6 crédits
30.0 h
Q2
Enseignants
Devresse Marie-Sophie; Kaminski Dan;
Langue
d'enseignement
d'enseignement
Français
Préalables
Le(s) prérequis de cette Unité d’enseignement (UE) sont précisés à la fin de cette fiche, en regard des programmes/formations qui proposent cette UE.
Thèmes abordés
Le cours comprend deux parties.
La première a pour objet une réflexion sur les rapports entre le droit, la déontologie et l'éthique. Quelles sont les normes qui traitent de l'agir du criminologue ? Quel est leur champ d'application ? Quelle est leur force obligatoire ? Dans quelle mesure leur application requiert-elle une démarche éthique de la part du criminologue ?
La seconde partie est plus précisément articulée autour des questions éthiques qui peuvent se poser au criminologue dans son agir.
D'un point de vue général, autour de quelle(s) conception(s) de l'homme le savoir criminologique s'est-il organisé ? Autour de quels projets de société le savoir et les pratiques criminologiques trouvent-elles leur justification éthique et sociale ?
D'un point de vue particulier, la pratique criminologique se trouve souvent confrontée à des choix difficiles : de nombreux dilemmes et paradoxes l'affectent (parmi lesquels, par exemple, la dualité des fonctions d'aide au sens large et des fonctions de contrôle). Directeurs de prison, agents de probation, équipes de guidance sur ordonnance ou de prestations philanthropiques, équipes de prévention, policiers, magistrats doivent en permanence se situer face à des exigences qui apparaissent souvent comme contradictoires ou trouver des réponses à des questions pour lesquelles aucune norme instituée ne peut servir d'outil. La réflexion éthique sera alors menée à partir de chacun des champs particuliers d'intervention.
La première a pour objet une réflexion sur les rapports entre le droit, la déontologie et l'éthique. Quelles sont les normes qui traitent de l'agir du criminologue ? Quel est leur champ d'application ? Quelle est leur force obligatoire ? Dans quelle mesure leur application requiert-elle une démarche éthique de la part du criminologue ?
La seconde partie est plus précisément articulée autour des questions éthiques qui peuvent se poser au criminologue dans son agir.
D'un point de vue général, autour de quelle(s) conception(s) de l'homme le savoir criminologique s'est-il organisé ? Autour de quels projets de société le savoir et les pratiques criminologiques trouvent-elles leur justification éthique et sociale ?
D'un point de vue particulier, la pratique criminologique se trouve souvent confrontée à des choix difficiles : de nombreux dilemmes et paradoxes l'affectent (parmi lesquels, par exemple, la dualité des fonctions d'aide au sens large et des fonctions de contrôle). Directeurs de prison, agents de probation, équipes de guidance sur ordonnance ou de prestations philanthropiques, équipes de prévention, policiers, magistrats doivent en permanence se situer face à des exigences qui apparaissent souvent comme contradictoires ou trouver des réponses à des questions pour lesquelles aucune norme instituée ne peut servir d'outil. La réflexion éthique sera alors menée à partir de chacun des champs particuliers d'intervention.
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
A la fin de cette unité d’enseignement, l’étudiant est capable de : | |
1 | L'objectif du cours est double. Au terme du cours, l'étudiant devra
|
La contribution de cette UE au développement et à la maîtrise des compétences et acquis du (des) programme(s) est accessible à la fin de cette fiche, dans la partie « Programmes/formations proposant cette unité d’enseignement (UE) ».
Contenu
La première partie du cours est consacrée aux aspects déontologiques des métiers criminologiques. La seconde envisage la dimension éthique de ces métiers. Divers secteurs d'intervention et divers enjeux seront rencontrés au moyen de lectures , de diffusion de films ou documentaires et de rencontres avec des invités experts et praticiens de ces secteurs.
Modes d'évaluation
des acquis des étudiants
des acquis des étudiants
Examen écrit
Faculté ou entité
en charge
en charge
ECRI