, où l'accent circonflexe sur le 'u' disparait systématiquement, cet accent est maintenu précisément sur le 'dû' de 'devoir' pour éviter la confusion de ces homonymes fréquents. R 'est dû aux' aux différentes invasions et au dynamisme des dialectes vénète et lombard. Différents facteurs#ponctuationOn arrive à la conclusion ; il serait plus pertinent de faire un passage à la ligne. impliquent donc cette#cohésionLe scripteur a évoqué la standardisation plus haut mais a ensuite reparlé du morcellement, ce qui rend l’utilisation du 'cette' erronée. non-standardisation : le fait que cet ensemble de parlers se découpent en 3 groupes, que ces groupes se trouvent#terme imprécisR 'sont localisés' ou 'se retrouvent' en de#morphème grammR 'sur' ou 'dans' (selon le verbe qui précède) différents pays, et enfin le morcellement même de ces groupes qui ne présentent pas une étendue géographiquement homogène#collocationR 'qui ne sont pas présents sur un territoire géographique(ment) homogène' (exception du #collocationR 'exception faite du...'frioulan).

 

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LROM 1311 – Des langues et des territoires (2) https://sites.uclouvain.be/reflex/analyses-completes/lrom-1311_des-langues-et-des-territoires_2/ Thu, 02 May 2013 08:34:18 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=15723 Lire la suite ]]> Sur la carte très schématique ci-après ont été portés, en une série de points pris au hasard, les résultats de 2 évolutions phonétiques :

  • K+A > K vs K+A > TŠ
  • Á libre après K > IE vs Á libre après K > A

Sur la carte, vous voyez que des zones sur le territoire de l’actuelle France ne sont pas concernées par les évolutions ici prises en compte. Pourquoi ? Donnez le nom de ces parlers.

[tab: copie brute]

Ces dialectes ne font pas partie de la famille des langues romanes et donc ne font pas partie du groupe italique. L’alsacien faisant partie des langues germaniques, le basque ne faisant même pas partie des langues indo-européennes et le breton faisant partie, comme l’alsacien des langues germaniques. Exception faite pour le roussillonnais qui est un dialecte catalan.

[tab: correction]

Ces dialectes ne font pas partie de la famille des langues romanes et donc ne font pas partie du groupe italique. L’alsacien faisant partie des langues germaniques, le basque ne faisant même pas partie des langues indo-européennes et le breton faisant partie, comme l’alsacien#typographieL'incise doit être encadrée de deux virgules. R 'faisant partie, comme l'alsacien, des langues...' des langues germaniques.#phrase incomplèteL'usage des différents participes présents suggère qu'un sujet et un verbe principal conjugué doivent encore venir, ce qui n'est pas le cas. R Il conviendrait d'en faire une ou deux phrases. 'L'alsacien fait partie de... Le basque ne fait pas partie de... Et le breton fait partie...' Exception faite#phrase incomplète #ordre illogique #cohésionIl est difficile de faire sens et de comprendre comment les informations sur les différents dialectes sont articulées. pour#morphème grammaticalR 'exception faite du' le roussillonnais qui est un dialecte catalan.

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LROM 1311 – Des langues et des territoires (1) https://sites.uclouvain.be/reflex/analyses-completes/lrom-1311_des-langues-et-des-territoires_1/ Thu, 02 May 2013 08:32:00 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=15693 Lire la suite ]]> Sur la carte très schématique ci-après ont été portés, en une série de points pris au hasard, les résultats de 2 évolutions phonétiques :  

  • K+A > K vs K+A > TŠ
  • Á libre après K > IE vs  Á libre après K > A

Sur la carte, vous voyez que des zones sur le territoire de l’actuelle France ne sont pas concernées par les évolutions ici prises en compte. Pourquoi ? Donnez le nom de ces parlers.

[tab: copie brute]

La zone en rose correspond à l’Armorique. Il reprise de l’info n’est pas concerné car ce territoire fut celtisé par les bretons qui s’y sont installés lorsqu’ils furent chassés par les anglo-saxons. La zone en vert correspond à un territoire où l’on parle le gascon. Le gascon est une langue non liée à l’occitan qui se parle aussi dans le nord-est de l’Espagne.

