Et d’autre part, il (le mot ‘libertins’) est d’une grande confusion car il s’applique aussi bien à certains jeunes débauchés de la noblesse, qui refusent d’adhérer à l’ordre moral, qu’à certains philosophes dont le souci de liberté philosophique s’associe à une profonde horreur du scandale.
Antoine Adam & Robert Abirached, in Encyclopaedia Universalis
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Le terme ‘ libertins’ est confus dans ce texte car il s’applique à deux genres de personnes bien distincts voire différents. En effet est évoquée la ‘jeunesse débauché de la noblesse’ dont le but est d’être opposé à l’ordre moral, à la tradition. Tandis que l’autre genre de personne évoquée est un groupe composés de certains philosophe dont le but ici est d’éviter le scandale dans leur liberté philosophique.
Finalement, la confusion provient des buts soutenus par les deux groupes distincts.
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Le terme ‘libertins’ est confusLe terme 'confus' s'appliquerait mieux au mot 'raisonnement' ; on ne peut pas vraiment dire qu'un mot est confus. On est ici très proche du problème de #collocation.
dans ce texte car il s’applique à deux genres#registreR le terme 'libertins' est ambigu...
R 'catégories' 'types'
de personnes bien distincts voire différents#terme incorrectPléonasme. Le 'voire' suggère que 'différents' précise encore le terme 'distincts', ce qui n'est pas le cas.. En effet#connecteurOn annonce que l’on va évoquer deux 'genres'. Il serait donc opportun de baliser explicitement ces deux éléments, par exemple avec R 'd’un côté…, de l’autre…' ou 'd’une part…, d’autre part…'
est évoquée#tournure confuse #syntaxe incongrueL'inversion sujet/verbe ainsi que l'utilisation de la voie passive rendent la phrase plus difficile à comprendre. R 'En effet, le mot évoque d'abord...'
la ‘jeunesse débauchée de la noblesse’ dont le but est d’être opposé#tournure confuse #ortho grammIl est inutile d'utiliser la voie passive. De plus, le scripteur a oublié l'accord du participe passé avec 'la jeunesse'. R 'dont le but est de s'opposer'
à l’ordre moral, à la tradition. Tandis que l’autre genre#terme imprécis #registreCf. remarque plus haut pour le même terme. de personne évoquée#ortho grammOn évoque un groupe de personnes. Il serait plus pertinent de mettre le mot 'personnes' au pluriel. R 'l'autre type de personnes auxquelles/auquel le mot réfère'
est un groupe composés#ortho grammR 'un groupe composé de'
de certains philosophe#ortho grammR 'certains philosophes'
dont le but#terme incorrectOn ne peut pas vraiment dire qu'il s'agit de leur but, mais plutôt d'une attitude générale que cette catégorie de philosophes adopte. ici#cohésion #terme incorrectA quoi réfère le 'ici' ? est d’éviter le scandale dans leur liberté philosophique#morphème gramm #collocationOn ne comprend pas le sens exact de l'expression 'éviter le scandale dans...' R 'tout en restant dans le cadre de leur liberté philosophique'
. Finalement, la confusion provient des buts soutenus par les deux groupes distincts.
« (…) la littérature du XIXe siècle ne fait pas des événements historiques un simple arrière-plan, un décor de l’action fictionnelle. Elle les place au cœur des intrigues et interroge, à partir de la représentation des personnages, des rapports politiques et sociaux. Dans le roman, genre par excellence du réalisme, une forme s’impose plus particulièrement et prend un essor extraordinaire au XIXe s. : la description. Alors qu’elle avait un rôle secondaire, ornemental ou didactique, sous l’Ancien Régime, la description moderne devient le mode majeur de présentation du réel. Toutefois, il s’agit de différencier et d’historiciser diverses stratégies réalistes.
