3.00 crédits
30.0 h
Q2
Enseignants
Carboni Gregorio;
Langue
d'enseignement
d'enseignement
Français
Thèmes abordés
- Retour analytique aiguisé vers des architectures récentes
- Mise en évidence et mise à l'épreuve de l'ordonnancement et la matérialité, à la rencontre de propositions conceptuelles visant les dispositifs architecturaux
- Positionnement du contemporain à l'égard de la tradition classique, des postures modernes et post-modernes
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
A la fin de cette unité d’enseignement, l’étudiant est capable de : | |
1 |
L'unité d'enseignement d'histoire de l'architecture a pour objectif la constitution d'un bagage référentiel. Elle se refuse toutefois à traiter l'histoire seulement comme un réservoir d'exemples, mais tente d'analyser « historiquement », c'est-à-dire de resituer dans leurs contextes ces exemples pour mieux en approcher le sens profond. L'objectif principal de l'UE est d'interroger et de (tenter de) comprendre l'architecture, en tant que phénomène complexe, de nature à la fois intellectuelle, physique, sociale, et sa signification, et ce par le biais d'une approche qui se veut rigoureusement historique. AA spécifiques : A l'issue de cet enseignement, l'étudiant sera capable
Se constituer une culture architecturale
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Contenu
A l'issue du cursus suivi pendant les trois années de bachelier, l'unité LBARC2140 renversera le point de vue en prenant comme abscisse de départ la situation actuelle et le monde d'aujourd'hui. Le cours portera donc sur l'histoire de l'architecture contemporaine. Au sens strict, cet adjectif désigne ce que les historiens appellent l'époque contemporaine, c'est-à-dire celle qu'ils ont commencée avec la Révolution industrielle et française. Mais, afin d'éviter toute ambiguïté, on parlera notamment de la période allant de 1970 à nos jours (2021). Un regard critique sur « l'architecture d'aujourd'hui » qui ne peut se faire qu'en élargissant l'horizon afin de le restituer dans un contexte, le plus large possible, non seulement intellectuel et artistique, mais aussi social, politique, économique, etc. Le cours entendra l'appréhender dans sa dimension historique et adopter, pour ce faire, une approche socio-historienne, avec toutes les difficultés inhérentes à ce genre d'exercice, si l'on agit à partir du passé le plus récent.
Le cours aura pour objectif de fournir à l'étudiant·e une formation critique sur les événements essentiels de l'histoire de l'architecture et de l'urbanisme des dernières décennies du XXe siècle et des 20 premières années du XXIe. En particulier, le cours visera à fournir les rudiments d'une méthodologie d'approche historique correcte, en se concentrant sur les relations existantes entre projet et histoire ainsi qu'entre architecture et ville. Le cours sera divisé en parties générales et monographiques, sans que cette division soit binaire et par compartiments étanches. Dans la partie initiale, quelques thèmes généraux d'introduction seront rapidement développés avec une référence à la crise du code classiciste, à la formation et à la diffusion d'autres langages à l'époque contemporaine : les notions de renouveau, d'éclectisme, d'architecture moderne, tels qu'ils sont discutés au cours des XIXe et XXe siècles, et plus spécifiquement dans la période 1980-2020. Fait inhabituel pour un cours d'histoire de l'architecture contemporaine, la question du patrimoine historico-architectural sera également mise au premier plan : dans sa grande cohérence, il constitue un élément de base destiné à conditionner la discussion autour du sort de l'architecture et des villes internationales. En ce sens, une référence rapide sera faite aux théories néo-médiévales de Boito au débat sur les préexistences environnementales de Charles Buls, en passant par les théories de Giovannoni. En effet, de 1880 à 1960, un cheminement commun a eu lieu ayant conduit à un autre regard sur le patrimoine bâti. En termes de dimension urbaine, la notion de monument architectural a été traduite dans les concepts d'environnement artistique et, plus tard, de centre historique. Celles-ci, à leur tour, représentaient les fondements d'une doctrine de la conservation qui interférait avec les perspectives de transformation de la ville européenne (notamment en Italie) précisément au moment où elle exprimait avec une extrême vigueur le besoin de modernisation.
