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notamment celles qui concernent le mode d’enseignement (en présentiel, en distanciel ou sous un format comodal ou hybride).
7 crédits
22.5 h
Q1
Enseignants
Lecuppre Gilles; Mostaccio Silvia;
Langue
d'enseignement
d'enseignement
Français
Préalables
Le(s) prérequis de cette Unité d’enseignement (UE) sont précisés à la fin de cette fiche, en regard des programmes/formations qui proposent cette UE.
Thèmes abordés
Ce séminaire est conçu comme une préparation au séminaire de master correspondant. Au cours de séances de travail communes, chaque participant, sur base d'un travail personnel préalable, présente son analyse d'un aspect du thème retenu en veillant particulièrement aux aspects heuristiques et critiques. Les procédures et étapes de traitement, de même que la synthèse globale et les conclusions sont dégagées ensemble. Le séminaire intégrera, en lien étroit avec le thème retenu, une introduction au(x) genre(s) documentaire(s) étudié(s) et une initiation pratique à la lecture d'écritures anciennes.
Contenu
L'Amour à la Renaissance
Enseignant : Gilles Lecuppre
Assistant : Jules Dejonckheere
Dans l’imaginaire collectif, la Renaissance est sans doute associée à un certain épicurisme, voire à une célébration des plaisirs – une représentation notamment associée à la figure de François Ier, séducteur en série, et à celles de diverses « dames galantes ». On se souviendra par ailleurs que la poésie amoureuse est empreinte de renouveaux venus d’Italie (le pétrarquisme) et de l’Antiquité (le néo-platonisme).
Pourtant, loin de représenter une libération des corps et des mœurs, le long XVIe siècle se caractérise par une codification accrue de l’amour. En des temps de bouleversements religieux, le sexe est dissimulé, le statut de la femme déprécié, et le mariage tient de l’enfermement.
Le séminaire s’appuiera sur des sources de natures variées (traités théoriques, correspondances, récits de voyages, narrations, poésie, proverbes, iconographie, voire romans et films dédiés à cette période) pour tenter de résoudre ce paradoxe déconcertant.
Enseignant : Gilles Lecuppre
Assistant : Jules Dejonckheere
Dans l’imaginaire collectif, la Renaissance est sans doute associée à un certain épicurisme, voire à une célébration des plaisirs – une représentation notamment associée à la figure de François Ier, séducteur en série, et à celles de diverses « dames galantes ». On se souviendra par ailleurs que la poésie amoureuse est empreinte de renouveaux venus d’Italie (le pétrarquisme) et de l’Antiquité (le néo-platonisme).
Pourtant, loin de représenter une libération des corps et des mœurs, le long XVIe siècle se caractérise par une codification accrue de l’amour. En des temps de bouleversements religieux, le sexe est dissimulé, le statut de la femme déprécié, et le mariage tient de l’enfermement.
Le séminaire s’appuiera sur des sources de natures variées (traités théoriques, correspondances, récits de voyages, narrations, poésie, proverbes, iconographie, voire romans et films dédiés à cette période) pour tenter de résoudre ce paradoxe déconcertant.
Modes d'évaluation
des acquis des étudiants
des acquis des étudiants
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L'évaluation se répartira de la façon suivante :- Deux présentations orales (tour d'horizon du sujet et commentaire de source) pour un 1/3 de la note
- Opus final de 25 pages environ pour les 2/3 restants
Autres infos
Les projections powerpoint relatives aux séances de cours, ainsi que tous les documents analysés, mais aussi les conseils méthodologiques, seront disponibles via la plateforme Moodle sur le site du cours.
Faculté ou entité
en charge
en charge
HIST