Chez Balzac, le réalisme vise à expliquer le monde social et à parvenir à un savoir total. Une dialectique s’instaure dès lors entre le particulier et le général. Les personnages, individus singuliers, ne sont décrits qu’à partir de leurs coordonnées spatio-temporelles, avec un grand luxe de détails concrets. Cependant, la description revêt une fonction symbolique : les personnages sont typifiés, les choses servent d’indice d’une catégorie de personnalités, d’une classe sociale, d’un milieu. Le narrateur balzacien accumule des éléments contradictoires, parce qu’il ne vise pas une vérité référentielle, mais une vraisemblance fondée sur des stéréotypes culturels et sur des causalités sociales. Dans ce monde fictionnel saturé de sens, tout fait signe. L’induction et la déduction sont également sollicitées pour saisir la globalité du contexte social : tout comme le scientifique peut reconstituer un squelette entier à partir d’un fragment, le romancier peut englober souverainement la réalité humaine à partir d’un détail significatif. Cette fonction d’indice attribuée aux objets jouera un rôle central dans l’apparition du genre policier, qui naît au milieu du XIXe siècle.
À l’inverse de ce réalisme « objectif », Stendhal met en œuvre un réalisme subjectif, qui se construit à partir des perceptions partielles des personnages. Ce n’est pas une totalité du savoir qui est visée, mais un idéal individuel largement héroïsé, fondé sur une vérité du sujet et de ses affects. Toute vérité objective échappe aux protagonistes, qui ne perçoivent les événements que de leur point de vue, naïf et limité, selon des focalisations narratives que le critique Georges Blin a nommées « restrictions de champ ». Dans La Chartreuse de Parme, la bataille de Waterloo n’est appréhendée que par les états perceptifs, hétérogènes et décousus, du héros : toutefois, l’immédiateté des sensations, l’absence d’unité logique et temporelle, la déliaison des actions narratives disent quelque chose de la chute de l’empire napoléonien, bien que ce ne soit pas sur le mode d’un savoir explicatif. Ainsi, une conception éminemment moderne du réel se met en place, fondée sur le hasard, l’accident, le fait particulier. Les fractures de l’Histoire rompent l’idéalisme d’un savoir objectif et universel. En lieu et place d’une omniscience narrative, c’est une conscience passive des sensations qui s’impose, où le réel se présente dans les défaillances du sens. (…) »
D. Kunz Westerhoff, « Histoire littéraire des XIXe – XXIe siècles », cours sur « L’effet de réel » du 16 mars 2007, Université de Lausanne, résumé disponible en ligne : http://www.unil.ch/fra/page43149.html
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Sous l’Ancien Régime, la description avait un rôle secondaire mais depuis le XIXe s. elle est placée au cœur des intrigues. Dans le roman, la description s’impose, elle devient le « mode majeur de présentation du réel »
Chez Balzac (réalisme « objectif »), les personnages sont décrits avec beaucoup de traits mais la description a une fonction symbolique : typifier les personnages. Il y a une accumulation d’éléments contradictoires car il ne recherche pas une vérité mais une vraisemblance. L’induction et la déduction sont importantes pour comprendre le contexte.
Dans le réalisme « subjectif », cela se construit à partir des perceptions partielles. Peu de descriptions, pas beaucoup de mode explicatif mais justement, le réel se « présente dans les défaillances du sens ».
Pour Barthes, les descriptions sont à la base des connotations insignifiantes d’un point de vue structural mais il se rend compte qu’elles contribuent à l’illusion référentielle, elles mettent en évidence la vraisemblance du récit. L’illusion référentielle c’est un référent sans signifié et donc le signe devient « je suis réel » ce qui donne lieu à l’effet de réel. Tout cela pour poser les base de la vraisemblance du récit.
L’effet du réel peut aussi se retrouver dans un manque de descriptions car cela laisse place à l’imagination, le lecteur comble les manques en mettant en place un « réel fictif ».
Ces deux sortes de réalisme correspondent aux idées de Barthes.
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Sous l’Ancien Régime, la description avait un rôle secondaire mais depuis le XIXe s. elle est placée au cœur des intrigues. Dans le roman, la description s’impose, elle devient le ‘mode majeur de présentation du réel’.#sourceil n’est pas précisé que ce 'cadre théorique' est proposé par Kunz Westerhoff R 'D'après D. Kunz Westerhoff...'