Certains moments cruciaux de l'histoire de l'architecture contemporaine seront ensuite identifiés et approfondis. Les thèmes choisis suivront largement l'arrangement chronologique fourni par l'historiographie architecturale consolidée, mais d'autres détails et ajouts aux événements et épisodes individuels seront mobilisés. Le cours abordera les questions concernant l'architecture contemporaine à l'échelle mondiale, des États-Unis d'Amérique au Japon, en passant par l'Europe et le soi-disant « tiers-monde » (relations, influences…) dans un cadre internationaliste, non euro-centrique et d’approche inclusive. Nous nous concentrerons sur la période qui suivra la première Biennale d'architecture de Venise en 1980 : de nombreux projets, quelques cas belges et internationaux significatifs et leur contexte historique seront présentés, examinés et discutés. Un échange, en somme, sur les moments les plus marquants de l'œuvre des grands architectes des années 1980, 1990, 2000, 2010, en référence à l'historiographie la plus récente qui a ouvert de nouvelles perspectives sur des œuvres et des périodes moins connues.
Le cours couvrira également :
1) Idées et mouvements artistiques avec lesquels les architectes sont entrés en contact à travers des publications, des spectacles, des voyages et leurs influences sur la conception architecturale.
2) Idées que les architectes transmettent à la culture architecturale internationale et, en outre, la manifestation autonome de formes architecturales dans d'autres lieux avec un processus fructueux d'assonance et de diffusion.
En ce sens, une partie du cours sera consacrée aux influences italiennes sur les contextes internationaux depuis la fin des années 1970. Voyages d'architectes et de théoriciens, séjours entre l'Europe et les Amériques, mettant en évidence non seulement les références formelles, mais aussi les correspondances les plus importantes dans la poétique architecturale des figures pertinentes de la Tendenza. Plus généralement, le débat critique, la pensée et le travail des architectes héritiers de la première modernité (Aldo Andreani, Ignazio Gardella, Raffaello Giolli, Edoardo Persico, Ernesto Nathan Rogers, Antonio Sant'Elia, Carlo Scarpa, Frank Lloyd Wright, Bruno Zevi, etc.) seront également évoqués. Certaines villes, dont Milan et Venise, feront l'objet d'études spécifiques : d'une part Milan, la « ville du boom économique » par excellence, d'autre part la ville peut-être plus liée à sa spécificité historico-environnementale, constituera deux cas extrêmes à réfléchir autour du thème de la confrontation/choc entre modernité et tradition.
Le cours aura pour objectif de fournir à l'étudiant·e une formation critique sur les événements essentiels de l'histoire de l'architecture et de l'urbanisme des dernières décennies du XXe siècle et des 20 premières années du XXIe. En particulier, le cours visera à fournir les rudiments d'une méthodologie d'approche historique correcte, en se concentrant sur les relations existantes entre projet et histoire ainsi qu'entre architecture et ville. Le cours sera divisé en parties générales et monographiques, sans que cette division soit binaire et par compartiments étanches. Dans la partie initiale, quelques thèmes généraux d'introduction seront rapidement développés avec une référence à la crise du code classiciste, à la formation et à la diffusion d'autres langages à l'époque contemporaine : les notions de renouveau, d'éclectisme, d'architecture moderne, tels qu'ils sont discutés au cours des XIXe et XXe siècles, et plus spécifiquement dans la période 1980-2020. Fait inhabituel pour un cours d'histoire de l'architecture contemporaine, la question du patrimoine historico-architectural sera également mise au premier plan : dans sa grande cohérence, il constitue un élément de base destiné à conditionner la discussion autour du sort de l'architecture et des villes internationales. En ce sens, une référence rapide sera faite aux théories néo-médiévales de Boito au débat sur les préexistences environnementales de Charles Buls, en passant par les théories de Giovannoni. En effet, de 1880 à 1960, un cheminement commun a eu lieu ayant conduit à un autre regard sur le patrimoine bâti. En termes de dimension urbaine, la notion de monument architectural a été traduite dans les concepts d'environnement artistique et, plus tard, de centre historique. Celles-ci, à leur tour, représentaient les fondements d'une doctrine de la conservation qui interférait avec les perspectives de transformation de la ville européenne (notamment en Italie) précisément au moment où elle exprimait avec une extrême vigueur le besoin de modernisation.
