La quantité ou la qualité ? Question existentielle s’il en est… Et si on disait la quantité ET la qualité ? Les deux sont parfaitement conciliables si l’on en croit les promoteurs (enthousiastes) d’une méthode d’analyse née à la fin des années 1980 et qui connaît aujourd’hui un véritable boom, l’analyse quali-quantitative comparée (AQQC pour les amateurs de sigles amusants). Cette méthode est tout particulièrement destinée aux recherches menées en sciences humaines à partir d’échantillons moyens d’objets d’étude (de 5 à 50 unités). Son concepteur, Charles C. Ragin, était à Louvain-la-Neuve le 16 septembre à l’invitation groupe Compasss (il y a bien trois "s"), groupe de recherche interuniversitaire (UCL-KUL-ULB-Université d’Anvers) récemment créé. A l’UCL, le Pr Benoit Rihoux, de l’Unité de science politique et de relations internationales (photo), a fait du développement de l’AQQC son cheval de bataille; il est prêt à partager sa passion avec tous ceux qui souhaitent en savoir plus. (P.E.)
La quantité ou la qualité ? Question existentielle s’il en est… Et si on disait la quantité ET la qualité ? Les deux sont parfaitement conciliables si l’on en croit les promoteurs (enthousiastes) d’une méthode d’analyse née à la fin des années 1980 et qui connaît aujourd’hui un véritable boom, l’analyse quali-quantitative comparée (AQQC pour les amateurs de sigles amusants). Cette méthode est tout particulièrement destinée aux recherches menées en sciences humaines à partir d’échantillons moyens d’objets d’étude (de 5 à 50 unités). Son concepteur, Charles C. Ragin, était à Louvain-la-Neuve le 16 septembre à l’invitation groupe Compasss (il y a bien trois "s"), groupe de recherche interuniversitaire (UCL-KUL-ULB-Université d’Anvers) récemment créé. A l’UCL, le Pr Benoit Rihoux, de l’Unité de science politique et de relations internationales (photo), a fait du développement de l’AQQC son cheval de bataille; il est prêt à partager sa passion avec tous ceux qui souhaitent en savoir plus. (P.E.)