Chez Balzac (réalisme ‘objectif’), les personnages sont décrits avec beaucoup de traits#terme imprécis #registreL’expression complète est trop généralisante. De plus, 'beaucoup de' relève d'un registre moins soutenu que 'de nombreux', par exemple. R 'par le biais de nombreux traits, comme...'
mais#connecteurLe 'mais' indique normalement une opposition alors qu'ici, les deux idées s’enchaînent simplement. L’idée d’opposition présente dans l’extrait de texte fourni et concrétisée par l’utilisation d’un 'cependant' renvoie à l’apparente contradiction entre la profusion de détails concrets et leur utilisation pour créer des types, des catégories symboliques. R 'et'
la description a une fonction symbolique : typifier les personnages. Il y a#terme imprécis #connecteurCela manque de précision et il manque un connecteur ou un terme de reprise pour comprendre la logique qui fait passer le scripteur d’une idée à l’autre. R 'Ces éléments de description, accumulés, sont parfois contradictoires, car…'
une accumulation d’éléments contradictoires car il ne recherche pas une vérité mais une vraisemblance. L’induction#connecteurRien n'indique comment l'on passe, dans le raisonnement, de l'idée précédente à cette nouvelle idée, ni le rapport que ces deux éléments d'information entretiennent. R 'De plus, l’induction et la déduction sont importantes… '
et la déduction sont importantes pour comprendre le contexte.
Dans le réalisme ‘subjectif’#info manquanteIl s'agit d'un autre type de réalisme, opposé au premier (celui de Balzac) ; il conviendrait de préciser qui sont ses représentants. R 'Dans le réalisme subjectif à la Stendhal, cela…'
, cela#cohésionL’élément auquel renvoie le 'cela' n’est pas clair : la compréhension du contexte ? la typification des personnages ? se construit à partir des perceptions partielles. Peu de descriptions, pas beaucoup de mode explicatif mais justement, le réel se ‘présente dans les défaillances du sens’.
Pour Barthes, les descriptions sont à la base#terme incorrectBelgicisme. R 'au point de départ' ou 'initialement'
des connotations#terme incorrectBarthes évoque la description objective de détails ; on est donc bien dans la dénotation et non dans la connotation. insignifiantes d’un point de vue structural#terme imprécis #info manquanteQue veut-on dire par 'point de vue structural' ? mais il se rend compte qu’elles contribuent à l’illusion référentielle, elles#connecteurIl manque une connexion pour comprendre le rapport entre les différentes parties de cette (longue) phrase. R 'parce qu’elles...'
mettent en évidence#terme incorrect #collocationR 'elles donnent au récit une vraisemblance'
la vraisemblance du récit. L’illusion référentielle#ponctuationR 'L’illusion référentielle, c’est un référent…'
c’est un référent sans signifié#contenu non pertinentCe n’est pas ainsi que l’on peut définir l’illusion référentielle. De plus, le scripteur n’explique pas ce qu’il entendrait par 'référent sans signifié'. et donc#connecteurLe rapport de sens proposé n'est pas pertinent. On ne comprend pas le lien de conséquence entre ce qui précède et ce qui suit. le signe devient ‘je suis réel’#syntaxe incongrue #info manquanteIl est pratiquement impossible de faire sens. ce qui donne lieu à l’effet de réel#tautologieOn ne fait que répéter ce qui a déjà été dit, sans expliquer.. Tout cela pour poser#phrase incomplèteIl n'y a ni sujet, ni verbe principal. les base de la vraisemblance du récit.
L’effet du réel peut aussi se retrouver dans un manque de descriptions car cela laisse place à l’imagination, le lecteur comble les manques en mettant en place un ‘réel fictif’.
Ces deux sortes de réalisme correspondent aux idées de Barthes#info manquanteRaisonnement implicite, manque de précision..