Certains moments cruciaux de l'histoire de l'architecture contemporaine seront ensuite identifiés et approfondis. Les thèmes choisis suivront largement l'arrangement chronologique fourni par l'historiographie architecturale consolidée, mais d'autres détails et ajouts aux événements et épisodes individuels seront mobilisés. Le cours abordera les questions concernant l'architecture contemporaine à l'échelle mondiale, des États-Unis d'Amérique au Japon, en passant par l'Europe et le soi-disant « tiers-monde » (relations, influences…) dans un cadre internationaliste, non euro-centrique et d’approche inclusive. Nous nous concentrerons sur la période qui suivra la première Biennale d'architecture de Venise en 1980 : de nombreux projets, quelques cas belges et internationaux significatifs et leur contexte historique seront présentés, examinés et discutés. Un échange, en somme, sur les moments les plus marquants de l'œuvre des grands architectes des années 1980, 1990, 2000, 2010, en référence à l'historiographie la plus récente qui a ouvert de nouvelles perspectives sur des œuvres et des périodes moins connues.
Le cours couvrira également :
1) Idées et mouvements artistiques avec lesquels les architectes sont entrés en contact à travers des publications, des spectacles, des voyages et leurs influences sur la conception architecturale.
2) Idées que les architectes transmettent à la culture architecturale internationale et, en outre, la manifestation autonome de formes architecturales dans d'autres lieux avec un processus fructueux d'assonance et de diffusion.
En ce sens, une partie du cours sera consacrée aux influences italiennes sur les contextes internationaux depuis la fin des années 1970. Voyages d'architectes et de théoriciens, séjours entre l'Europe et les Amériques, mettant en évidence non seulement les références formelles, mais aussi les correspondances les plus importantes dans la poétique architecturale des figures pertinentes de la Tendenza. Plus généralement, le débat critique, la pensée et le travail des architectes héritiers de la première modernité (Aldo Andreani, Ignazio Gardella, Raffaello Giolli, Edoardo Persico, Ernesto Nathan Rogers, Antonio Sant'Elia, Carlo Scarpa, Frank Lloyd Wright, Bruno Zevi, etc.) seront également évoqués. Certaines villes, dont Milan et Venise, feront l'objet d'études spécifiques : d'une part Milan, la « ville du boom économique » par excellence, d'autre part la ville peut-être plus liée à sa spécificité historico-environnementale, constituera deux cas extrêmes à réfléchir autour du thème de la confrontation/choc entre modernité et tradition.
Méthodes d'enseignement
Le cours se déroulera principalement sous forme de séminaires ex cathedra. Parallèlement, des conférences et des séminaires pourront être proposés avec la participation d'invités extérieurs. Des visites guidées d'architecture et d'expositions pourront être prévues en fonction de l'évolution des conditions sanitaires générales.
En cas d’évolution des conditions sanitaires vers un code orange ou rouge, les cours auront peut être lieu en distanciel (en fonction du code couleur) via un logiciel informatique fourni par l’institution universitaire. Les conditions techniques de ces cours à distance vous seront précisées au moment où les autorités de l’Etat auront arrêté les conditions sanitaires pour les institutions universitaires en fonction de l’évolution
En cas d’évolution des conditions sanitaires vers un code orange ou rouge, les cours auront peut être lieu en distanciel (en fonction du code couleur) via un logiciel informatique fourni par l’institution universitaire. Les conditions techniques de ces cours à distance vous seront précisées au moment où les autorités de l’Etat auront arrêté les conditions sanitaires pour les institutions universitaires en fonction de l’évolution
Modes d'évaluation
des acquis des étudiants
des acquis des étudiants
La participation active de l'étudiant au cours (questions, observations, etc.) est fortement recommandée. Les étudiant·e·s seront invité·e·s à approfondir un thème avec leur propre itinéraire bibliographique sous forme d'un travail écrit à remettre individuellement à la fin du quadrimestre ou en deuxième session. Le travail de recherche pourra être réalisé en collaboration avec d’autres élèves : dans ce cas, il faudra clairement citer avec qui la recherche a été menée. La liste de thèmes est libre, à condition qu’il s’agisse bien d’une question d’histoire, de problématiques actuelles et d’architecture (laps temporel 1980-2020).
