UCL/AC/ ADCP - Périodiques

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Le temps de l’improvisation [11 août 2004]

Le troisième portrait de notre série d’été concerne un membre de l’UCL dont les fonctions changeront pour le moins radicalement le 1er septembre. Un certain… Marcel Crochet. Les plus anciens se souviendront sans doute qu’au début des années 1970, Marcel Crochet lança, au cœur d’un site qui avait autant besoin de culture que de briques, les fameux «Concerts de midi de Louvain-la-Neuve». Cet attrait pour les partitions musicales présageait-il d’une autre partition que Marcel Crochet jouerait quelque vingt ans plus tard ?
Pour lui, en effet, la vie de recteur se divise en deux parties: une première moitié est consacrée à l’exécution d’une «partition institutionnelle» où tout est réglé, depuis les réunions ou les «obligations» en passant par les conseils. La deuxième moitié est centrée sur la mise en œuvre d’un programme d’année tel que le recteur le présente devant les conseils d’administration ou académique.
Après neuf années de «concert imposé», Marcel Crochet se réjouit de pouvoir faire de l’improvisation. «En septembre 2004, j’aurai une vie occupée, je serai actif, mais pour l’instant, je prépare, j’écoute et le moment venu, je choisirai avec mon épouse… » Un concert à quatre mains?
Après 38 années de présence à l’UCL, Marcel Crochet réaffirme son «énorme» attachement à l’institution. Il se dit impressionné par l’évolution de l’Université depuis les travaux du Groupe de Programmation Académique de 1969 jusqu’à la réforme de Bologne de 2004. Il voit dans la dernière cérémonie des docteurs honoris causa avec Marguerite Barankitse, Andrea Riccardi et Emile Shoufani un «temps fort» de l’Université où le sentiment d’appartenance trouvait tous ses «accords» et toute sa sonorité. Neuf années de rectorat, une «œuvre» d’une vie! (P.Ty)

 

 


Mise à jour : 16 septembre 2005 - Responsable : Pierre Escoyez - Contact : Jocelyne Polomé