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Dans les extraits qui suivent, un structuraliste mettra en place l’analyse des fonctions de Jakobson ici présentes. D’abord la fonction poétique présente dès le premier paragraphe lorsque Zola accélère la narration via une ponctuation plus importante et des phrases plus courtes pour allier fond et forme alors que Denise sent la surprise monter en elle.
(…)
Enfin, un esthéticien de la réception regardera quel est le travail du lecteur face au texte qu’il doit reconstruire, parachever et quels éléments mais aussi ceux qui lui sont internes permettent d’effectuer cette reconstruction.
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Dans les extraits qui suivent, un structuraliste mettra en place l’analyse des fonctions de Jakobson ici présentes#tour trop complexeIl n'est pas nécessaire de préciser.. D’abord la fonction poétique présente dès le premier paragraphe lorsque Zola accélère la narration via une ponctuation plus importante et des phrases plus courtes pour allier fond et forme#info manquanteCela mérite un peu plus d’explication. alors que Denise sent la surprise monter en elle.#ponctuationAucun signe de ponctuation ne vient baliser la phrase, ce qui demande au lecteur un effort particulier pour suivre la progression des idées.
(…)
Enfin, un esthéticien de la réception regardera quel est le travail du lecteur face au texte qu’il doit reconstruire, parachever et quels éléments #phrase incomplèteIl manque probablement deux mots.
qui dépassent le texte mais aussi ceux qui lui sont internes#rupture de constructionOn commence avec la construction /regarder + interrogation indirecte/ pour enchaîner avec /regarder + COD/ permettent d’effectuer cette reconstruction#syntaxe incongrueLa fin de phrase est pratiquement impossible à interpréter (confusion éventuellement entre /permettent/ et /permettant/ ?!?). Il s’agit d’un exemple proche de #tournure confuse, à savoir une formulation très complexe mal gérée.R
quels sont les éléments qui R Il regardera également quels éléments, externes et internes au texte, permettent d’effectuer cette reconstruction.
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On retrouvera sous cette étiquette tous les cas de syntaxe déficiente qu’on ne pourra pas qualifier plus précisément : pour résoudre le problème, il ne suffit pas d’ajouter un mot manquant, de modifier un morphème grammatical mal choisi, de rétablir le bon temps ou le bon mot, ni même de clarifier les référents d’une construction ambigüe… Soit il s’agit d’une présence massive et combinée de plusieurs de ces problèmes, soit le résultat est tellement incompréhensible que le diagnostic précis est impossible.
Sources (photos sous licence Creative Commons) : Besherelle – Facebook
[tab:En pratique]
LFLTR 1120 – La confusion autour du terme « libertins »
En effet est évoquée la ‘jeunesseL'inversion sujet/verbe combinée à l'emploi de la forme passive crée une forme non canonique et inattendue, qui rend la compréhension moins aisée (outre le fait qu'il manque une virgule après 'en effet') R En effet, il
(le terme 'libertins') évoque la jeunesse
débauché de la noblesse’ dont le but est d’être opposé à l’ordre moral, à la tradition.
Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)
LROM 1112 – Trois approches littéraires
Enfin, un esthéticien de la réception regardera quel est le travail du lecteur face au texte qu’il doit reconstruire, parachever et quels éléments mais aussi ceux qui lui sont internes permettent d’effectuer cette reconstructionLa fin de phrase est pratiquement impossible à interpréter (confusion éventuellement entre /permettent/ et /permettant/ ?!?). Il s’agit d’un exemple proche de #tournure confuse, à savoir une formulation très complexe mal gérée. R Il regardera également quels éléments, externes et internes au texte, permettent d’effectuer cette reconstruction..