Ne seront pas acceptées des questions trop « prétentieuses » ou génériques et les étudiant·e·s devront recevoir mon approbation avant de commencer l’écriture. Toute question d’ordre économique, sociétale, écologique, etc., devra contribuer à une description analytique et critique du domaine architectonique (le projet, le bâti, l’espace, l’urbain, etc.). Un domaine, donc, central, et non périphérique. Des travaux sous forme d’articles répondant à des appels à contribution ou des « états de l’art » bibliographiques sur une question précise seront très bienvenus. Tout travail s’encadrant dans un TFE en cours d’écriture sera accepté, à condition qu’il respecte les consignes précédemment citées.
Pour rappel, l'histoire est la connaissance et récit des évènements du passé jugés dignes de mémoire ; de faits relatés, une science humaine et une méthode permettant d'acquérir et de transmettre la connaissance du passé. Dans le cadre de ce cours, nous ne travaillons pas sur l'histoire ancienne, ni l’histoire du Moyen Âge, ni l’histoire des temps modernes, mais de l’histoire contemporaine. Et, plus spécifiquement de l’histoire de l'architecture de la période 1980 à 2020. Le travail pouvant toucher à la « petite histoire » (les anecdotes qui se rattachent à une période historique) ; à la « grande histoire » (les grands évènements) ou de l’historiographie (l’histoire de l’évolution de l’étude historique…) etc.
La suite des évènements qu'étudie l'histoire est dans le passé. Ce qui se passe aujourd'hui, qui est en cours, la chronique et l'actualité n’est pas (encore) de l'histoire. L'histoire est, par ailleurs, la partie du passé de l'humanité connue par des documents écrits (par opposition à préhistoire). C'est une connaissance reposant sur l'observation et la description des faits (et non pas l'imagination). Il faudra donc que le travail traite de sujets, thèmes et références post-1980 (donc, concernant la période historique 1980-2020). Il ne devra pas y avoir de répétitions thématiques entre les différents travaux.
Je rappelle en outre la définition que donne le Larousse du mot « architecture » : 1. Art de construire les bâtiments. 2. Caractère, ordonnance, style d'une construction : « Monument d'une belle architecture ». Synonyme : ordonnance. En ce sens, l'architecture devra être l’élément central des travaux écrits. Avec comme fondements analytiques indispensables le bâtiment ; la construction de murs délimitant l'espace sur un territoire donné. Des plans et des dessins devront appuyer ces mêmes textes historiques.
Le Larousse nous donne aussi une autre définition du mot « architecture » : Ce qui constitue l'ossature, les éléments essentiels d'une œuvre ; structure : « L'architecture d'un roman ». En ce sens, le travail devra aussi avoir son architecture : un texte bien écrit, élégant, didactique, simple, compréhensible, scientifiquement sérieux et agréable à la lecture. Des idées, des thèses et des hypothèses structurées avec ordre. Et, ce, grâce aux sources, les documents de l'histoire, les annales, archives, chroniques…
Si le sujet d’un travail a déjà été traité (par un doctorat, mémoire, article, documentaire, livre...), son intérêt scientifique saura moindre. Il ne s’agira pas de faire de faire un petit résumé scolaire. Mais il ne faut pas, non plus, qu’un travail soit absolument original à tout prix, où qu’il contienne des matériaux d'archives inconnus. Une comparaison critique entre des choses déjà étudiées, mais dont l’étude comparée soit originale, sera aussi une bonne contribution...