[tab: correction]

La zone en rose correspond à l’Armorique. Il#cohésion #morphème grammaticalLes antécédents possibles (‘zone’ et ‘Armorique’) sont tous les deux féminins. R ‘Celle-ci’ n’est pas concerné car ce territoire fut celtisé par les bretons#typographieIl faut une majuscule aux noms de nationalités quand ils désignent les personnes. R ‘les Bretons’ qui s’y sont installés lorsqu’ils furent chassés par les anglo-saxons#typographieIl faut une majuscule aux noms de nationalités quand ils désignent les personnes. R ‘les Anglo-Saxons’. La zone en vert correspond à un territoire où l’on parle le gascon. Le gascon est une langue non liée à l’occitan qui se parle aussi dans le nord-est#typographieIl faut une majuscule aux points cardinaux quand ils désignent un territoire, une région. R ‘le Nord-Est’ de l’Espagne.

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#phrase_incomplète https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/phrase-incomplete/ Thu, 28 Feb 2013 18:00:17 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4493 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

phrase incomplète_illu

La plupart des cas d’incomplétude, chez des scripteurs experts, peuvent être imputés à de la simple distraction.

Cependant, on constate aussi un bon nombre de cas où il semble plutôt que le scripteur a perdu de vue le degré d’exigence du discours universitaire et s’autorise (plus ou moins consciemment) des formules simplifiées, moins explicites, plus expéditives, souvent plus proches de l’oral, comme dans l’exemple ci-dessous (c’est nous qui soulignons).

Tout refaire est une solution. Mais pas du tout évidente.

Sources (illustrations sous licence Creative Commons) : Sagrada Familia – Facebook

[tab:En pratique]

spotLROM 1112 – Trois approches littéraires

Enfin, un esthéticien de la réception regardera quel est le travail du lecteur face au texte qu’il doit reconstruire, parachever et quels éléments #phrase incomplèteIl manque probablement deux mots. R quels sont les éléments qui qui dépassent le texte mais aussi ceux qui lui sont internes.

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

spotLROM 1311 – Des langues et des territoires (2)

L’alsacien que ces trois langues sont… OU L’alsacien fait partie des langues germaniques ; le basque ne fait même pas partie (…) » type= »classic » ]faisant partie des langues germaniques, le basque ne faisant même pas»#phrase»L’usage partie des langues indo-européennes et le breton faisant partie, comme l’alsacien des langues germaniques. Exception faite#phrase incomplèteIl est difficile de faire sens et de comprendre comment les informations sur les différents dialectes sont articulées. pour le roussillonnais qui est un dialecte catalan.

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

[tab:De quoi j’ai l’air ?]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
pas clair, négligent – vite content
fastidieux, naïf
non conforme

[/table]

[tab:+++]

88 clés

Fiche 7 – Phrase incomplète / pas une vraie phrase

www

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Si ma phrase est longue et/ou commence par une subordonnée, n’ai-je pas oublié de mettre le verbe principal ?
  • N’y a-t-il pas des « phrases nominales » que je pourrais réécrire sous une forme plus canonique ?
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#morphème_gramm https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/morpheme-gramm/ Thu, 28 Feb 2013 17:57:05 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4443 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

morphème gramm_illuOn peut observer trois types de problèmes en lien avec l’utilisation des morphèmes grammaticaux
tels que les prépositions, les adverbes de négation, les conjonctions…

Dans certains cas, il s’agit d’une omission du terme là où il serait pourtant nécessaire de l’écrire.

