Note du 29 juin 2020
Sans connaitre encore le temps que dureront les mesures de distances sociales liées à la pandémie de Covid-19, et quels que soient les changements qui ont dû être opérés dans l’évaluation de la session de juin 2020 par rapport à ce que prévoit la présente fiche descriptive, de nouvelles modalités d’évaluation des unités d’enseignement peuvent encore être adoptées par l’enseignant ; des précisions sur ces modalités ont été -ou seront-communiquées par les enseignant·es aux étudiant·es dans les plus brefs délais.
Sans connaitre encore le temps que dureront les mesures de distances sociales liées à la pandémie de Covid-19, et quels que soient les changements qui ont dû être opérés dans l’évaluation de la session de juin 2020 par rapport à ce que prévoit la présente fiche descriptive, de nouvelles modalités d’évaluation des unités d’enseignement peuvent encore être adoptées par l’enseignant ; des précisions sur ces modalités ont été -ou seront-communiquées par les enseignant·es aux étudiant·es dans les plus brefs délais.
5 crédits
30.0 h
Q1
Enseignants
Legrand Vincent;
Langue
d'enseignement
d'enseignement
Français
Préalables
Le cours de Théorisation en sciences politiques s'appuie sur des cours de l'année préparatoire au Master 120 en sciences politiques HD, et plus particulièrement sur les cours de Sociologie (qui donne aux étudiants une vision des paradigmes des sciences sociales) et de Méthode de recherche en sciences sociales.
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
A la fin de cette unité d’enseignement, l’étudiant est capable de : | |
1 |
Ce cours poursuit deux objectifs sans cesse mêlés. Le premier est de présenter des éléments qui initient à la théorisation en sciences humaines et sociales en général, en sciences politiques en particulier. Au terme de cet enseignement, l'étudiant doit notamment être capable de : savoir ce qu'est une théorie, ce que signifie théoriser et théorisation ; savoir repérer la théorie, les concepts, ' et comprendre la façon dont des auteurs ont rendu leur matériau intelligible. Le deuxièmeobjectif est de présenter quelques grandes théories en montrant comment chacune conduit à interpréter les données disponibles d'une manière particulière qui fait apparaître des résultats différents de ceux que chacune des autres met en lumière. Cet objectif est poursuivi en analysant avec les étudiants quelques thèses de doctorat en sciences politiques récentes caractérisées par leur rigueur méthodologique et théorique. Au terme de l'enseignement, l'étudiant doit être capable de : présenter les grandes théories vues au cours ; avoir un propos critique sur la façon dont des politologues ont théorisé. |
La contribution de cette UE au développement et à la maîtrise des compétences et acquis du (des) programme(s) est accessible à la fin de cette fiche, dans la partie « Programmes/formations proposant cette unité d’enseignement (UE) ».
Méthodes d'enseignement
Afin de donner aux étudiants les bases nécessaires au travail de théorisation qui leur sera demandé lors de la rédaction de leur mémoire, l'enseignement allie enseignement magistral et enseignement participatif.
Modes d'évaluation
des acquis des étudiants
des acquis des étudiants
Les étudiants sont évalués sur la base :
- d'une présentation dans le cadre d’un travail de groupe (travail d'analyse de la manière dont un auteur a théorisé sa recherche) ;
- d'un examen oral.
Autres infos
Le cours de Théorisation en sciences politiques s'appuie sur des cours de l'année préparatoire au Master 120 en sciences politiques HD, et plus particulièrement sur les cours de Sociologie (qui donne aux étudiants une vision des paradigmes des sciences sociales) et de Méthode de recherche en sciences sociales.
Bibliographie
Akrich M., Callon M. & Latour B. (dir.) (2006), Sociologie de la traduction : Textes fondateurs. Paris : Presses des Mines, 2006. Nouvelle édition [en ligne] : <http://books.openedition.org/pressesmines/1181>.
Grignon C. (2008), « Des catégories aux hypothèses : la théorisation progressive », Revue européenne des sciences sociales, n°3, 55-73.
Hall P.A. & Taylor R.C.R. (1997), « La science politique et les trois néo-institutionnalismes », Revue française de sciences politiques, 47(3), 469-496.
Herman J. (1988), Les langages de la sociologie, Paris, PUF (Coll. « Que sais-je ? », n° 2076), 2ème éd.
Lecours A. (2002), « L'approche néo-institutionnaliste en science politique : unité ou diversité? », Politique et Sociétés, 21(3), 3-19.
Grignon C. (2008), « Des catégories aux hypothèses : la théorisation progressive », Revue européenne des sciences sociales, n°3, 55-73.
Hall P.A. & Taylor R.C.R. (1997), « La science politique et les trois néo-institutionnalismes », Revue française de sciences politiques, 47(3), 469-496.
Herman J. (1988), Les langages de la sociologie, Paris, PUF (Coll. « Que sais-je ? », n° 2076), 2ème éd.
Lecours A. (2002), « L'approche néo-institutionnaliste en science politique : unité ou diversité? », Politique et Sociétés, 21(3), 3-19.
Faculté ou entité
en charge
en charge
PSAD