Les étudiant·e·s qui le voudront, pourront soumettre (au moins un mois avant la date de rendu) une description préliminaire du thème et de la méthodologie abordée : 1 à 2 pages, dactylographiées et une bibliographie (500 à 750 mots). Ce document vaudra pour 10% de la notation finale. Le document final sera une recherche de 16.180 signes, espaces inclus, maximum et hors bibliographie à remettre en .doc, avec une mise en page .pdf pour y annexer images et graphiques. Il n'y a pas de minimum : une seule page serait acceptée. Ce travail comptera pour 90% de la note finale. Le PDF avec images et plans, pour comprendre plus clairement ce qui est expliqué dans le texte, sera très bienvenu, mais pas obligatoire. Pour chaque travail, en Word, l’entête de page devra contenir le code du cours LBARC2140-20…, le NOM, la date du rendu, et le nombre de pages et de signes.
Tous les articles devront être rédigés avec les critères d’écriture universitaire et comporter du matériel primaire et secondaire (ou, par exemple, des interviews). Comme toutes les tâches écrites de niveau universitaire, ces petits essais devront être complétés de manière indépendante, clairement écrits, relus, dactylographiés (Bodoni, grandeur 12, double interligne) et utiliser des méthodes de citation/notes appropriées (APA, idéalement dans le texte). L'étudiant·e devra démontrer la capacité d'élaborer une recherche, et tout travail fruit d'une simple recherche Google ou Wikipédia sera refusée.
Chaque propos écrit, chaque phrase, mis à part les choses communément acceptées telles que « la terre est ronde », devront être prouvées par une note référencée permettant à tout futur chercheur de continuer ses éventuelles recherches. Mettre une note générique sans page ne sert à rien : aucun chercheur se mettra à relire tout un livre dans l'espoir de retrouver une information spécifique. La page ou tout autre élément indiquant où une information a été tirée est donc fondamental.
Le travail devra être bien mené, approfondi (ce n’est pas une ébauche d’analyse). Il ne s’agira pas d’un paper didactique ou compilateur, ni de se concentrer trop sur des exemples individuels au détriment d'une discussion plus organique et large. Mais, plutôt, d’un travail articulé et argumenté, avec une orientation historico-sociologique, contribuant à exprimer implicitement une opinion. La conclusion ne devra ni être allusive, ni superficielle, répondant à l’ensemble du développement du propos des pages précédentes. Surtout, elle devra se référer au domaine architectural. Les essais qui ne répondent pas aux exigences ci-dessus ne seront pas pris en considération ou devront être réécrits.
La réponse « à côté » ou « non développée » d’un sujet abordé ; un texte confus, superficiel ou désordonné ; des citations incohérentes ; des oppositions dialectiques non résolues ; le bavardage inutile ; des parties de texte sans intérêt pour le développement du thème ; des insuffisances du point de vue des connaissances historiographiques ou de l’expression linguistique ; des questions soulevées n’ayant pas de réponses ; les réflexions et raccourcis personnels et approximatifs ; le manque de développement et d’analyse autre que de la restitution « wikipédienne » d’éléments sans relation ou tout travail donnant l'impression de ne pas avoir été révisé… mènera à un échec.
L’élève sera particulièrement invité à éviter les phrases toutes faites ou de langage courant. Un thème choisi n’est pas forcément un thème dont il faille faire forcément l’apologie. On n'étudie pas une chose que parce que on l'aime. Un travail est utile s’il permet un avancement (même minime) dans la compréhension d’un aspect (même minime) sur un domaine précis. Un écrit, par exemple, sur « l’architecture à Copenhague de 1980 à 1989 » dont la seule contribution est une apologie acritique et non distancée, digne d’un texte de l’office du tourisme danois, avec clichés et généralisations sur la « sensibilité des danois aux thèmes écologiques » n’a pas lieu d’être à l’université. Une étude scientifique n'est pas une célébration ni une réparation.
Étant donné l’absence d’un examen sur la matière du cours, je m’attends à ce que l’étudiant·e consacre un temps cohérent à ce travail, arrivant à un ensemble de pages organisées et cohérentes, avec une expression écrite de niveau Master. Plagiat : malheureusement, j’ai eu plusieurs cas de plagiat au cours des dernières années. Ce n'est pas seulement inacceptable, mais aussi un motif d’échec (Cf. chapitre 4 section 7 du RGEE 2020-21). Si vous avez des questions sur ce qui constitue un plagiat, veuillez me consulter.