Exemples
1. Il considère leur idée irréaliste
(au lieu de la forme attendue « COMME irréaliste »)
2. Elle préfère partir avec son amie plutôt que ses parents
(au lieu de « plutôt qu’AVEC ses parents »)
= exemple du cas très fréquent d’absence de répétition de la préposition dans une énumération

Dans d’autres cas, le scripteur fait une confusion et recourt à un morphème qui n’est pas pertinent dans le contexte (souvent, il s’agit d’un morphème de la même catégorie ; par exemple, on utilise une préposition pour une autre). On est proche, ici, du problème de #collocation, dans le sens où le scripteur utilise une combinaison de type « verbe + préposition », par exemple, comme s’il s’agissait d’une expression figée standard alors qu’on ne la retrouve généralement pas sous cette forme.

Exemple
J’ai reçu des livres ma grand-mère
(variante que l’on peut entendre pour « DE ma grand-mère », en contexte familier, dans les régions de Namur et de Charleroi)

Enfin, il peut également arriver que le scripteur utilise une préposition là où il ne devrait pas y en avoir.

Exemple
Il se rappela rapidement *du titre de l’ouvrage
(au lieu de « se rappeler le titre de l’ouvrage »)

Comme plusieurs de ces tournures sont fréquentes à l’oral et dans les écrits informels, elles n’entravent que très rarement la compréhension du discours lorsqu’elles apparaissent dans les écrits des étudiants. Il n’en reste pas moi qu’elles ne sont pas conformes au niveau de langue qui est généralement attendu dans les écrits universitaires (cf. #registre) et/ou qu’elles peuvent diminuer la lisibilité immédiate du texte (dans le cas où le lecteur perçoit, plus ou moins consciemment, la formulation comme surprenante, inhabituelle…)

D’autres exemples fréquents

  • SANS QUE + sujet + vb >> sans que + sujet + NE + vb
    *Je changerai l’horaire sans qu’il s’en rende compte (… sans qu’il NE s’en rende compte)
  • TROP + adj. + *que* POUR..
    Il est trop fier *que* pour accepter votre aide.
  • ON vs L’ON ?
  • QUOIQUE vs QUOI QUE
  • QUI (tournure personnelle) vs QU’IL (tournure impersonnelle) cf. ce qui / ce qu’il
  • pallier *à* un problème >> pallier un problème
  • habiter *sur*… >> habiter À…
    J’habite *sur* Bruxelles
  • tournures avec DONT
    les recherches dont il *en* fait mention (… dont il fait mention)
    le style dont on connaît *ses* particularités (… dont on connaît LES particularités)
    le problème *dont* il fait référence (… AUQUEL il fait référence)
    C’est DE ce cas de figure *dont* je vais parler (C’est de ce cas QUE je vais parler)

Sources (photos sous licence Creative Commons) : noeuds – facebook

[tab:En pratique]

spotLROM 1311 – La standardisation des langues (1)

Le rhéto-frioulan présente un groupe de variétés de langues qui peut se diviser en trois groupes : le romanche, le ladin et le frioulan. Ces groupes se situent dans des pays différents (Suisse#morphème grammaticalR en Suisse pour le Romanche et Italie#morphème grammaticalR en Italie pour le ladin & frioulan#morphème grammaticalR et le frioulan).

(…)

 

Consulter l’analyse complète (réponse complète et son analyse détaillée)

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]

Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure

lunettes_small2, table radio_small2

pas clair, négligent

ambigu, incompétent

fatigant

non conforme

[/table]

[tab:+++]

CCDMD

Informations sur l’utilisation du « dont » 

Informations sur l’utilisation des prépositions 

Absence ou présence erronée de l’adverbe de négation « ne »

BDL

Répétitions de :

Prépositions :

Le vocabulaire – Nuances sémantiques

  • à nouveau / de nouveau
  • à travers / au travers
  • en regard de / au regard de
  • l’un l’autre / l’un et l’autre
  • voici / voilà

www

Sur le site du Bureau de Traduction québécois, on trouve « Le rouleau des prépositions » : tapez un verbe ou un adjectif dans le rectangle de saisie (ou trouvez-le dans le menu alphabétique qui s’affichera à gauche) et vous obtiendrez un tableau récapitulatif des prépositions utilisées avec ce mot.

