5.00 crédits
30.0 h
Q2
Enseignants
Hoyos Emily; Roginsky Sandrine;
Langue
d'enseignement
d'enseignement
Français
Préalables
/
Thèmes abordés
- Administration et communication
- Organisations et acteurs
- Communication publique
- Communication politique
- Communication et lobbying
- Média, politique, institutions
- Outils et dispositifs, en particulier numériques
- Communication publique et politique à l'heure d'Internet
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
A la fin de cette unité d’enseignement, l’étudiant est capable de : | |
| 1 |
A l'issue de ce cours l'étudiant sera capable de :
|
Contenu
La communication fait l'objet d'une spécialisation dans une les organisations politiques et dans les institutions publiques des démocraties représentatives, comme dans les ONG, les associations, etc. : autrement dit les pratiques de communication traversent des organisations et institutions aux caractéristiques diverses mais qui ont en commun de porter, dans le discours a minima, l’intérêt général. Ce cours a pour vocation d'aborder les processus de communication que l'on retrouve dans ce type d'organisations. Il s'agit dans un premier temps de comprendre les grandes problématiques et les enjeux communicationnels des organisations concernées et de leurs acteurs pour dans un second temps développer les capacités d'analyse et de savoir-faire qui permettent de concevoir des stratégies et de mettre en oeuvre des dispositifs de communication adaptés aux enjeux d’intérêt général actuels.
Méthodes d'enseignement
Le dispositif pédagogique intègre un volet ex-cathedra à travers powerpoint et illustrations et s’appuie sur la participation active des étudiant.es.
Le cours est structuré en deux parties distinctes mais qui ne sont bien sûr pas sans lien.
La première consiste à fournir et discuter des concepts théoriques en capacité d’aider à l’analyse de la communication d’intérêt général, des acteurs impliqués et des publics à qui elle cherche à s’adresser.
La seconde consiste à faire travailler les étudiant·es en groupe, à partir des concepts vus dans la première partie, sur des exemples concrets qu’ils/elles devront analyser : à partir du choix d’une thématique spécifique, il sera attendu des groupes qu’ils parviennent à appréhender l’écosystème, les acteurs et comparer les techniques des acteurs. Pour ce faire, les groupes devront rencontrer les acteurs de terrain.
Des praticien·nes de la communication d’intérêt général pourront par ailleurs être invité.es lors de certaines séances pour donner la possibilité aux étudiant.es de travailler à partir de retours d’expérience riches et spécifiques.
Les connaissances de base relatives au fonctionnement démocratique et au système politique belge sont supposées maîtrisées au début du cours. A titre d’exemple : différences entre pouvoir exécutif, législatif et judiciaire, notions de majorité/opposition, rôle et identification des partis politiques belges, structure fédérale belge, … Si ces notions ne sont pas maîtrisées, les étudiants sont invités à mettre à jour leurs connaissances AVANT le début du cours à l’aide de la bibliographie indicative ci-dessous.
Le cours suppose une connaissance de l’actualité ; il est demandé aux étudiant·es de faire un suivi continu de l’actualité au regard notamment des questions et enjeux de communication qu’elle pose. Des moments d’interaction à ce sujet seront prévus à chaque séance.
Le cours est structuré en deux parties distinctes mais qui ne sont bien sûr pas sans lien.
La première consiste à fournir et discuter des concepts théoriques en capacité d’aider à l’analyse de la communication d’intérêt général, des acteurs impliqués et des publics à qui elle cherche à s’adresser.
La seconde consiste à faire travailler les étudiant·es en groupe, à partir des concepts vus dans la première partie, sur des exemples concrets qu’ils/elles devront analyser : à partir du choix d’une thématique spécifique, il sera attendu des groupes qu’ils parviennent à appréhender l’écosystème, les acteurs et comparer les techniques des acteurs. Pour ce faire, les groupes devront rencontrer les acteurs de terrain.
Des praticien·nes de la communication d’intérêt général pourront par ailleurs être invité.es lors de certaines séances pour donner la possibilité aux étudiant.es de travailler à partir de retours d’expérience riches et spécifiques.
Les connaissances de base relatives au fonctionnement démocratique et au système politique belge sont supposées maîtrisées au début du cours. A titre d’exemple : différences entre pouvoir exécutif, législatif et judiciaire, notions de majorité/opposition, rôle et identification des partis politiques belges, structure fédérale belge, … Si ces notions ne sont pas maîtrisées, les étudiants sont invités à mettre à jour leurs connaissances AVANT le début du cours à l’aide de la bibliographie indicative ci-dessous.
Le cours suppose une connaissance de l’actualité ; il est demandé aux étudiant·es de faire un suivi continu de l’actualité au regard notamment des questions et enjeux de communication qu’elle pose. Des moments d’interaction à ce sujet seront prévus à chaque séance.