Note : ce cours nécessite des compétences considérables en lecture et en écriture. La maîtrise du français, et si possible de l’anglais et italien, est essentielle. Les étudiants dont les compétences en français et anglais sont faibles sont fortement encouragés à venir me parler. Cette unité d'enseignement étant donnée sous forme de séminaires, la présence et la participation active des étudiants est requise. Au-delà de deux absences non justifiées, l'étudiant se verra refuser la correction du travail écrit, selon les modalités prévues à l'art. 72 du RGEE 2020-2021. À la fin du travail je demanderai une auto-évaluation générale (de 0 à 20) sur la participation à mon cours et sur le travail écrit.
Une évaluation sur la perspective de développement d'apprentissage, d’autonomie, de compétences ; sur les pratiques réflexives ; les performances acquises. Un chiffre qui corresponde, donc, à un niveau d'amélioration en termes de formation générale, de pensée réflexive autonome et critique par rapport à l'histoire de l'architecture contemporaine après avoir suivi ce cours. Cette note me servira pour comprendre quelle est la disparité entre ma cotation et celle de l’étudiant·e.
Je vais être disponible, à tout moment, pour les étudiant·e·s nécessitant discuter le thème, l’avancement ou de toute difficulté liée au travail écrit. Une alternative pour ceux et celles ne se sentant pas en condition de réaliser un travail écrit original, sera une transcription critique d’un ou plusieurs cours données pendant le quadrimestre. L’étudiant·e devra intégrer, à cette transcription, des notes et une bibliographie, comme si le cours avait été écrit par l’étudiant·e. Le texte ne devra pas ressembler à une transcription, mais à un texte académique nouvellement écrit. L’écriture pourra intégrer une deuxième partie avec des critiques ou observations sur des aspects du cours dont l’étudiant·e ne serait pas concorde. Il n'y aura pas de limites de signes pour cette solution.
Ne seront pas acceptées des questions trop « prétentieuses » ou génériques et les étudiant·e·s devront recevoir mon approbation avant de commencer l’écriture. Toute question d’ordre économique, sociétale, écologique, etc., devra contribuer à une description analytique et critique du domaine architectonique (le projet, le bâti, l’espace, l’urbain, etc.). Un domaine, donc, central, et non périphérique. Des travaux sous forme d’articles répondant à des appels à contribution ou des « états de l’art » bibliographiques sur une question précise seront très bienvenus. Tout travail s’encadrant dans un TFE en cours d’écriture sera accepté, à condition qu’il respecte les consignes précédemment citées.
Pour rappel, l'histoire est la connaissance et récit des évènements du passé jugés dignes de mémoire ; de faits relatés, une science humaine et une méthode permettant d'acquérir et de transmettre la connaissance du passé. Dans le cadre de ce cours, nous ne travaillons pas sur l'histoire ancienne, ni l’histoire du Moyen Âge, ni l’histoire des temps modernes, mais de l’histoire contemporaine. Et, plus spécifiquement de l’histoire de l'architecture de la période 1980 à 2020. Le travail pouvant toucher à la « petite histoire » (les anecdotes qui se rattachent à une période historique) ; à la « grande histoire » (les grands évènements) ou de l’historiographie (l’histoire de l’évolution de l’étude historique…) etc.
La suite des évènements qu'étudie l'histoire est dans le passé. Ce qui se passe aujourd'hui, qui est en cours, la chronique et l'actualité n’est pas (encore) de l'histoire. L'histoire est, par ailleurs, la partie du passé de l'humanité connue par des documents écrits (par opposition à préhistoire). C'est une connaissance reposant sur l'observation et la description des faits (et non pas l'imagination). Il faudra donc que le travail traite de sujets, thèmes et références post-1980 (donc, concernant la période historique 1980-2020). Il ne devra pas y avoir de répétitions thématiques entre les différents travaux.
Je rappelle en outre la définition que donne le Larousse du mot « architecture » : 1. Art de construire les bâtiments. 2. Caractère, ordonnance, style d'une construction : « Monument d'une belle architecture ». Synonyme : ordonnance. En ce sens, l'architecture devra être l’élément central des travaux écrits. Avec comme fondements analytiques indispensables le bâtiment ; la construction de murs délimitant l'espace sur un territoire donné. Des plans et des dessins devront appuyer ces mêmes textes historiques.