Une page consacrée aux solécismes (« manquements aux règles de la syntaxe ») où l’on relève des erreurs fréquentes (dont bon nombre relèvent de l’emploi des morphèmes grammaticaux).

 

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Suis-je sûr des prépositions que j’utilise ? S’agit-il chaque fois de celle qui convient dans ce contexte ?
  • Si j’utilise une tournure un peu complexe, suis-je sûr que la combinaison « standard » des termes est celle que je propose ?
  • Ai-je vérifié la pertinence de mes pronoms relatifs, notamment en ce qui concerne le pronom « dont » ?

]]>
#typographie https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/typographie/ Thu, 28 Feb 2013 17:52:26 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=4353 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

typographie_illu

Les problèmes de typographie sont le résultat d’une méconnaissance ou d’une mauvaise application des règles concernant :

  • le recours (ou non) aux majuscules
  • le placement d’un espace (ou non) avant ou après un signe de ponctuation
  • la combinaison potentielle de plusieurs signes de ponctuation (par exemple : faut-il mettre le point à l’intérieur ou à l’extérieur des guillemets ?)
  • la valeur des signes de ponctuation (en lien avec balisage, cf. ci-dessous pour la distinction entre ponctuation et typographie)
  • la valeur des signes typographiques (par exemple : quelle est la différence entre les deux points et le point-virgule ?)
  • l’écriture des nombres (date, heure…)
  • la coupure des mots
  • la création et l’utilisation des abréviations
  • l’utilisation du gras et de l’italique

ATTENTION
Les règles de typographie ne sont pas universelles et de nombreuses différences existent, notamment entre le français et l’anglais.
Par exemple :
      FR Il y a des centaines de bières belges ; il est difficile d’en choisir une !
      EN There are hundreds of Belgian beers; it’s hard to choose one!

On se situe donc ici dans une approche strictement normative : telle règle typographique est appliquée (c’est correct) ou ne l’est pas (c’est incorrect). Ajoutons que, traditionnellement, certaines erreurs typographiques sont assimilées à des erreurs d’orthographe et sanctionnées comme telles (par exemple : ne pas mettre de majuscule au nom ‘belge’, alors qu’il désigne bien une personne et doit, en français, prendre une majuscule).

Toutes ces règles peuvent être consultées en suivant les liens proposés dans la section +++ de cette même fiche.

Généralement, les erreurs typographiques n’ont pas vraiment d’impact sur la clarté du contenu. Cependant, elles peuvent rendre la lecture un peu moins confortable (l’oeil du lecteur utilisant les marques typographiques comme « points d’appui »). Par ailleurs, l’accumulation de petits problèmes de ce type peut nuire à l’image du scripteur (elle sera vite interprétée comme un manque de sérieux et de rigueur).

Il ne faut pas confondre problème de #typographie avec problème de #ponctuation. Voici deux exemples pour comprendre la différence :

  1. « Il avait préféré alors que tous les autres étaient déjà rentrés rester une heure de plus pour savourer le coucher de soleil » #ponctuation (sous-exploitation)
    >> Il faut encadrer l’incise « alors que tous les autres étaient déjà rentrés » par deux virgules pour rendre le propos plus clair. C’est donc bien un problème de balisage.
  2. « Elle avait tout vendu: la maison, les meubles, la voiture, le bateau, … » #typographie
    >> Les règles de typographie prévoient qu’il faut, en français, un espace avant et après les deux points. De plus, on ne peut pas faire suivre une virgule de points de suspension. Ce sont des problèmes de respect de la norme dans la présentation.

Source de l’illustration : Le journal du geek / 28.06.2013

[tab:En pratique]

spotLROM 1311 – Des langues et des territoires (1)

La zone en rose correspond à l’Armorique. Il n’est pas concerné car ce territoire fut celtisé par les bretons#typographieIl faut une majuscule aux noms de nationalités quand ils désignent les personnes. R ‘les Bretons’ qui s’y sont installés lorsqu’ils furent chassés par les anglo-saxons#typographieIl faut une majuscule aux noms de nationalités quand ils désignent les personnes. R ‘les Anglo-Saxons’. La zone en vert correspond à un territoire où l’on parle le gascon. Le gascon est une langue non liée à l’occitan qui se parle aussi dans le nord-est#typographieIl faut une majuscule aux points cardinaux quand ils désignent un territoire, une région. R ‘le Nord-Est’ de l’Espagne.

 Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée) (lien intégré vers AC)

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]

[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
non conforme, négligent – vite content
incorrect, incompétent
fatigant,

[/table]

[tab:+++]

CCDMD

Une fiche explicative sur les tirets et les parenthèses

Une fiche explicative sur les guillemets et l’italique

Un jeu (emprunté à la BDL) avec notamment une section « typographie/ponctuation »

 

BDL

Un tableau très clair sur l’espacement avant et après les signes de ponctuation les plus fréquents

Le point sur :

Très utile : un petit point sur la notion d’espaces insécables

Un truc
Pour introduire un espace insécable dans Word :
CTRL (ou touche ‘commande’ sur Mac) + MAJ + barre d’espacement


Les procédés de mise en relief

www

Un manuel de typographie en ligne, très complet et pratique

Une série de jeux et d’exercices ‘diagnostic’ autour d’erreurs de ponctuation (typographie) courantes

Un topo Wikipédia complet et bien documenté sur l’usage des majuscules en français

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Y a-t-il dans mon texte des noms propres, des abréviations, des nombres ?
  • Si oui, ai-je vérifié la bonne application des règles d’écriture les concernant (notamment pour l’utilisation des majuscules) ?
  • Ai-je vérifié la pertinence et la bonne utilisation des signes de ponctuation (notamment pour la gestion des espaces) ?
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#cohésion https://sites.uclouvain.be/reflex/description-des-tags/cohesion/ Thu, 28 Feb 2013 16:59:50 +0000 http://sites.uclouvain.be/reflex/?page_id=3773 Lire la suite ]]> [tab:En théorie]

cohésion_illuDans le cadre de REFLEX, les moyens que nous évoquons essentiellement pour assurer la cohésion textuelle au niveau des phrases et des paragraphes sont les connecteurs et les anaphores (voir ci-dessous). C’est pourquoi on les retrouve sous la catégorie « balisage » plutôt qu’à un niveau strictement syntaxique ou lexical.

Les connecteurs logiques (parfois appelés « expressions d’enchaînement ») sont des mots/groupes de mots qui permettent de faire la liaison entre des éléments du texte (syntagmes, phrases, paragraphes…), tout en indiquant le rapport de sens particulier qui relie les idées exprimées par ces éléments du texte. Par exemple, un rapport causal : Il n’est pas venu au concert sous prétexte que l’acoustique de la salle était mauvaise.

ATTENTION
Pour les cas où le scripteur a choisi un connecteur « non pertinent », nous renvoyons à la fiche correspondante. En effet, la fréquence de ce problème nous a poussés à le mettre en évidence par la création d’une étiquette et d’une fiche spécifiques.


L’anaphore
, quant à elle, est une technique de reprise de l’information, qui permet de mentionner à nouveau un élément du discours précédemment énoncé (l’antécédent ou le référent au sens plus large), mais d’une autre façon, plus ou moins fidèlement (ou précisément). Il peut s’agir d’une anaphore :

  • pronominale (pronom personnel, possessif, démonstratif, relatif…)
    J’ai quatre cousins. Ils sont tous plus âgés que moi. Leurs deux sœurs, qui sont plus jeunes, s’appellent Claire et Louise. Cette dernière est la benjamine de la famille.
    Paul est un virtuose du piano ; il en joue depuis l’âge de quatre ans.

  • lexicale (nom ou groupe nominal)
    Barack Obama est arrivé hier soir à Berlin. Le président des Etats-Unis fait en effet un voyage éclair en Europe.
    Paul est un virtuose du piano ; ce jeune prodige pratique l’instrument depuis l’âge de quatre ans.