Modes d'évaluation
des acquis des étudiants
des acquis des étudiants
PREMIÈRE SESSION
Chaque partie de cours est évaluée séparément : chacune compte pour 50% de la note.
Première partie (cadrage des enjeux, acteurs et notions/concepts clés) - enseignante Sandrine Roginsky :
L’évaluation porte sur la maîtrise des concepts et notions vus en cours et sur la capacité de les mobiliser pour l’analyse. Deux modalités d’évaluation sont ici prévues : (1) Travail en groupe de restitution orale d’articles scientifiques et animation d’une discussion en classe (45% de note de la partie cadrage) ; (2) Travail individuel de restitution de la matière vue en cours à rendre avant le début de la deuxième partie du cours (50% de la note de la partie cadrage) ; (3) La participation individuelle est prise en compte (5% de la note de la partie cadrage)
Deuxième partie (approche empirique à partir d’études de cas spécifiques) - enseignante Emily Hoyos:
L’évaluation porte sur la capacité de mobilisation des éléments conceptuels vus en première partie pour appréhender des situations concrètes de communication. Les étudiant·es travaillent en groupe et produisent un document écrit final qui restitue le travail d’analyse d’un écosystème spécifique (en fonction de la thématique choisie) et de la communication produite dans cet écosystème. L’évaluation porte tout autant sur le document final produit et sur les étapes présentées lors des séances en cours pour parvenir à le produire.
DEUXIÈME SESSION
Il n’est pas possible de reprendre les travaux menés en groupe.
Partie 1 (enseignante Sandrine Roginsky) : Le travail en groupe de la première partie ne peut pas être repris. Il est seulement possible de reprendre la note relative au travail individuel. Un examen oral de restitution de la matière est prévu à cet effet.
Partie 2 (enseignante Emily Hoyos) : Une nouvelle question de recherche fait l'objet d'un nouveau travail. Le sujet est communiqué début juillet. Ce travail vaut 50% de la note.
Chaque partie de cours est évaluée séparément : chacune compte pour 50% de la note.
Première partie (cadrage des enjeux, acteurs et notions/concepts clés) - enseignante Sandrine Roginsky :
L’évaluation porte sur la maîtrise des concepts et notions vus en cours et sur la capacité de les mobiliser pour l’analyse. Deux modalités d’évaluation sont ici prévues : (1) Travail en groupe de restitution orale d’articles scientifiques et animation d’une discussion en classe (45% de note de la partie cadrage) ; (2) Travail individuel de restitution de la matière vue en cours à rendre avant le début de la deuxième partie du cours (50% de la note de la partie cadrage) ; (3) La participation individuelle est prise en compte (5% de la note de la partie cadrage)
Deuxième partie (approche empirique à partir d’études de cas spécifiques) - enseignante Emily Hoyos:
L’évaluation porte sur la capacité de mobilisation des éléments conceptuels vus en première partie pour appréhender des situations concrètes de communication. Les étudiant·es travaillent en groupe et produisent un document écrit final qui restitue le travail d’analyse d’un écosystème spécifique (en fonction de la thématique choisie) et de la communication produite dans cet écosystème. L’évaluation porte tout autant sur le document final produit et sur les étapes présentées lors des séances en cours pour parvenir à le produire.
DEUXIÈME SESSION
Il n’est pas possible de reprendre les travaux menés en groupe.
Partie 1 (enseignante Sandrine Roginsky) : Le travail en groupe de la première partie ne peut pas être repris. Il est seulement possible de reprendre la note relative au travail individuel. Un examen oral de restitution de la matière est prévu à cet effet.
Partie 2 (enseignante Emily Hoyos) : Une nouvelle question de recherche fait l'objet d'un nouveau travail. Le sujet est communiqué début juillet. Ce travail vaut 50% de la note.
Autres infos
La présence aux cours est obligatoire.
Bibliographie
Bibliographie indicative
Aldrin, P. et Hubé, N. (2017) Introduction à la communication politique. Editions De Boeck.
Aldrin, P., Hubé, N., Ollivier-Yaniv, C. Utard JM. (2014) Les mondes de la communication publique: légitimation et fabrique symbolique du politique. Presses Universitaires de Rennes
Davis, Aeeron. (2007).The Mediation of Power : A critical introduction. London/New York : Routledge.
Aldrin, P. et Hubé, N. (2017) Introduction à la communication politique. Editions De Boeck.
Aldrin, P., Hubé, N., Ollivier-Yaniv, C. Utard JM. (2014) Les mondes de la communication publique: légitimation et fabrique symbolique du politique. Presses Universitaires de Rennes
Davis, Aeeron. (2007).The Mediation of Power : A critical introduction. London/New York : Routledge.
Faculté ou entité
en charge
en charge
COMU