Le Larousse nous donne aussi une autre définition du mot « architecture » : Ce qui constitue l'ossature, les éléments essentiels d'une œuvre ; structure : « L'architecture d'un roman ». En ce sens, le travail devra aussi avoir son architecture : un texte bien écrit, élégant, didactique, simple, compréhensible, scientifiquement sérieux et agréable à la lecture. Des idées, des thèses et des hypothèses structurées avec ordre. Et, ce, grâce aux sources, les documents de l'histoire, les annales, archives, chroniques…
Si le sujet d’un travail a déjà été traité (par un doctorat, mémoire, article, documentaire, livre...), son intérêt scientifique saura moindre. Il ne s’agira pas de faire de faire un petit résumé scolaire. Mais il ne faut pas, non plus, qu’un travail soit absolument original à tout prix, où qu’il contienne des matériaux d'archives inconnus. Une comparaison critique entre des choses déjà étudiées, mais dont l’étude comparée soit originale, sera aussi une bonne contribution...
Les étudiant·e·s qui le voudront, pourront soumettre (au moins un mois avant la date de rendu) une description préliminaire du thème et de la méthodologie abordée : 1 à 2 pages, dactylographiées et une bibliographie (500 à 750 mots). Ce document vaudra pour 10% de la notation finale. Le document final sera une recherche de 16.180 signes, espaces inclus, maximum et hors bibliographie à remettre en .doc, avec une mise en page .pdf pour y annexer images et graphiques. Il n'y a pas de minimum : une seule page serait acceptée. Ce travail comptera pour 90% de la note finale. Le PDF avec images et plans, pour comprendre plus clairement ce qui est expliqué dans le texte, sera très bienvenu, mais pas obligatoire. Pour chaque travail, en Word, l’entête de page devra contenir le code du cours LBARC2140-20…, le NOM, la date du rendu, et le nombre de pages et de signes.
Tous les articles devront être rédigés avec les critères d’écriture universitaire et comporter du matériel primaire et secondaire (ou, par exemple, des interviews). Comme toutes les tâches écrites de niveau universitaire, ces petits essais devront être complétés de manière indépendante, clairement écrits, relus, dactylographiés (Bodoni, grandeur 12, double interligne) et utiliser des méthodes de citation/notes appropriées (APA, idéalement dans le texte). L'étudiant·e devra démontrer la capacité d'élaborer une recherche, et tout travail fruit d'une simple recherche Google ou Wikipédia sera refusée.
Chaque propos écrit, chaque phrase, mis à part les choses communément acceptées telles que « la terre est ronde », devront être prouvées par une note référencée permettant à tout futur chercheur de continuer ses éventuelles recherches. Mettre une note générique sans page ne sert à rien : aucun chercheur se mettra à relire tout un livre dans l'espoir de retrouver une information spécifique. La page ou tout autre élément indiquant où une information a été tirée est donc fondamental.
Le travail devra être bien mené, approfondi (ce n’est pas une ébauche d’analyse). Il ne s’agira pas d’un paper didactique ou compilateur, ni de se concentrer trop sur des exemples individuels au détriment d'une discussion plus organique et large. Mais, plutôt, d’un travail articulé et argumenté, avec une orientation historico-sociologique, contribuant à exprimer implicitement une opinion. La conclusion ne devra ni être allusive, ni superficielle, répondant à l’ensemble du développement du propos des pages précédentes. Surtout, elle devra se référer au domaine architectural. Les essais qui ne répondent pas aux exigences ci-dessus ne seront pas pris en considération ou devront être réécrits.
La réponse « à côté » ou « non développée » d’un sujet abordé ; un texte confus, superficiel ou désordonné ; des citations incohérentes ; des oppositions dialectiques non résolues ; le bavardage inutile ; des parties de texte sans intérêt pour le développement du thème ; des insuffisances du point de vue des connaissances historiographiques ou de l’expression linguistique ; des questions soulevées n’ayant pas de réponses ; les réflexions et raccourcis personnels et approximatifs ; le manque de développement et d’analyse autre que de la restitution « wikipédienne » d’éléments sans relation ou tout travail donnant l'impression de ne pas avoir été révisé… mènera à un échec.