Les procédés anaphoriques peuvent parfois être :

résomptifs : ils proposent ainsi une forme de synthèse
Ils ont fait un tour du lac Léman après avoir séjourné à Genève. Ces vacances n’auront duré que quatre jours
associatifs : ils font appel implicitement aux connaissances générales du lecteur
Isabelle a visité la Norvège. Les fjords l’ont particulièrement impressionnée.

NB
On parlera de cataphore quand l’élément auquel on renvoie (le référent) se trouve plus loin dans l’énoncé et est donc un conséquent plus qu’un antécédent, comme dans la phrase « Quand tu l’auras retrouvé, tu me rendras le livre que je t’ai prêté ».

Précisons que les problèmes de cohésion que nous mentionnons sous cette étiquette concerneront donc les cas de figure suivants :

  • le scripteur ne relie pas assez ses idées par des connecteurs logiques explicites
    = sous-articulation
  • le scripteur ne gère pas correctement les rapports (co-)référentiels entre les différents segments du texte ; il commet principalement des erreurs dans le choix et l’utilisation des anaphores.
    = articulation erronée (comme dans l’illustration de cette fiche)

Enfin, il ne faut pas oublier qu’il existe d’autres facteurs de cohésion textuelle, comme les récurrences et la progression thématiques (on se situe alors plutôt au niveau du raisonnement) ou encore l’organisation temporelle (marqueurs temporels, concordance des temps… qui relèvent alors plutôt de questions de syntaxe). Mais ce découpage reste partiellement arbitraire et il est vrai que les indices d’organisation temporelle fournissent eux aussi des balises au lecteur pour l’aider à comprendre la structure du propos.

Sources : The Adventures of Priscilla, Queen of the Desert – Zéros Sociaux

[tab:En pratique]

spotLROM 1311 – Des langues et des territoires (1)

La zone en rose correspond à l’Armorique. IlComme les termes 'zone' et 'Armorique' sont tous deux féminins, l'utilisation du pronom 'il' est erronée et gênante. Bien sûr, dans ce contexte, il n'y a pas réellement d'ambiguïté ou de mécompréhension possible, mais le lecteur doit néanmoins faire un effort de 'réparation' de l'erreur du scripteur. R La zone en rose correspond à l’Armorique. Ce territoire n’est pas concerné (par ces évolutions phonétiques) car il fut celtisé (...) n’est pas concerné par ces évolutions phonétiques car ce territoire fut celtisé par les bretons qui s’y sont installés lorsqu’ils furent chassés par les anglo-saxons.

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

 

spot LFLTR 1550 – Les descriptions dans les romans réalistes (2)

Chez Balzac (réalisme « objectif »), les personnages sont décrits avec beaucoup de traits mais la description a une fonction symbolique : typifier les personnages. (…) L’induction et la déduction sont importantes pour comprendre le contexte. Dans le réalisme « subjectif », celaL’élément auquel renvoie le 'cela' n’est pas clair : la compréhension du contexte ? la typification des personnages ? se construit à partir des perceptions partielles.

Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)

 

[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]
[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
lunettes_small2, table radio_small2
illogique – incohérent, incompétent
ambigu – pas clair, négligent – vite content
trop implicite, (scolaire – immature)

[/table]

[tab:+++]

CCDMD

Explication de la notion de reprise de l’information et exemples des différents moyens de reprise

Fiches d’auto-correction

 

 

[tab: GRR]

point d'interrogation détouré

  • Ne pourrais-je pas ajouter un ou plusieurs connecteur(s) ?
  • Les connecteurs utilisés sont-ils pertinents ? (cf. #connecteur)
  • Quand j’utilise un pronom personnel, un déterminant possessif, un pronom relatif…, suis-je sûr qu’il a bien un et un seul référent possible ?
  • Les termes de reprise et leurs référents ne sont-ils pas trop éloignés pour que le lecteur identifie le lien qui les unit ?
  • Quand j’utilise une nouvelle formulation pour désigner un élément déjà évoqué, suis-je sûr que le lecteur verra clairement que je renvoie à ce premier élément ?
]]>