Consulter l’analyse complète (réponse intégrale et son analyse détaillée)
[tab:« De quoi j’ai l’air ? »]
[table class= »impression »]
Ce que le prof risque de griffonner, Ce que le prof risque de conclure
,
pas clair – ambigu, incompétent
incompréhensible, négligent
incorrect, (prétentieux)
[/table]
[tab:+++]
Des exemples de solécismes et anastrophes (considérés, s’il ne s’agit pas d’une licence poétique, comme des formulations syntaxiques incongrues)
[tab: GRR]
[tab: copie brute]
Le courant le plus approprié pour répondre à cette question serait le courant sociolinguistique. Celui-ci étudie les effets de la société sur la structure du langage et préconise que la société a une réelle répercussion sur notre langage.
Une possible explication serait de dire que la société possède des stéréotypes et, par conséquent, comme beaucoup le savent, la région de Charleroi détient une mauvaise réputation due aux gangs et à l’insécurité qui y règne constamment. D’un autre côté, la région de la Provence est synonyme d’accueil, de chaleur voire de bien-être. Notre vision des différentes régions et leur appréciation prouv clairement qu’elles ont un impact réel sur la structure langagière.
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Le courant le plus approprié pour répondre à cette question serait le courant sociolinguistique#terme imprécis #collocationR l’étude des imaginaires sociolinguistiques
. Celui-ci étudie les effets de la société#terme imprécisdescription acceptable pour la sociolinguistique en général, mais pas pour les imaginaires sociolinguistiques en particulier R de facteurs sociaux
sur la structure#terme incorrectIl n'y a pas qu'une structure globale concernée R les structures
du langage et préconise#terme incorrect #collocation'préconiser' sous-entend une visée prescriptive qui n'est pas présente dans le courant décrit. De plus, 'préconiser' attend généralement un nom comme complément ou éventuellement une subordonnée au subjonctif R suggère OU part du principe
que la société a#temps/modesAprès 'préconiser', il faut une subordonnée au subjonctif (NB : cela dit, de toute façon, ce verbe n'est pas pertinent) une réelle répercussion sur notre langage.Une possible explication serait de dire que la société#terme incorrectR les membres d'une société
possède#terme incorrectR est remplie de OU construisent
(en fonction du sujet choisi) des stéréotypes et, par conséquent,#connecteurIl n’y a pas, ici, de rapport de cause/conséquence entre la propension de l’être humain à construire des stéréotypes et la mauvaise réputation de Charleroi. Celle-ci est plutôt une illustration du phénomène. R Par exemple, la région de Charleroi…
comme beaucoup le savent#posture #argumentationIl s’agit d’une affirmation gratuite. R (supprimer)
, la région de Charleroi détient#collocationR souffre d'une mauvaise réputation OU
(éventuellement) jouit d'une mauvaise réputation
une mauvaise réputation due aux gangs et à l’insécurité qui y règne constamment#posture #argumentationIl y a à la fois une affirmation 'gratuite' et une généralisation (modalisation erronée) R … mauvaise réputation probablement générée par les récits fréquents, notamment dans les médias, évoquant la présence de gangs, par exemple, ou l’insécurité en général
. D’un autre côté#connecteurLe connecteur 'd’un autre côté' permet plutôt d’introduire un élément potentiellement contradictoire (mais pas obligatoirement) et portant toujours sur le segment d’information précédent. Ici, cependant, on amène l’élément suivant, qui entre dans une opposition réelle avec le précédent R En revanche, la Provence…
, la région de la Provence#syntaxe incongrueR la Provence
est synonyme d’accueil, de chaleur voire de bien-être. Notre#source #postureOn n'est pas certain de savoir qui englobe le 'nous'. vision des différentes régions et leur appréciation#tournure confuseR
prouve clairement#collocation #postureOn ne peut pas dire qu’une appréciation 'prouve qu'elle a un impact' mais tout simplement qu'une appréciation «a un impact» sur autre chose. De plus, le modalisateur 'clairement' engage le jugement personnel, non nuancé et non argumenté du scripteur (notre)
appréciation de différentes régionsR I
l semble donc que notre appréciation de différentes régions puisse avoir un impact réel sur la façon dont nous jugeons les pratiques langagières qu'on peut y observer respectivement.
qu’elles ont un impact réel sur la structure langagière.