L’élève sera particulièrement invité à éviter les phrases toutes faites ou de langage courant. Un thème choisi n’est pas forcément un thème dont il faille faire forcément l’apologie. On n'étudie pas une chose que parce que on l'aime. Un travail est utile s’il permet un avancement (même minime) dans la compréhension d’un aspect (même minime) sur un domaine précis. Un écrit, par exemple, sur « l’architecture à Copenhague de 1980 à 1989 » dont la seule contribution est une apologie acritique et non distancée, digne d’un texte de l’office du tourisme danois, avec clichés et généralisations sur la « sensibilité des danois aux thèmes écologiques » n’a pas lieu d’être à l’université. Une étude scientifique n'est pas une célébration ni une réparation.
Étant donné l’absence d’un examen sur la matière du cours, je m’attends à ce que l’étudiant·e consacre un temps cohérent à ce travail, arrivant à un ensemble de pages organisées et cohérentes, avec une expression écrite de niveau Master. Plagiat : malheureusement, j’ai eu plusieurs cas de plagiat au cours des dernières années. Ce n'est pas seulement inacceptable, mais aussi un motif d’échec (Cf. chapitre 4 section 7 du RGEE 2020-21). Si vous avez des questions sur ce qui constitue un plagiat, veuillez me consulter.
Note : ce cours nécessite des compétences considérables en lecture et en écriture. La maîtrise du français, et si possible de l’anglais et italien, est essentielle. Les étudiants dont les compétences en français et anglais sont faibles sont fortement encouragés à venir me parler. Cette unité d'enseignement étant donnée sous forme de séminaires, la présence et la participation active des étudiants est requise. Au-delà de deux absences non justifiées, l'étudiant se verra refuser la correction du travail écrit, selon les modalités prévues à l'art. 72 du RGEE 2020-2021. À la fin du travail je demanderai une auto-évaluation générale (de 0 à 20) sur la participation à mon cours et sur le travail écrit.
Une évaluation sur la perspective de développement d'apprentissage, d’autonomie, de compétences ; sur les pratiques réflexives ; les performances acquises. Un chiffre qui corresponde, donc, à un niveau d'amélioration en termes de formation générale, de pensée réflexive autonome et critique par rapport à l'histoire de l'architecture contemporaine après avoir suivi ce cours. Cette note me servira pour comprendre quelle est la disparité entre ma cotation et celle de l’étudiant·e.
Je vais être disponible, à tout moment, pour les étudiant·e·s nécessitant discuter le thème, l’avancement ou de toute difficulté liée au travail écrit. Une alternative pour ceux et celles ne se sentant pas en condition de réaliser un travail écrit original, sera une transcription critique d’un ou plusieurs cours données pendant le quadrimestre. L’étudiant·e devra intégrer, à cette transcription, des notes et une bibliographie, comme si le cours avait été écrit par l’étudiant·e. Le texte ne devra pas ressembler à une transcription, mais à un texte académique nouvellement écrit. L’écriture pourra intégrer une deuxième partie avec des critiques ou observations sur des aspects du cours dont l’étudiant·e ne serait pas concorde. Il n'y aura pas de limites de signes pour cette solution.
Autres infos
Ce cours ne dispose pas de cylabus. Les notes prises pendant les cours, l'écoute et la participation aux cours ex-cathedra, et la lecture autonome de la bibliographie fournie seront la base de l'apprentissage personnel de chaque étudiant.
Bibliographie
Une bibliographie complémentaire de base est fournie au début du cours. Elle sera complétée au fur et à mesure de l'avancement des cours.
Adamson, G., Pavitt, J. (2011). Postmodernism: style and subversion, 1970 to 1990, Londres : Victoria and Albert Museum
Adriani, G., Lange, C., & Luckow, D. Baselitz. (2019) Richter, Polke, Kieffer: The Early Years of the Old Masters. Critique d’art, Catalogues collectifs.
Alexander, C. (1981). The Linz Cafe. Oxford: University Press.
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