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Conseil de candidature (ESPO)Organisation des enseignements
Organisation des enseignements selon les cyclesLes deux premières années d'études des programmes de la Faculté en constituent le premier cycle, appelé aussi "candidature". Leur objectif est de développer la capacité des étudiants à une réflexion intellectuelle de type universitaire. Le Conseil de Candidature de la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques gère cinq programmes distincts, accessibles aux diplômés de l'enseignement secondaire supérieur:
Par ailleurs, la Commission de gestion des programmes de la licence en informatique gère le programme de la candidature en Sciences économiques et de gestion : orientation informatique. Orientation progressiveLe programme de candidature en sciences économiques, sociales et politiques repose sur deux socles principaux. Il propose d'une part un enseignement pluridisciplinaire en sciences humaines : sociologie, économie, psychologie, philosophie, histoire, droit, science politique, communication, et, à travers des cours comme la critique historique, les mathématiques, la statistique, la comptabilité et l'informatique, il offre d'autre part les outils méthodologiques nécessaires pour effectuer valablement un travail en sciences sociales ou économiques. Des cours de langues complètent cette formation. L'ingénieur de gestion ajoute à des compétences approfondies en management (gestion) une dimension scientifique et technologique. Cette formation, très appréciée dans les milieux industriels et d'affaires, est exigeante. Une partie du programme ressemble à celui de la filière "Économie et Gestion " de la candidature en sciences économiques et sociales; mais un programme spécifique est proposé en Mathématiques, en Statistique et en Sciences (physique et chimie). Les quatre premiers programmes sont organisés de manière à permettre à l'étudiant de s'orienter progressivement vers celui de ces diplômes qu'il trouvera le mieux adapté à son projet. Le premier quadrimestre de la première année de candidature en sciences économiques, sociales et politiques est ainsi entièrement polyvalent et commun aux quatre premiers programmes mentionnés. En février de cette première année, en entamant le second quadrimestre, l'étudiant peut, s'il le désire, faire un premier choix entre d'une part, l'orientation "Sciences Economiques et de Gestion" et d'autre part, l'orientation "Sciences Politiques et Sociales" qui regroupe les diplômes de Sciences politiques, de Sociologie et de Communication. Mais il peut aussi "choisir de ne pas choisir" et rester dans une filière entièrement polyvalente pour ces quatre programmes. Ce n'est qu'en entrant en deuxième année que l'étudiant doit faire le choix définitif de celui de ces diplômes qu'il souhaite obtenir. Par contre, l'étudiant qui choisit l'orientation informatique du programme de candidature en sciences économiques et de gestion aura un programme qui lui sera propre dès le premier quadrimestre de la première année. Il en est de même pour celui qui se destine à l'ingéniorat de gestion. Une première candidature partagée en groupes et sériesLes étudiants de la première candidature polyvalente sont répartis en deux groupes (d'environ 300 étudiants) pour les cours magistraux et en vingt séries (d'environ 30 étudiants ) pour les travaux pratiques et les cours de langues. Mais, il s'agit bien d'une seule et même année, partagée en deux groupes et pas de deux années distinctes. Il n'y a qu'un seul jury et une seule délibération. Les étudiants de la première candidature en ingéniorat de gestion et de l'orientation informatique suivent une série de cours magistraux en commun et sont répartis en séries distinctes (d'environ 30 étudiants) pour les travaux pratiques et les cours de langues. Le rythme de travailLe jour de la rentrée est fixé au troisième lundi de septembre. La matinée de cette journée est consacrée à l'accueil des étudiants et à diverses séances d'informations et d'inscriptions dans les groupes et séries. Dans le courant du quadrimestre, des activités de type méthodologique et pédagogique (recherche d'une bonne méthode de travail, apprentissage de prises de notes, exercices de maîtrise de la langue écrite et orale,...) sont organisées. De plus, les professeurs consacrent l'un ou l'autre cours magistral à un travail d'intégration : révision, mise en perspective, discussions de méthode de travail, ... Parallèlement, des évaluations sont organisées dans le courant du mois de novembre. Ces évaluations ont pour objectif de donner à chaque étudiant l'occasion de contrôler s'il est à jour dans les matières enseignées et si sa formation est adéquate. Enfin, la dernière semaine du quadrimestre est, elle aussi, consacrée à une intégration de la matière. La session de janvierLa session de janvier constitue un moment fondamental du dispositif d'évaluation permettant aux étudiants de constater leurs difficultés. Les résultats de cette session rendent en effet visible le retard de certains et permettent d'envisager pour eux un encadrement particulier. Pour s'assurer que la session de janvier joue ce rôle de révélateur, et afin de pouvoir mieux prendre en charge ces étudiants dès le second quadrimestre, un certain nombre d'examens sont obligatoires pour tous les étudiants à cette session. Des interrogations sur les matières non terminées peuvent aussi être organisées . Après la session de janvier, une commission facultaire examine, pour chaque nouvel étudiant, sa capacité de réussite de l'année dans des conditions normales. Pour porter son jugement, cette commission se base sur les notes enregistrées par le jury et les résultats obtenus aux tests d'économie politique et de sociologie. Elle détermine ensuite le type d'aide à fournir aux étudiants qui sont en difficulté. Les étudiants en difficulté majeure : des mécanismes d'accompagnement particuliersIl s'agit des nouveaux étudiants ayant rencontré un échec général important aux examens et interrogations de la session de janvier et pour qui la commission facultaire a estimé que la réussite de l'entièreté du programme de première année était devenue un objectif irréalisable. Un décret récent permet de proposer à ces étudiants, et à tous ceux qui le désirent, un nouveau projet, accessible celui-là. Ce projet consiste à étaler la première candidature sur deux années académiques. Pour la seconde partie de la première année (celle en cours), l'objectif de l'étudiant est de réfléchir à ses méthodes de travail et de confirmer, à travers la réussite d'une sous-épreuve portant sur une partie seulement des cours, que son investissement dans les études entamées garde de réelles chances de succès. Pour y arriver, il bénéficiera d'un encadrement et d'enseignements méthodologiques particuliers. En cas de réussite de cette épreuve, à la session de juin ou de septembre, l'étudiant pourra s'inscrire l'année suivante à la seconde partie de la première candidature. En cas d'échec à cette épreuve, l'étudiant pourrait se réinscrire en tant que redoublant l'année suivante. Mais un échec dans ce programme particulier, encore plus qu'un autre échec, devrait être pour lui une invitation pressante à réfléchir à son orientation. Les échecs isolés et les enseignements de révisionDes formules d'enseignement de révision sont également proposées aux étudiants pour lesquels la session de janvier a fait apparaître l'une ou l'autre lacune isolée (grave échec dans une matière par exemple). |
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